« Les municipalités communistes suspendues dès hier dans la Seine, la Seine-et-Oise et la Pas-de-Calais », Le Populaire, , p. 4 (lire en ligne).
books.google.com
(en) Beau Grosscup, The new explosion of terrorism, Far Hills, NJ, New Horizon Pr., (ISBN9780882820743, lire en ligne), p. 297
(en) British Broadcasting Corporation. Monitoring Service, Summary of World Broadcasts: Non-Arab Africa, Issues 7631-7657, (lire en ligne)
Jacqueline Sainclivier et Olivier Dard, Les partis et la République : La recomposition du système partisan, 1956-1967 : Oui, c'est vous qui élirez le Président de la République, Rennes, Presses universitaires de Rennes, , 325 p. (ISBN978-2-7535-3024-9, lire en ligne), p. 19-21« En octobre 1964, dans la perspective des municipales, la fédération socialiste de la Seine engage des négociations avec les communistes. Fin novembre, le conseil national de la SFIO décide d'approuver « la constitution de listes de coalition avec les démocrates de gauche partout où cela serait absolument nécessaire pour battre l'UNR » et d'admettre « des ententes avec des communistes ou avec des républicains qui, bien qu'éloignés du socialisme, sont opposés sans équivoque au régime actuel ». Les négociations sont difficiles, compte tenu de la disproportion des forces dans la Seine. Le 7 janvier 1965, communistes et socialistes annoncent qu'ils présenteront des listes communes, justifiant leur position par la nouvelle loi électorale : « Le gouvernement a voulu empêcher l'union des forces républicaines en interdisant la constitution de coalitions entre les deux tours de scrutin ». Ainsi, pour la première fois depuis la guerre froide, un accord de type « Front populaire » — qui sera étendu aux radicaux de gauche et au PSU — est conclu dans l'ensemble d'un département. Pourtant, si des listes d'« union démocratique » sont présentés dans l'ensemble des quatorze secteurs parisiens, la situation est plus confuses en banlieue, notamment du refus de certains maires socialistes. (…) La victoire du « Front populaire » est acquise ainsi à Alfortville au détriment de Raoul Bleuse, ex-PSU, qui s'était allié au MRP, à Épinay-sur-Seine au détriment du maire sortant Privet qui, refusant l'alliance avec les communistes, s'était représenté contre son adjoint socialiste, Desjames qui conduisait la liste d'Union démocratique ».
F. De Paola, « Élection de Luc Carvounas à la mairie d’Alfortville : Au terme d’un conseil municipal exceptionnel suivi par près de 1000 personnes, le jeune sénateur PS du Val de Marne, Luc Carvounas (40 ans), a été élu maire d’Alfortville, prenant la succession de René Rouquet (66 ans), élu à la tête de la ville 24 ans auparavant », 94.citoyens.com, (lire en ligne, consulté le )« Sans surprises, le patron de la fédération PS du Val-de-Marne récolte 33 voix sur 39 ».
Florent Bascoul, « Luc Carvounas, seul rescapé du PS en Val-de-Marne, élu haut les voix : C’est avec 58,74 % des voix que Luc Carvounas a été élu dans la 9e circonscription du Val-de-Marne ce dimanche soir, contre la candidate LREM, Gaëlle Marseau. L’actuel sénateur-maire d’Alfortville a même obtenu plus de 63% des voix dans sa ville. Une victoire qui ne peut faire oublier qu’il s’agit du seul rescapé PS du département, alors que les deux autres fiefs socialistes, l’indéboulonnable 2e circonscription de Laurent Cathala (qui ne se représentait pas), et la 11e de Jean-Yves Le Bouillonnec (qui ne se représentait pas non plus), ont vu leur candidat PS balayé dès le premier tour par la République en Marche et la France insoumise, avec finalement des députés LREM élus ce dimanche », 94.citoyens.com, (lire en ligne, consulté le ).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Gérald Moruzzi, « Alfortville : une partie du centre commercial du Grand Ensemble sortira de terre dès cet automne : Après une première phase de travaux, ce grand chambardement attendu depuis de nombreuses années verra l’actuel centre commercial détruit, puis la construction d’un ensemble immobilier d’environ 150 logements avec commerces en rez-de-chaussée. Le tout doit être terminé pour 2024 », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
« "C'est le bon moment pour partir" : Après vingt-quatre ans de mandat, René Rouquet, le député-maire (PS) d'Alfortville, a décidé de passer la main à son adjoint, Luc Carvounas. Il reste parlementaire », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne).
« Les nouveaux élus à l'épreuve du cumul », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne)« Luc Carvounas dit au revoir au conseil général. « Je suis un élu local d'Alfortville avant tout. » Pas question donc pour le premier adjoint au maire d'Alfortville de quitter son ancrage local. Surtout à quelques mois de succéder au maire PS, René Rouquet, qui a fait savoir qu'il ne se représentait pas. De même, il n'entend pas donner les clés de la fédération PS du Val-de-Marne. Alors le tout jeune sénateur de 40 ans va laisser le fauteuil de conseiller général et vice-président chargé de la politique de la ville obtenu il y a trois ans. C'est sa remplaçante, Isabelle Santiago, qui va occuper la place. Sauf que cette dernière a été élue elle-même conseillère générale en 2011 sur le canton sud. Résultat : son remplaçant, Mohamed Chikouche, conseiller municipal d'Alfortville, va faire son entrée au conseil général ».
Agnes Vives, « Alfortville : changement de maire dans la continuité », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
Agnès Vives, « Municipales à Alfortville : Gerchinovitz (PS) privilégie « sa famille » : Ce lundi, le maire PS d’Alfortville qui avait succédé à Luc Carvounas (PS) en septembre 2017 a annoncé au « Parisien » ne pas se représenter en mars », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le )« Il a œuvré au côté de Joseph Franceschi (PS), maire et député PS historique de la ville, puis de René Rouquet (PS), lui aussi député et maire. Et enfin, l'ami de 20 ans, Luc Carvounas (PS), élu à l'Assemblée nationale et qu'il a dû remplacer dans le fauteuil de maire, en septembre 2017, non-cumul des mandats oblige ».
Corinne Nèves, « Alfortville : Luc Carvounas (PS) retrouve son fauteuil de maire : L’ancien député PS tient à se consacrer entièrement à la ville et promet de « tout axer sur la gouvernance circulaire », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
« Val-de-Marne : la gestion de l'ex-maire d'Alfortville Luc Carvounas (PS) épinglée », leparisien.fr, (lire en ligne, consulté le ).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
L'importance de l'immigration arménienne est par exemple mentionnée dans le Film documentaire en ligne, réalisé à l'occasion de la parution du livre "Val-de-Marne : Anthologie 1964 - 2014" paru aux Éditions de l'Atelier en 2014.