Hitchcock interviewé par François Truffaut : « FT : Lorsque Cary Grant monte l'escalier, c'est très bien. — AH : J'avais fait mettre une lumière dans le verre de lait. — FT : Un projecteur dirigé vers le lait ? — AH : Non, dans le verre. Parce qu'il fallait que ce fût extrêmement lumineux. Cary Grant monte l'escalier et il fallait que l'on ne regardât que ce verre. » « Hitchcock, la légende du suspense : Suspicion (1941) », sur alienor.fr.
« La mort aux trousses - édition collector », sur DVD critiques.com (consulté le ) : « Une autre empreinte de Sir Alfred c'est l'utilisation quasi permanente des trucages pour tourner en studio. Hitchcock n'aime pas tourner en extérieur et désire contrôler tous les éléments. ».
« La Main au collet d'Alfred Hitchcock », sur Evene.fr (consulté le ) : « Lui qui naguère ne tournait qu'en studio, et évitait au maximum les extérieurs (...) ».
(en) Paula Marantz Cohen, Alfred Hitchcock : The Legacy of Victorianism, University Press of Kentucky, , 198 p. (ISBN978-0-8131-0850-6, lire en ligne), p. 97
Once the screenplay is finished, I'd just as soon not make the film at all... I have a strongly visual mind. I visualize a picture right down to the final cuts. I write all this out in the greatest detail in the script, and then I don't look at the script while I'm shooting. I know it off by heart, just as an orchestra conductor needs not look at the score... When you finish the script, the film is perfect. But in shooting it you lose perhaps 40 per cent of your original conception. — Roger Ebert, Alfred Hitchcock, « Hitchcock : « Never mess about with a dead body - you may be one... » », sur Rogerebert.suntimes.com, 14 décembre 1969 ; page consultée le 11 mai 2010.
Auparavant, Hitchcock avait déjà réalisé l'adaptation de deux œuvres de Du Maurier : La Taverne de la Jamaïque en 1939 et Rebecca en 1940, en dépit du fait qu'il ne ressentait pas particulièrement d'attachement vis-à-vis de ses écrits (Jeff Stafford, The Birds, sur TCM).