Alix d'Eu (French Wikipedia)

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archive.org

  • « Ex Obituario monasterii Ulterioris Portus », dans Recueil des historiens des Gaules et de la France (éd. Natalis de Wailly, Léopold Delisle et Charles Jourdain), t. XXIII, Paris, H. Welter, (lire en ligne), p. 452 :

    « Obiit Radulphus, cornes Augi »

  • Layettes du trésor des chartes (éd. Alexandre Teulet), t. I : de l'année 755 à l'année 1223, Paris, Plon, (lire en ligne), no 1360 : Charta Aelidis comitissæ Augi de conventionibus inter se et dominum regem initis super Augi comitatu., p. 487-488
    1219, début août, Melun : Alix, comtesse d'Eu, [veuve de Raoul Ier d'Exoudun], passe un accord avec le roi de France, Philippe [II] Auguste, qui lui rend le comté d'Eu en gardant pour lui la haute justice, la gestion des juifs et tous les droits et services que le comte d'Eu doit au seigneur de la Normandie. Ni elle ni ses héritiers ne feront de réclamation sur Drincourt, Mortemer ou Arques et leurs dépendances que le roi a saisi. Ce dernier lui rend ce que son mari, possédait de la terre de Roumare quand il a pris parti pour le roi d'Angleterre, à l'exception de la forêt de Roumare et de Neuf-Marché sur lesquels la comtesse ne pourra élever aucune prétention, laissant au roi la haute justice et toutes les justices et services qui appartiennent au seigneur de Normandie. Le roi se réserve le fief de Bully que Robert de Melleville tient dans le bailliage de Neufchâtel. Alix promet de ne pas se marier et le roi s'engage à ne pas la marier non plus. Ni elle, ni ses héritiers ne fortifieront de places sans l'accord du roi. Elle lui versera 15000 marcs d'argent. Robert de Melleville en son nom et Geoffroy de la Chapelle, au nom du roi, recevront tous les revenus du comté d'Eu desquels sera déduit le paiement de la somme selon les termes prévus.
  • Close Rolls of the reign of Henry III preserved in the Public Record Office : A. D. 1242-1247 (éd. Henry Maxwell Lyte), Londres, (lire en ligne), Pro comitissa Augi, p. 157
  • Calendar of the Charter Rolls preserved in the Public Record Office (éd. Henry Maxwell Lyte), vol. I : Henry III, A.D. 1226-1257, Londres, (lire en ligne), p. 279
  • « Ex Obituario monasterii Ulterioris Portus », dans Recueil des historiens des Gaules et de la France (éd. Natalis de Wailly, Léopold Delisle et Charles Jourdain), t. XXIII, Paris, H. Welter, (lire en ligne), p. 452 :

    « Obiit Aelis, venerabilis comitissa Augi »

  • « Chronique des comtes d'Eu : depuis 1130 jusqu'à 1390 », dans Recueil des historiens des Gaules et de la France (éd. Natalis de Wailly, Léopold Delisle et Charles Jourdain), t. XXIII, Paris, H. Welter, (lire en ligne), p. 442
  • « Chronique des comtes d'Eu : depuis 1130 jusqu'à 1390 », dans Recueil des historiens des Gaules et de la France (éd. Natalis de Wailly, Léopold Delisle et Charles Jourdain), t. XXIII, Paris, H. Welter, (lire en ligne), p. 442 :

    « Aaliz fut mariée à moult noble seigneur nommé Radulphus de Yssouduno, et fut filz du conte de la Marche mainsné, et en portoit les armes, excepté des labiaz de gueules à différence »

  • « Ex Obituario monasterii Ulterioris Portus », dans Recueil des historiens des Gaules et de la France (éd. Natalis de Wailly, Léopold Delisle et Charles Jourdain), t. XXIII, Paris, H. Welter, (lire en ligne), p. 452 :

    « 14 Aug. Obiit nobilis Mathildis, comitissa de Herefort, filia nobilis Aelidis, comitissæ Augi. »

  • « Ex Obituario ecclesiæ Augensis », dans Recueil des historiens des Gaules et de la France (éd. Natalis de Wailly, Léopold Delisle et Charles Jourdain), t. XXIII, Paris, H. Welter, (lire en ligne), p. 451 :

    « 3 Oct, Anniversarium solemne dominæ Johannæ filiæ Radulfi d'Insoudun, senioris, comitis Augi, quæ dédit nobis xx libras et unam capellaniam »

  • Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 919 bis : Alix, Comtesse d'Eu, sœur de Raoul Ier et femme de Raoul II (1219) / revers, p. 412
  • Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 919 : Alix, Comtesse d'Eu, sœur de Raoul Ier et femme de Raoul II (1219), p. 412

biblissima.fr

portail.biblissima.fr

  • Cartulaire de l'abbaye Notre-Dame et Saint-Jean-Baptiste de Foucarmont (manuscrit latin, copie du XIIIe siècle, d'après original perdu), Rouen, Bibliothèque municipale (no Y. 013), (présentation en ligne), fol. 55-56
    1219, 17 mai, Melle : Alix, comtesse d'Eu, [veuve de Raoul Ier d'Exoudun], avec l'accord de son fils Raoul [II] et de sa fille Mathilde, confirme à l'abbaye de Foucarmont tout ce qui lui a déjà donné à savoir une terre, une rente de quatre livres et toutes les dîmes de ses domaines anglais comme le prouvent les chartes que les moines ont en leur possession en échange de quoi les moines constitueront dix prêtres pour prier dans cette abbaye pour le salut de son âme, celui de son époux et pour la rémission de ses péchés et des péchés de ses héritiers et de ses parents.

bnf.fr

gallica.bnf.fr

  • Cartulaire de l'abbaye de Saint-Michel du Tréport (Ordre de Saint Benoit) (éd. Pierre Lafleur de Kermaingant), Paris, (lire en ligne), LIII, p. 88-90
    1191 : Raoul [Ier d'Exoudun], comte d'Eu, confirme toutes les donations faites à l'abbaye Saint-Michel-du- Tréport par ses prédécesseurs, Robert, Guillaume [II], Henri [Ier], Jean et Henri [II] le Jeune ainsi que par tous leurs hommes : les droits sur l'avoine et le froment de Villy-sur-Yères, sur l'avoine de Montroty, la dîme de Feukereuscamp, la redevance due pour la coupe de bois à Eu, les droits banaux du moulin du Mesnil-Allard, libres de toute dîme, le pasnage dans la forêt d'Eu et tous les essarts de cette forêt, toute la dîme vicomtale d'Eu, du Tréport, de Criel-sur-Mer, de Sept-Meules, et de Grandcourt, tous les droits banaux des moulins et la taille du Mont-Huon. Si les hommes de l'abbaye sont amenés à répondre devant les tribunaux, ils pourront se disculper et ne seront jugés que par l'abbé. Il lui donne également la justice des coups ayant été jusqu'au sang dans toute la terre de l'abbaye et spécialement à La Fontaine, à Villy-sur-Yères et au Mesnil-Allard. Il promet sous peine d'excommunication que ni lui ni ses héritiers ne chercheront à collecter des tailles sur les terres de l'abbaye et leur concède de pouvoir pêcher dans les eaux d'Eu pour trois fêtes, les cultures entre le Tréport et Flamengeville, et confirme la donation d'un pré à Flamengeville, d'une hospice au Tréport, une dîme au Tost, une dîme à Eu, des coutumes sur le pain et la dîme du pain au Tréport, la dîme de l'achat des poissons pour la cuisine du comte, une foire le jour de la Saint-Michel [29 septembre] et une autre le jour de la Saint-Jean-Baptiste [24 juin].
  • Rotuli Chartarum in Turri Londinensi asservati (éd. Thomas Duffus Hardy), vol. I : pars 1, 1199-1216, Londres, (lire en ligne), p. 58-59
  • Rotuli Chartarum in Turri Londinensi asservati (éd. Thomas Duffus Hardy), vol. I : pars 1, 1199-1216, Londres, (lire en ligne), p. 197-198
    1214, 25 mai, Parthenay : Hugues [IX] de Lusignan, comte de la Marche, Raoul [Ier d'Exoudun], comte d'Eu et Geoffroy [Ier] de Lusignan font un traité de paix et d'alliance avec le roi d'Angleterre, Jean. Le roi donne sa fille Jeanne en mariage au fils du comte de la Marche, Hugues [X], et la confie à leur garde. Il donne à sa fille une dot de 2000 livres qui doivent être assignées sur le Poitou, l'Anjou et la Touraine. En attendant, Hugues [X] aura la garde de la Saintonge et de l'île d'Oléron qui retourneront au roi une fois la dot attribuée. Si Hugues [X] ou Jeanne meurent sans héritier, les terres reviendront au roi. La possession du comté de la Marche est confirmée à Hugues [IX] qui en fait hommage au roi. Raoul [Ier d'Exoudun] se voit restituer les honneurs d'Hastings et de Tickhill et attribuer une rente annuelle égale à la valeur du comté d'Eu qui lui a été confisqué par le roi de France. Geoffroy [Ier] de Lusignan et tous les vassaux des signataires recouvrent également leurs terres. Une trêve est proclamée entre Geoffroy et Guillaume [IV] Maingot, seigneur de Surgères, et une compensation proposée aux prétentions de ce dernier sur le château de Vouvant. Le comté d'Angoulême reste intégralement au roi d'Angleterre qui offrira au comte de la Marche une compensation financière pour les châteaux de Bouteville et de Châteauneuf.
  • Rotuli Chartarum in Turri Londinensi asservati (éd. Thomas Duffus Hardy), vol. I : pars 1, 1199-1216, Londres, (lire en ligne), p. 208
    1214, 27 mai, Parthenay : Jean, roi d'Angleterre distribue des fiefs à ses chevaliers. Guillaume [II] de Lezay reçoit 100 livres et un fief-rente d'une valeur de 100 livres, quatre chevaliers de Geoffroy [Ier] de Lusignan reçoivent 200 livres, et lui-même, 1000 livres poitevines. En compensation pour Bouteville et Châteauneuf, Hugues [IX de Lusignan], comte de la Marche, reçoit 500 marcs pour les trois années à venir ainsi qu'un don de 1000 livres sterling. En compensation pour le comté d'Eu, Raoul [Ier d'Exoudun], se voit octroyer une rente annuelle de 6000 livres tournois.
  • Veterum scriptorum et monumentorum, historicorum, dogmaticorum, moralium, amplissima collectio (éd. Edmond Martène), t. I, Paris, (lire en ligne), Conventiones Inter Ludovicum regem VIII & Hugonem de Lezignano comitem Marchiæ, col. 1184-1185
    1224, mai, Bourges : Le roi de France, Louis [VIII], et Hugues [X de Lusignan], comte de la Marche et d'Angoulême, font un traité. Le roi verse au comte de la Marche la somme de 2000 livres parisis en compensation du douaire qu'Isabelle d'Angoulême avait en Angleterre. Pour celui qu'elle avait à Saumur, le couple reçoit Langeais qu'il ne peut pas fortifier. Le comte abandonne au roi tous les droits qu'il réclamait sur Issoudun. Si Bordeaux est prise, elle sera remise au comte de la Marche à l'exception de la régale et de l'hommage des barons distants de la ville de plus de 3 lieues, et Langeais reviendra au roi. Le comte gardera Saintes et prendra possession de l'île d'Oléron qui est à conquérir. Si le roi ne peut participer à la campagne, il fournira au comte 200 chevaliers et 600 sergents à pied payés par lui pour quatre mois et pendant sept ans. Le comte lui fait hommage lige de toutes les terres et les forteresses qu'il tient dans les comtés de Poitiers, de la Marche, d'Angoulême et dans le diocèse de Saintes, à l'exception des fiefs qu'il tient des églises et ses successeurs feront de même. Le roi ne fera pas de paix avec le roi d'Angleterre sans l'accord du comte.
  • Layettes du trésor des chartes (éd. Alexandre Teulet), t. II : de l'année 1224 à l'année 1246, Paris, Plon, (lire en ligne), no 1650 :De homagio pro vicecomitatu Castri Eraudi et pro castro Voventi domino regi a Gaufrido de Lezegniaco prœstando, p. 31
    1224, mai, Bourges : Geoffroy [II] de Lusignan, fera hommage lige au roi de France, Louis [VIII], de la vicomté de Châtellerault, qu'il tient de son épouse Clémence, fille du vicomte Hugues [III], quand il la conduira au roi, sauf s'il ne peut payer le rachat du fief. Si Clémence meurt sans descendant, la vicomté reviendra aux héritiers les plus proches. Nul ne pourra construire de nouvelle forteresse à Châtellerault sans l'accord du roi. Geoffroy a fait hommage des autres terres que son père tenait du roi Philippe [II Auguste]. Lorsque le roi est en Poitou, il devra lui livrer son château de Vouvant pour y mettre la garnison du roi qui le lui rendra après son départ et ce, avec l'accord de son seigneur le comte de la Marche. Il renonce aussi à tout ce à quoi sa femme avait le droit de prétendre dans le comté d'Alençon.
  • Chartes de l´abbaye de Nouaillé de 678 à 1200 (éd. Pierre de Monsabert), t. XLIX, Poitiers, coll. « Archives historiques du Poitou », (lire en ligne), no 226 : 1199. chapitre de Nouaillé, p. 354-355
    1199, Chapitre de Nouaillé : Hugues [IX] le Brun, comte de la Marche, seigneur de Lusignan, s'était emparé d'un nommé Gervais et, conformément à l'arbitrage du sénéchal du Poitou, reconnaît à nouveau l'immunité du bourg de Nouaillé, promet de n'y point porter atteinte et de défendre les biens de l'abbaye par tous les moyens et renonce à toutes les coutumes dont n'avaient point joui légitimement ses prédécesseurs.
  • Louis Vialart, Histoire généalogique de la maison de Surgères en Poitou, Paris, (lire en ligne), p. 44-45
  • Catalogue des actes de Philippe Auguste (publi. Léopold Delisle), Paris, Auguste Durand (réimpr. 1975) (1re éd. 1856) (lire en ligne), no 1182, p. 515
  • « Documents relatifs du prieuré de Notre-Dame de Fontblanche (1220-1665) » (éd. Gustave Babinet de Rancogne), Mémoires de la Société de statistique, sciences, lettres et arts du département des Deux-Sèvres, Niort, L. Clouzot, 2e série, vol. XII,‎ , p. 7-8 (lire en ligne)
    1220, novembre, La Mothe-Saint-Héraye : Alix, comtesse d'Eu, veuve de Raoul [Ier d'Exoudun], comte d'Eu, donne au prieuré Notre-Dame-de-Fontblanche, avec l'assentiment de son fils Raoul [II] et de ses filles Mathilde et Jeanne, la moitié de ce qu'elle possédait du don de son époux dans le Breuil d'Alaine, avec six quarterées de pré.
  • chartularium monasterii Fontis-Ebraldi, in dioecesi Pictaviensi ; quod Rogerius de Gaignieres partim ex chartis, partim ex magno ejusdem abbatiae chartulario describi curavit (manuscrit latin, copie pour Roger de Gaignières), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 5480 (1)), (lire en ligne), fol. 260

google.fr

books.google.fr

  • Le chartrier de l'Abbaye prémontrée de Saint-Yved de Braine, 1134-1250 (éd. Elèves de l'Ecole des Chartes, dir. Olivier Guyotjeannin), Paris, École nationale des chartes, coll. « Mémoires et documents de l’Ecole des chartes » (no 49), (lire en ligne), B 15, p. 336-337
    1240 : Raoul [II] d'Exoudun, comte d'Eu, confirme la donation faite à Notre-Dame-et-Saint-Yved de Braine par son épouse défunte, Yolande de Dreux, d'une rente de 10 livres provinois sur la terre de Paars, qui est du fief du comte de Braine, [Jean Ier de Dreux].

hathitrust.org

babel.hathitrust.org

  • Foedera, Conventiones, Litterae, et cujuscunque generis Acta Publica inter reges Angliae et alios quosvis imperatores, reges, &c., ab. A.D. 1101 ad nostra usque tempora habita aut tractata (éd. Thomas Rymer), vol. I : pars I (1066-1272), Londres, Record Commission on Historical Manuscripts, (lire en ligne), Hugo Brunus comes March' & Radulphus comes Augi deveniunt ligii homines Regis Angliæ, p. 79
    1200, 28 janvier, Caen : Hugues [IX de Lusignan] le Brun, comte de la Marche et de Raoul [Ier d'Exoudun], comte d'Eu, font hommage lige à Jean, roi d'Angleterre, contre tout homme ou femme. Ils agiront fidèlement pour son honneur et son intérêt de tout leur pouvoir et pour rechercher, récupérer et maintenir ses droits et l'aider contre tous et contre ceux qui sont ou qui seront de leur famille. Ils feront en sorte que le roi d'Angleterre ne soit pas diminué pendant leur vie ou par leurs cousins ou par d'autres. En garantie de cela, ils font jurer plusieurs de leurs vassaux dont Joscelin de Lezay.
  • Calendar of the Patent Rolls of the reign of Henry III preserved in the Public Record Office (éd. Henry Maxwell Lyte), t. I : 1216-1225, Londres, (lire en ligne), p. 579
    1225, 7 mai, Westminster : En présence d'Étienne Langton, archevêque de Canterbury, d'Hugues de Galles, évêque de Lincoln, de Joscelin de Wells, évêque de Bath, de Richard Poore, évêque de Salisbury, de Raoul Neville, évêque de Chichester, de Hubert de Bourg, justicier d'Angleterre, de Ranulf [III de Blondeville], comte de Chester et de Lincoln, de Guillaume [II] le Maréchal, comte de Pembroke, de Gilbert de Clare, comte de Gloucester et de Hertford, de Guillaume [IV] de Warenne, comte de Surrey, de Guillaume [II] de Mandeville, comte d'Essex, et d'autres, Alix, comtesse d'Eu, [veuve de Raoul Ier d'Exoudun], confie le château de Hastings au roi d'Angleterre, Henri [III], jusqu'à ce que la paix soit signée entre lui et le roi de France, [Louis VIII] où que de longues trêves aient été décidées. Le roi rendra le château à la comtesse si elle paye la somme de 500 marcs et promet qu'il ne touchera à aucun des droits ou des hommes de la comtesse ou de ses héritiers.
  • Calendar of the Patent Rolls of the reign of Henry III preserved in the Public Record Office (éd. Henry Maxwell Lyte), t. III : 1232-1247, Londres, (lire en ligne), p. 420

oclc.org

www-cairn-info.wikipedialibrary.idm.oclc.org

  • Frédérique Lachaud, Jean sans Terre, Perrin, coll. « Biographies », (lire en ligne Inscription nécessaire [PDF]), II : L'impossible domination, chap. 7 (« Consolidation et triomphe (1199-1200) »), p. 95-102
  • Frédérique Lachaud, Jean sans Terre, Perrin, coll. « Biographies », (lire en ligne Inscription nécessaire [PDF]), II : L'impossible domination, chap. 8 (« La commise des fiefs des Plantagenêts et le délitement de la domination de Jean en France (1202-1206) »), p. 103-110

www-cambridge-org.wikipedialibrary.idm.oclc.org

  • Daniel Power, The Norman Frontier in the Twelfth and Early Thirteenth Centuries, Cambridge, Cambridge University Press, (lire en ligne Inscription nécessaire [PDF]), Genealogies, chap. 13 (« Eu (counts) »), p. 497

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  • Charles Petit-Dutaillis, Étude sur la vie et le règne de Louis VIII (1187-1226), Paris, Librairie Emile Bouillon, coll. « Bibliothèque de l'École des Hautes Études » (no 101), (lire en ligne), no 109, p. 463-464

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univ-nantes.fr

nantilus.univ-nantes.fr

  • Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d'un lignage arborescent, vol. 1 : Texte (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, (lire en ligne [PDF]), La propagation arborescente d'un lignage : le parentat à l'échelle de la Chrétienté, chap. 2 (« Entre Plantagenêt et Capétien (1200-1242) / Les difficultés du double jeu / Chantages et confiscations de terres / Les mésaventures des comtes d'Eu »), p. 271-277
  • Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 1 : Texte (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, (lire en ligne [PDF]), p. 276

    « Après la chute de La Rochelle et la perte du Bazadais et du Bordelais, le 28 octobre 1224, il donne l'ordre aux sheriffs de Nottingham, de York, de Sussex et de Kent de saisir tous les domaines de la comtesse et de les remettre à son oncle, le comte de Surrey, Guillaume IV de Warenne. »

  • Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 1 : Texte (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, (lire en ligne [PDF]), p. 276
  • Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 1 : Texte (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, (lire en ligne [PDF]), p. 277

    « Le revenu annuel du comté d'Eu (6000 livres) est nettement supérieur à celui des possessions poitevines des Exoudun (992 livres) et plus encore à celui des baronnies anglaises (600 livres). »

univ-paris1.fr

cujasweb.univ-paris1.fr

  • Layettes du trésor des chartes (éd. Joseph de Laborde), t. III : de l'année 1247 à l'année 1260, Paris, Plon, (lire en ligne), no 4295 : Litteræ Mariæ, Augi comitissæ, quibus, cum conjugi suo, Alphonso de Brena, castrum Chisiaci concesserit, comitem Pictaviæ et Tolosæ rogat ut eumdem Alphonsum in hominem ligium recipere velit, p. 326-327
    1256, jeudi 5 octobre, Poitiers : Marie [d'Exoudun], comtesse d'Eu, dame de Civray, Chizé, Melle, Benet, La Mothe et Villeneuve, décide de conférer la châtellenie de Chizé à son époux, Alphonse de Brienne et demande à son suzerain, Alphonse, comte de Poitiers, de le recevoir à l'hommage lige.

univ-poitiers.fr

nuxeo.edel.univ-poitiers.fr

  • Anaïs Lancelot, Les vicomtes de Châtellerault : une puissance discrète (XIIe – XIIIe siècles), vol. I (Mémoire de Master 2 sous la direction de Martin Aurell), Poitiers, Université de Poitiers, (lire en ligne [PDF]), p. 36