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Flori 2004, p. 32, et p. 446 (note 2) ne voit aucune raison de réfuter le document Fragmentum genealogicum ducum Normanniæ et Angliæ regum, qui affirme qu'Aliénor avait treize ans au moment de la mort de son père. Le document en question donne la date erronée de 1136 pour cet événement ; la date la plus communément admise est 1137 ((la + fr) Michel Jean Joseph Brial (transcripteur), « Fragmentum genealogicum ducum Normanniæ et Angliæ regum », dans Léopold Delisle (dir.), Histor. de Fr., t. XVIII, Paris, Victor Palmé, , XXXVI-899 p. (lire en ligne), p. 241). Voir aussi le testament de Guillaume X ((la + fr) Anonyme, « Fragmentis Chronicorum Comitum Pictaviae, Ducum Aquitaniae », dans Léopold Delisle (dir.), Histor. de Fr., t. XII, Paris, Victor Palmé, , LVI-1013 p. (lire en ligne), « Num. 15 », p. 409-410).
« Guillelmus Dux Aquitaniæ filius Guillermi et filiæ Comitis Tolosani, qui jure avi sui urbem Tolosanam possedit, de uxore quæ fuit soror Vicecomitis de Chastelleyraut, quæ vocabatur Ænor, genuit filiam quæ appellata est Alienor, quasi alia Ænor. [Guillaume, duc d'Aquitaine, fils de Guillaume et de la fille du comte de Toulouse, qui posséda la ville de Toulouse du droit de son aïeul, engendra par son épouse Aénor, sœur du vicomte de Châtellerault, une fille qui fut appelée Aliénor, pour ainsi dire une autre Aénor.] » ((la + fr) Geoffroy de Vigeois, « Chronicon », dans Léopold Delisle (dir.), Histor. de Fr., t. 12, Paris, Victor Palmé, , LVI-1013 p. (lire en ligne), « Cap. 48 », p. 434-435). Cité dans Flori 2004, p. 32, et p. 446 (note 3).
(la + fr) « Chronicon Sancti Maxentii Pictavensis », dans Paul Marchegay et Émile Mabille, Chroniques des églises d'Anjou, Paris, Ve Jules Renouard, , XXXVI-459 p. (lire en ligne), p. 432. Cité dans Flori 2004, p. 41.
(la + fr) Suger, « Gesta Ludovici Regis, cognomento Grossi », dans Auguste Molinier, Vie de Louis le Gros, suivie de l'Histoire du roi Louis VII, Paris, Alphonse Picard, , L-196 p. (lire en ligne), « XXXIII », p. 128. Cité dans Flori 2004, p. 42, et p. 447 (note 15).
(la + en) Gervais de Cantorbéry, « Opera Historica », dans William Stubbs, The Chronicle of the Reigns of Stephen, Henry II, and Richard I, by Gervase, Monk of Canterbury, vol. I, Londres, Longman & Co, , LVI-594 p. (lire en ligne), « MCLII », p. 149 ; (la + en) Richard de Devizes (Joseph Stevenson (compilateur)), De rebus gestis Ricardi Primi, Regis Angliæ, Londres, English Historical Society, , VIII-88 p. (lire en ligne), « § 29 », p. 25. Tous deux cités dans Flori 2004, p. 305.
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« Interim autem Alienora , quondam Anglorum regina et regis mater, apud Pictavim in fata recessit [Mais pendant ce temps Aliénor, naguère reine des Anglais et mère du roi [Jean], céda au destin à Poitiers] » (« Chroniques de Saint-Aubin d'Angers », dans Paul Marchegay et Émile Mabille, Chroniques des églises d'Anjou, Paris, Société de l'histoire de France, , XXXVI-458 p. (lire en ligne), p. 53. Cité dans Flori 2004, p. 284-285). Il a été souvent écrit qu'elle était morte à Fontevraud, mais, selon Flori et Aurell, la localisation de sa mort à cet endroit est due à une mauvaise interprétation du latin « sepulta » par Amy Kelly, reportée dans son ouvrage de 1950 (Kelly 1950). Le texte original est sans équivoque : « Obiit Alienor, regina Anglorum; sepulta est ad Font Ebraldi. [Est décédée Aliénor, reine des Anglais ; elle est ensevelie à Fontevraud.] » (H. Duplès-Agier, Chroniques de Saint-Martial de Limoges, Paris, Société de l'histoire de France, s.d., LXXII-429 p. (lire en ligne), p. 69).
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Peut-être le psautier de Fécamp, que certains historiens lui attribuent ((en) Jesús Rodriguez Viejo, « Royal Manuscript Patronage in Late Ducal Normandy: A Context for the Female Patron Portrait of the Fécamp Psalter(c. 1180) », Ceræ, vol. 3, , p. 1-23 (lire en ligne [PDF], consulté le )).
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