Vers 1665, comme Louis XIV souhaitait un portrait de sa maîtresse, « Brienne voulait faire peindre La Vallière en Madeleine. Le roi protesta : Non, il faut la peindre en Diane ; elle est trop jeune pour être peinte en pénitente (cité par Couton 1976, p. 95 ». Voir Louise de la Vallière en Diane chasseresse.
« Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, / Défilent lentement dans mon âme ; l’Espoir, / Vaincu, pleure, et l’Angoisse atroce, despotique, / Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir. » (Les Fleurs du mal, Spleen.) De même, la personnification est accompagnée d'une description dans ces vers de Victor Hugo : « La Déroute, géante à la face effarée, / La Déroute apparut au soldat qui s'émeut, / Et, se tordant les bras, cria : Sauve qui peut ! »