Étienne de Byzance, Ethniques, lire le texte en grec et sa traduction allemande par Margarethe Billerbeck(de) (volume II, p. 52-53, entrée n° 103) ici. Lire aussi l'entrée sur Akmonia (volume I, p. 114-115, entrée α 162) ici.
(en) James Brown Craven, Count Michael Maier, Doctor of Philosophy and of Medicine, Alchemist, Rosicrucian, Mystic, 1568-1622 : Life and Writings, Kirkwall Orkney, W. Peace & Son, (lire en ligne), p. 26, 47.
Étienne de Byzance décrit Chadésia(en) dans ses Ethniques ; lire le texte en grec recopié par Impensis G. Reimeri(de) (p. 677) ici (lire aussi ici, également en grec ancien). Il dit « Chadisia, ville de Leucosyrie(en). Hécatée, dans sa deuxième Généalogie dit « Le champ de Thémiscyre s'étend de Chadisiès à Thermodon ». Ménippe, cependant, parle de la ville et du fleuve Chadision(en) dans son Périple des deux Ponts « du Lycaste(en) à la ville et au fleuve Chadision cent cinquante stades, et du Chadision au fleuve Iris cent stades ». Les citoyens s'appellent Chadísioi et les femmes Chadisía. Apollonios, dans le chant II [des Argonautiques], parle des archers de Chadisiai. »
bbc.co.uk
(en) « Adrienne Mayor, Start the Week, Radio Four », bbc.co.uk, (lire en ligne)
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J. H. Blok, (en) The Early Amazons: Modern and Ancient Perspectives on a Persistent Myth', éd. Brill, Leyden 1995, (ISBN90-04-10077-6) [1].
(la) Michael Maier, Arcana arcanissima, S.l., s.e., (lire en ligne), p. 232 - Michael Maier (trad. du latin par Stéphane Feye), Les arcanes très secrets, Grez-Doiceau, Beya, , 444 p. (ISBN2-9600364-5-X et 978-2-9600364-5-9), p. 331
(la) Pierre-Jean Fabre, Hercules piochymicus, Toulouse, Pierre Bosc, (lire en ligne), p. 144.
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Josine Blok(en), The Early Amazons: Modern and Ancient Perspectives on a Persistent Myth, 1991, chapitre I, p. 86 (lire en ligne, en anglais).
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Julius Stender, De Argonautarum ad Colchos usque expeditione fabulae historia critica, p. 63 (lire en ligne).
Henri Dorion, Arkadi Tcherkassov, Le Russionnaire : petite encyclopédie de toutes les Russies, Éditions MultiMondes, 2001, p. 94 (en ligne).
(en) Natalie Haynes, « The Amazons: Lives & Legends of Warrior Women Across the Ancient World by Adrienne Mayor, book review », The Independent, (lire en ligne, consulté le )
F. Thelamon, « Amazones et Gargaréens : la disjonction des masculins et des féminins au Caucase », Persée, , p. 319-338 (lire en ligne)
Sylvain Matton, « L’interprétation alchimique de la mythologie », Dix-huitième siècle, no 27, , p. 73-87 (lire en ligne).
Samuel P., « Les amazones : mythes, réalités, images », Article de revue, , p. 10-17 (lire en ligne)
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Étienne de Byzance décrit Chadésia(en) dans ses Ethniques ; lire le texte en grec recopié par Impensis G. Reimeri(de) (p. 677) ici (lire aussi ici, également en grec ancien). Il dit « Chadisia, ville de Leucosyrie(en). Hécatée, dans sa deuxième Généalogie dit « Le champ de Thémiscyre s'étend de Chadisiès à Thermodon ». Ménippe, cependant, parle de la ville et du fleuve Chadision(en) dans son Périple des deux Ponts « du Lycaste(en) à la ville et au fleuve Chadision cent cinquante stades, et du Chadision au fleuve Iris cent stades ». Les citoyens s'appellent Chadísioi et les femmes Chadisía. Apollonios, dans le chant II [des Argonautiques], parle des archers de Chadisiai. »
Plutarque, Vies parallèles [détail des éditions] [lire en ligne] (lire le passage en ligne), Démosthène : « On dit que le Thermodon est un petit ruisseau de notre territoire de Chéronée, qui va se jeter dans le Céphise ; mais, aujourd’hui, nous ne connaissons aucun cours d’eau qui se nomme de la sorte. Toutefois nous conjecturons que celui qu’on appelle maintenant Hémon se nommait alors Thermodon : il passe le long du temple d’Hercule, près duquel les Grecs avaient établi leur camp ; et il est vraisemblable que la quantité de sang et de cadavres dont il fut rempli à la bataille, donna lieu à ce changement de nom. Mais Douris de Samos prétend que le Thermodon n’est point une rivière. Des soldats, suivant lui, qui creusaient la terre pour dresser leur tente, trouvèrent une statuette de marbre, sur laquelle était gravée cette inscription : Thermodon portant dans ses bras une amazone blessée ».
Selon Alexis Pierron (lire en ligne), c'est un fleuve qui prend sa source au mont Caucase, et se décharge dans la mer Caspienne. Claude Rapin explique dans une note de son article Du Caucase au Tanaïs: les sources de Quinte-Curce à propos de la route d'Alexandre le Grand en 330-329 av. J.-C. (janvier 2014, p. 155, lire en ligne)
« Arrien ignore la désignation « Iaxarte » au profit du toponyme « Tanaïs » ; il ne désigne le Syr-Daria qu’une seule fois sous la forme déformée « Orxante » ; la forme orthographique « Orexartès » choisie par Plutarque (Alex., XLV, 6) dérive de la même tradition. La forme originale choisie par Ammien Marcellin (XXIII, 59), « Araxates » a en revanche été clairement influencée par le toponyme « Araxe ». Bosworth 1980-1995, op. cit., vol. 1, p. 377-378 ; Francesco Sisti, Andrea Zambrini 2001-2004, Arriano, Anabasi di Alessandro, p. 552. »
Plutarque, Vies parallèles : Vie d'Alexandrelire en ligne
Denys le Périégète (IIe siècle), Voyage autour du monde, lire les traductions françaises de la traduction latine d'Avienusici (qui contient le passage sur Éphèse) et celle de la traduction latine de Priscienici.
Selon Alexis Pierron (lire en ligne), c'est un fleuve qui prend sa source au mont Caucase, et se décharge dans la mer Caspienne. Claude Rapin explique dans une note de son article Du Caucase au Tanaïs: les sources de Quinte-Curce à propos de la route d'Alexandre le Grand en 330-329 av. J.-C. (janvier 2014, p. 155, lire en ligne)
« Arrien ignore la désignation « Iaxarte » au profit du toponyme « Tanaïs » ; il ne désigne le Syr-Daria qu’une seule fois sous la forme déformée « Orxante » ; la forme orthographique « Orexartès » choisie par Plutarque (Alex., XLV, 6) dérive de la même tradition. La forme originale choisie par Ammien Marcellin (XXIII, 59), « Araxates » a en revanche été clairement influencée par le toponyme « Araxe ». Bosworth 1980-1995, op. cit., vol. 1, p. 377-378 ; Francesco Sisti, Andrea Zambrini 2001-2004, Arriano, Anabasi di Alessandro, p. 552. »
(es) Susan C. Giráldez, « Las sergas de Esplandián, Granada, Constantinopla y América:La novela caballeresca como portavoz de la modernidad », dans Semiótica literaria. Modernidad y postmodernidad, University of California, Berkeley (lire en ligne), p. 191
Étienne de Byzance, Ethniques, lire le texte en grec et sa traduction allemande par Margarethe Billerbeck(de) (volume II, p. 52-53, entrée n° 103) ici. Lire aussi l'entrée sur Akmonia (volume I, p. 114-115, entrée α 162) ici.
Étienne de Byzance décrit Chadésia(en) dans ses Ethniques ; lire le texte en grec recopié par Impensis G. Reimeri(de) (p. 677) ici (lire aussi ici, également en grec ancien). Il dit « Chadisia, ville de Leucosyrie(en). Hécatée, dans sa deuxième Généalogie dit « Le champ de Thémiscyre s'étend de Chadisiès à Thermodon ». Ménippe, cependant, parle de la ville et du fleuve Chadision(en) dans son Périple des deux Ponts « du Lycaste(en) à la ville et au fleuve Chadision cent cinquante stades, et du Chadision au fleuve Iris cent stades ». Les citoyens s'appellent Chadísioi et les femmes Chadisía. Apollonios, dans le chant II [des Argonautiques], parle des archers de Chadisiai. »
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Josine Blok(en), The Early Amazons: Modern and Ancient Perspectives on a Persistent Myth, 1991, chapitre I, p. 86 (lire en ligne, en anglais).
Étienne de Byzance décrit Chadésia(en) dans ses Ethniques ; lire le texte en grec recopié par Impensis G. Reimeri(de) (p. 677) ici (lire aussi ici, également en grec ancien). Il dit « Chadisia, ville de Leucosyrie(en). Hécatée, dans sa deuxième Généalogie dit « Le champ de Thémiscyre s'étend de Chadisiès à Thermodon ». Ménippe, cependant, parle de la ville et du fleuve Chadision(en) dans son Périple des deux Ponts « du Lycaste(en) à la ville et au fleuve Chadision cent cinquante stades, et du Chadision au fleuve Iris cent stades ». Les citoyens s'appellent Chadísioi et les femmes Chadisía. Apollonios, dans le chant II [des Argonautiques], parle des archers de Chadisiai. »
Voici l'extrait concerné de la Vie de Pompée par Plutarque : « La poursuite de Mithridate, qui s’était caché parmi les nations du Bosphore [Cimmérien] et des Palus-Méotides, offrait de grandes difficultés ; d’ailleurs Pompée reçut la nouvelle que les Albaniens s’étaient derechef révoltés : il traverse encore une fois le Cyrnus, mais avec beaucoup de peine et de danger : les Barbares en avaient fortifié la rive par une palissade de troncs d’arbres. Au delà du fleuve, il lui fallut faire une longue route dans un pays sec et aride : il fit remplir d’eau dix mille outres, et passa du côté des ennemis, qu’il trouva rangés en bataille sur le bord du fleuve Abas(en). Ils avaient soixante mille hommes de pied et douze mille chevaux ; mais ils étaient mal armés, et n’avaient, la plupart, pour toute défense, que des peaux de bêtes. Ils étaient commandés par un frère du roi, nommé Cosis. Dès que le combat fut engagé, Cosis, courant sur Pompée, lui lança son javelot, et l’atteignit au défaut de la cuirasse ; mais Pompée le perça de sa javeline, et l’étendit mort. On dit que les Amazones, descendues des montagnes voisines du fleuve Thermodon, combattirent à cette bataille du côté des Barbares, car les Romains, en dépouillant les morts après le combat, trouvèrent des boucliers et des brodequins d’Amazones ; mais on ne reconnut pas un seul corps de femme. Les Amazones habitent la partie du Caucase qui regarde la mer d’Hyrcanie ; elles ne sont pas limitrophes des Albaniens : les Gètes et les Lèges les en séparent ; elles vont chaque année passer deux mois avec ces deux peuples sur les bords du Thermodon ; ce terme expiré, elles rentrent dans leur pays, où elles vivent absolument seules, sans aucun commerce avec les hommes ».
Strabon parle de grammairiens changent la leçon Alizônôn qui est la leçon consacrée, certains en Alazônôn, les autres en Amazônôn, substituant en même temps à la leçon ex Alubês les mots ex Alopês ou Alobês. Ceux qui choisissent la leçon Alazônôn prétendent qu'Homère a pensé aux Scythes Alazons qui habitent au-dessus du Borysthène, sans penser que tous ces noms, Alazons, Callipides et autres semblables, sont de pures inventions d'Hellanicus, Hérodote et Eudoxe faites pour amuser la crédulité des gens. Quant à ceux qui préfèrent la leçon Amazônôn, ils croient qu'Homère a pu vouloir désigner sous ce nom toutes les populations habitant entre la Mysie, la Carie et la Lydie. Comme le croit l'historien Éphore de Cumes que le pays occupé plus tard par les Aeoliens et les Ioniens l'aurait été primitivement par les Amazones. Celui-ci tranche la difficulté en changeant ces derniers mots dans le texte d'Homère : « À leur tour Odius(en) et Epistrophus avaient amené les Amazones d'Alopé, d'Alopé où réside encore la race des Amazonides ». Le problème est que dans le pays auquel il pense, il n'y a aucun lieu nommé Alopé. Métrodore ne paraît pas être d'accord avec Ephore, pas plus qu'avec les grammairiens qui, en maintenant la leçon Alizônôn, supposent qu'Homère considère qu'il s'agit des Halizonii de la presqu'île de Pallène. Il n'admet pas non plus que les Nomades habitant au-delà du Borysthène eussent envoyé des troupes au secours des Troyens. Il préfère plutôt adopter soit l'opinion d'Hécatée de Milet, soit celle de Ménécratès d'Elée(el), voire celle de Paléphate. Voici le passage d'Hécatée issu de sa Description de la terre : « Près de la ville d'Alazia(en) passe le fleuve Odrysès qui sort du lac Dascylitis, traverse ensuite vers l'est toute la plaine mygdonienne et va se jeter dans le Rhyndaque ». Il ajoute que, si Alazia est à son époque déserte, les Alazones occupent encore plusieurs villages au milieu desquels coule l'Odrysès. Dans tous ces villages, Apollon est particulièrement vénéré, mais que c'est dans le canton bordant la frontière des Cyzicéniens qu'il reçoit les plus grands honneurs. Quant à Ménécrate, il signale, dans sa Description de l'Hellespont, une chaîne de montagnes qui règne sans interruption au-dessus du canton de Myrlée et il prétend que c'est là qu'habitait la nation des Halizones(en). Il rajoute : «Seulement,, il faut écrire ce nom par deux lambda, et, si le poète n'en a mis qu'un, ce ne peut être que pour les besoins du vers». Enfin, Paléphate pense que l'armée des Alazones commandée par Odius et Epistrophus était bien partie d'Alopé. Mais, depuis, cette même nation s'était rapprochée et avait occupé Zélia. Strabon déclare qu'il n'y avait pas de quoi donner tant d'éloges aux opinions de ces trois auteurs. Surtout qu'eux aussi ne se sont pas fait faute de toucher à l'ancienne leçon, ils ne nous disent ni ce qu'étaient ces mines d'argent dont parle le poète, ni dans quelle partie de la Myrléatide se trouvait Alopé. En supposant qu'il existât réellement une ville du nom d'Alopé ou d'Alazia dans cette contrée, ils n'ont pas plus dit comment on a jamais pu dire qu'une armée partie des environs de Myrlée pour se rendre à Troie était venue de loin, les environs de Myrlée étant encore plus rapprochés de la Troade que ne le sont ceux d'Ephèse. Enfin, Démétrius le premier traite de bavards impertinents ceux qui placent les Amazones près de Pygela(en) entre Éphèse, Magnésie et Priène, et cela « par la raison que l'épithète de lointaine ne saurait convenir à cette localité !», combien plus choque-t-elle appliquée à une localité située en Mysie, en Teuthranie(en) ! Paléphate, lui, se contente de dire que les Amazones qui avaient Alopé pour leur demeure primitive sont actuellement établies à Zélia.
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Strabon parle de grammairiens changent la leçon Alizônôn qui est la leçon consacrée, certains en Alazônôn, les autres en Amazônôn, substituant en même temps à la leçon ex Alubês les mots ex Alopês ou Alobês. Ceux qui choisissent la leçon Alazônôn prétendent qu'Homère a pensé aux Scythes Alazons qui habitent au-dessus du Borysthène, sans penser que tous ces noms, Alazons, Callipides et autres semblables, sont de pures inventions d'Hellanicus, Hérodote et Eudoxe faites pour amuser la crédulité des gens. Quant à ceux qui préfèrent la leçon Amazônôn, ils croient qu'Homère a pu vouloir désigner sous ce nom toutes les populations habitant entre la Mysie, la Carie et la Lydie. Comme le croit l'historien Éphore de Cumes que le pays occupé plus tard par les Aeoliens et les Ioniens l'aurait été primitivement par les Amazones. Celui-ci tranche la difficulté en changeant ces derniers mots dans le texte d'Homère : « À leur tour Odius(en) et Epistrophus avaient amené les Amazones d'Alopé, d'Alopé où réside encore la race des Amazonides ». Le problème est que dans le pays auquel il pense, il n'y a aucun lieu nommé Alopé. Métrodore ne paraît pas être d'accord avec Ephore, pas plus qu'avec les grammairiens qui, en maintenant la leçon Alizônôn, supposent qu'Homère considère qu'il s'agit des Halizonii de la presqu'île de Pallène. Il n'admet pas non plus que les Nomades habitant au-delà du Borysthène eussent envoyé des troupes au secours des Troyens. Il préfère plutôt adopter soit l'opinion d'Hécatée de Milet, soit celle de Ménécratès d'Elée(el), voire celle de Paléphate. Voici le passage d'Hécatée issu de sa Description de la terre : « Près de la ville d'Alazia(en) passe le fleuve Odrysès qui sort du lac Dascylitis, traverse ensuite vers l'est toute la plaine mygdonienne et va se jeter dans le Rhyndaque ». Il ajoute que, si Alazia est à son époque déserte, les Alazones occupent encore plusieurs villages au milieu desquels coule l'Odrysès. Dans tous ces villages, Apollon est particulièrement vénéré, mais que c'est dans le canton bordant la frontière des Cyzicéniens qu'il reçoit les plus grands honneurs. Quant à Ménécrate, il signale, dans sa Description de l'Hellespont, une chaîne de montagnes qui règne sans interruption au-dessus du canton de Myrlée et il prétend que c'est là qu'habitait la nation des Halizones(en). Il rajoute : «Seulement,, il faut écrire ce nom par deux lambda, et, si le poète n'en a mis qu'un, ce ne peut être que pour les besoins du vers». Enfin, Paléphate pense que l'armée des Alazones commandée par Odius et Epistrophus était bien partie d'Alopé. Mais, depuis, cette même nation s'était rapprochée et avait occupé Zélia. Strabon déclare qu'il n'y avait pas de quoi donner tant d'éloges aux opinions de ces trois auteurs. Surtout qu'eux aussi ne se sont pas fait faute de toucher à l'ancienne leçon, ils ne nous disent ni ce qu'étaient ces mines d'argent dont parle le poète, ni dans quelle partie de la Myrléatide se trouvait Alopé. En supposant qu'il existât réellement une ville du nom d'Alopé ou d'Alazia dans cette contrée, ils n'ont pas plus dit comment on a jamais pu dire qu'une armée partie des environs de Myrlée pour se rendre à Troie était venue de loin, les environs de Myrlée étant encore plus rapprochés de la Troade que ne le sont ceux d'Ephèse. Enfin, Démétrius le premier traite de bavards impertinents ceux qui placent les Amazones près de Pygela(en) entre Éphèse, Magnésie et Priène, et cela « par la raison que l'épithète de lointaine ne saurait convenir à cette localité !», combien plus choque-t-elle appliquée à une localité située en Mysie, en Teuthranie(en) ! Paléphate, lui, se contente de dire que les Amazones qui avaient Alopé pour leur demeure primitive sont actuellement établies à Zélia.