A. Chéreau, article «Ambroise Paré», dans: Amédée Dechambre (dir.) et Louis Hahn (secrétaire de la rédaction), Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales, Deuxième série, Tome vingt et unième (Par-Pea), Paris, G. Masson , P. Asselin, 1885, p. 127-136; reproduit sur le site Agora. Voir aussi « Ambroise Paré », Portrait de Médecins, sur medarus.org (consulté le ).
A. Chéreau, article «Ambroise Paré», dans: Amédée Dechambre (dir.); Louis Hahn (secrétaire de la rédaction, Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales. Deuxième série. Tome vingt et unième (Par-Pea), Paris, G. Masson , P. Asselin, 1885, p. 127-136Article sur le site de l’Université de Laval (Québec), consulté le 24/09/2015
Selon J.-M. Delacomptée, la ligature des artères après l'amputation n'était pas une invention de Paré, mais elle avait besoin d'être retrouvée dans la littérature, ce que fit Paré, sans dissimuler ses sources. . Voir Jean-Michel Delacomptée, Ambroise Paré, La main savante, Gallimard, 2007, p. 205. Selon Jean-Pierre Poirier, deux chirurgiens italiens, Leonardo Bertapaglia et Mariano Santo, avaient devancé Paré, mais Paré l'ignorait. (Jean-Pierre Poirier 2005, p. 110 ; voir aussi p. 319.) Ambroise Paré a écrit : « Par ce je conseille au jeune Chirurgien de laisser telle cruauté et inhumanité, pour plustost suyvre ceste mienne façon de practiquer, de laquelle il a pleu à Dieu m’adviser, sans que jamais l’eusse veu faire à aulcun, ouy dire, ne leu, sinon en Gal[ien]. Au 5. livre de sa Méthode, où il escrit qu’il faut lier les vaisseaux vers leurs racines, qui sont le foye et le cœur, pour estancher le grand flux de sang. Or ayant plusieurs fois usé de ceste manière de couldre les veines et artères aux playes récentes, esquelles se faisoit une hémorrhagie, j’ay pensé qu’il s’en pouvoit bien autant faire en l’extirpation d’un membre. » (Ambroise Paré, Œuvres; combustions et gangrènes, chap. XXXV, cité sur l'Encyclopédie de l'Agora.)
archive.org
Stephen Paget, Ambroise Paré and His Times, 1510–1590, G.P. Putnam's Sons, (lire en ligne), p. 186–187, qui reproduit le récit que Paré fit lui-même de l'expérience et l'apologie qu'il en pésenta contre ses détracteurs.
Ambroise Paré, « Voyage de Mets - 1552 », dans L'Austrasie, 1906-1907, tome II, p. 231-238, p. 369-375
books.google.com
« Probablement vers 1536 » d'après J.-F. Malgaigne, Introduction aux Œuvres complètes d'Ambroise Paré, t. 1, Paris, 1840, p. CCXXXIII, [lire en ligne].
Ambroise Paré, après avoir écrit : « Luy coupay le bras sans scie, pource que la mortification n'estoit outre la jointure du coude; et là commençay l'amputation, incisant les ligaments qui joignent les os. », ajoute « qu'il ne faut s'ébahir de cette amputation de la jointure, car Hippocrate la recommande dans son livre Des articulations. » Ce passage de Paré est cité par Aug. Vidal, Traité de pathologie externe et de médecine opératoire, 5e édition, revue par Fano, t. 5, Paris, 1861, p. 575, qui insiste sur le fait que c'est là une désarticulation du coude. [lire en ligne] , qui renvoie pour Paré aux Œuvres complètes, t. 2, Paris, 1840, p. 284 et pour Hippocrate, aux Œuvres complètes, trad. de Littré, Paris, 1844, t. 4, p. 78.
Œuvres complètes d'Ambroise Paré, introduction par J.-F. Malgaigne, Paris, 1840, p. CCXLII, [lire en ligne].
Œuvres complètes d'Ambroise Paré, introduction par J.-F. Malgaigne, Paris, 1840, p. CCLVI-CCLXI, [lire en ligne]
Sully, Économies royales (dites aussi Mémoires), cité par Eugène et Émile Haag, La France protestante, t. 8, Paris, 1858, p. 133. [lire en ligne]|
cnrtl.fr
Centre national de ressources textuelles et lexicales, article bistouri, qui signale qu'on trouve en 1464 le mot masculin bistorit dans le sens de « poignard » (Lit. remiss. ex. Reg. 199 ch. 599 dans Du Cange t. 1, p. 600c, « s.v. bistoria : Ung coustel poignant, nommé Bistorit »).
T. S. Gelfand, « Review of Ambroise Paré, Surgeon of the Renaissance », Bulletin of the History of Medicine, vol. 42, no 6, , p. 574–576 (ISSN0007-5140, lire en ligne, consulté le )
(en) Ronald A. Sherman, « Maggot Therapy Takes Us Back to the Future of Wound Care: New and Improved Maggot Therapy for the 21st Century », Journal of Diabetes Science and Technology, vol. 3, no 2, , p. 336-344 (ISSN1932-2968, PMID20144365, lire en ligne).
jstor.org
T. S. Gelfand, « Review of Ambroise Paré, Surgeon of the Renaissance », Bulletin of the History of Medicine, vol. 42, no 6, , p. 574–576 (ISSN0007-5140, lire en ligne, consulté le )
levieilhesdin.org
Voyage d’Hesdin (1553) [PDF] in : Œuvres, IVe édition, 28e livre, traictant des Rapports, & du moyen d’embaumer les corps morts. Chapitre II: Apologie et Traicté contenant les voyages faicts en divers lieux.
Montgomery tue le roi Henri II en tournoi, voir texte en ligne.
medarus.org
A. Chéreau, article «Ambroise Paré», dans: Amédée Dechambre (dir.) et Louis Hahn (secrétaire de la rédaction), Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales, Deuxième série, Tome vingt et unième (Par-Pea), Paris, G. Masson , P. Asselin, 1885, p. 127-136; reproduit sur le site Agora. Voir aussi « Ambroise Paré », Portrait de Médecins, sur medarus.org (consulté le ).
Encyclopédie de l’Agora, cité par le site Medarus [1], accès le 21/09/2015
nih.gov
ncbi.nlm.nih.gov
(en) Ronald A. Sherman, « Maggot Therapy Takes Us Back to the Future of Wound Care: New and Improved Maggot Therapy for the 21st Century », Journal of Diabetes Science and Technology, vol. 3, no 2, , p. 336-344 (ISSN1932-2968, PMID20144365, lire en ligne).
Paule Dumaître, « Des descendants retrouvés d'Ambroise Paré : Sa famille d'hier, sa famille d'aujourd'hui », Histoire des sciences médicales, vol. 33, no 3, , p. 243-254. (lire en ligne)
Les dates données par les sources vont de 1509 à 1517. Pierre de l'Estoile, qui a noté dans son journal la mort de Paré comme survenue le 20 décembre 1590, ajoute qu'il était âge de 80 ans. Voir Louis Vincelet, Ambroise Paré et la religion, communication présentée à la séance du 22 janvier 1968 de la Société Française d'Histoire de la Médecine, en lignel[PDF].
«Voyage» en Piémont avec Ambroise Paré par Paule Dumaître, Communication présentée à la séance du 28 novembre 1987 de la Société française d'Histoire de la
Médecine, [PDF] en ligne.
Paré dans un premier temps utilise un pansement digestif tiède puis "perfectionne" son traitement en utilisant de l'huile de petits chiens (oleum catellorum) comme pansement suppuratif
Georges Androutsos, « La lithiase urinaire et son traitement par Ambroise Paré (1509-1590) », Progrès en Urologie (2004), 14, 109-117. [PDF] En ligne. D'après Jean-Pierre Poirier 2005, p. 176-177, il est vrai que Paré a plagié Franco, mais Franco avait lui-même copié de très près un traité de Paré sur les accouchements. Poirier, p. 177 et 183, signale aussi des emprunts inavoués de Paré à Thierry de Héry et à Laurent Collot.
vet-alfort.fr
« Paré Ambroise (1510-1590) », Culture & Patrimoine, École Nationale Vétérinaire d'Alfort (consulté le ).