(en) K. Simonsen, Rationel Almen Planlaegning, Request for comments: 1345 : Character Mnemonics & Character Sets, Network Working Group, (lire en ligne).
Il n'y a pas de dénomination absolue des caractères ASCII. Avant l'internationalisation de l'ASCII (avant 1983 en France) certaines traductions existent (exemple: norme de 1992[11] et RFC 20 traduction De L'Isle[16]). L'usage peut avoir retenu différentes appellations pour un même caractère. Certaines publication de tables ASCII ne donnent aucun nom. Des normes officielles donnent le cas échéant des noms de caractères, mais elles sont méconnues en raison de leur coûts[17]. D'autres donnent des noms d'usage (par exemple thierry-lequeu[18] ou ionos[19]). Par ailleurs, de nombreux ouvrages en langue française ont publié une dénomination des tables ASCII (fabricant d'imprimantes, d'ordinateur, livre de programmation, etc). Unicode est supposé reprendre des caractères ASCII à l'identique mais le rajoutant de nouveaux caractères similaires (apostrophe, par exemple) induit de subtiles différences. Enfin, Unicode ne donne pas les noms d'usage.
Alphabet International de référence no 5 : RECOMMANDATION T50, Union international des télécommunications, (lire en ligne)
Alphabet International de référence : ANCIEN ALPHABET INTERNATIONAL no 5 ou AI5, RECOMMANDATION T50, Union international des télécommunications, (lire en ligne)
La norme ANSI X3.4 définit le caractère 39 par apostrophe (closing single quotation mark, acute accent) et les anciennes tables de caractères le représentaient souvent incliné. Les encodages plus récents restreignent ce code à la représentation de l'apostrophe verticale (ni penchée à droite, ni à gauche, mais neutre). Voir (en) Latin-1's apostrophe, grave accent, acute accent.