Louis Aragon, Les Yeux d'Elsa, Paris, Seghers, coll. « Poésie d'abord », 2012 (réédition), 168 p. (ISBN978-2-232-12355-9 et 2232123553, lire en ligne), première page de la Préface.
On pourra consulter avec profit, pour l'origine et les sens qu'on donnait au mot "acolyt(h)e" au XVIIIe siècle, ce qu'en disait l'Encyclopédie de Diderot, numérisée ici : Edme-François Mallet (pour cet article), « ACOLYTHE », sur encyclopédie.eu (Encyclopédie de Diderot), (consulté le ).
selon la graphie du dictionnaire Gaffiot, à consulter en fac-simile ici : Félix Gaffiot, « ǎnǎcŏlūthǒn→ǎnǎctŏrǐum », sur Lexilogos.com, (consulté le ), page 121.
Henri Bonnard. Anacoluthe. Grand Larousse de la langue française, 1971, p.162-162. in Josiane Boutet et Pierre Fiala. Les télescopages; Persée, 1986 Lire en ligne
[PDF] Jean-Louis Dufays, « L'anacoluthe, ou le casse tête de l'évaluation », Enjeux, no 15, , p. 125-134 (lire en ligne, consulté le )
uqam.ca
archipel.uqam.ca
Ni-Lu-Hoa Nguyen., Les figures de style, Paris, Éditions Belin, 1992 in Ni-Lu-Hoa Narration graphique : l'ellipse comme figure et signe peircéen dans la bande dessinée, Montréal, Thèse Université de Montréal, , 348 p. (lire en ligne) page 27
wikisource.org
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On trouve cette pensée sous sa forme complète dans l'édition de 1871 numérisée dans Wikisources : Blaise Pascal, Œuvres complètes, tome I : Pensées, Hachette, (lire en ligne), Article VI, pp. 273 à 284, pensée no 46, p. 281, et dont le fac-similé se trouve ici : « Œuvres complètes de Blaise Pascal, page 281 », sur Wikisources (consulté le ), pensée no 46.