René Thom, Esquisse d’une sémiophysique : Physique aristotélicienne et Théorie des Catastrophes, InterEditions, (ASINB07MDLC2M4, lire en ligne), « Les homéomères », Chapitre 6, paragraphe D.
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Vincent Citot, « Grandeur et décadence de la philosophie grecque », Le Philosophoire, vol. 42, no 2, , p. 135-196 (lire en ligne).
Roger Arnaldez et René Taton, La science antique et médiévale : des origines à 1450, Presses universitaires de France, (lire en ligne), p. 217
René Thom, Esquisse d’une sémiophysique : Physique aristotélicienne et Théorie des Catastrophes, InterEditions, (ASINB07MDLC2M4, lire en ligne), « Les homéomères », Chapitre 6, paragraphe D.
Cependant, d’après Cyril Bailey(de), The Greek Atomists and Epicurus, Oxford, 1928, les qualités se réuniraient non par simple juxtaposition mais par une combinaison chimique. Voir Charles Mugler, op. cit., 1956, p. 357.