« Les lettres et les mots s’étirent sur la page et parfois d’une page à l’autre, avant qu’un croquis complète ce que la lettre ne suffit plus à représenter. Mais les mots disent aussi ce qu’un dessin rapidement exécuté ne peut dire : la couleur et la profondeur de l’impression, ce qui ne se traduit pas en quelques traits, mais demande méditation, retour, aller et retour, entre le croquis et l’ébauche, entre l’idée et le mot. »David Collin, « Toujours plus qu'un paysage - sur l’œuvre d'Ann Loubert », dans la revue en ligne Secousse, n° 19 - juin 2016. Lire en ligne.