« Mais, en même temps, il l’a poussée à assumer le destin moderne d’une femme intellectuelle. Anna a fait des études et elle a réussi à s’imposer dans le mouvement psychanalytique comme un véritable chef d’école. Elle a été l’une des pionnières de la psychanalyse des enfants et elle donné naissance à un courant qui porte son nom : l’annafreudisme. [...] Anna Freud est une « fille au père », en quelque sorte, gardienne de l’héritage et de la tradition, et donc forcément conservatrice en matière de mœurs sexuelles. Elle a été une orthodoxe de la doctrine. », Élisabeth Roudinesco, « Psychanalyse et homosexualité : réflexions sur le désir pervers, l'injure et la fonction paternelle », Cliniques méditerranéennes 1/2002 (no 65), p. 7-34. DOI 10.3917/cm.065.0007
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"La différence des sexes à l'épreuve de la République" de Maxime Foerster, Éditions L'Harmattan, 2003, p.65, Lire en ligne
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Jean Allouch, « Freud embringué dans l'homosexualité féminine. », Cliniques méditerranéennes no 65, p. 106-107-108, lire en ligne
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rue89.nouvelobs.com
Annie Fortems, « Tabou : la famille homoparentale de la fille de Freud - Rue89 », Rue89, (lire en ligne)
thesundaytimes.co.uk
article payant Freud slips into France’s row over gay marriage par Matthew Campbell, le 13 janvier 2013. « "Freud's historians have always hidden it", she said, accusing many of his disciples of homophobia, an accusation that has also been levelled at Anna, who described homosexuality as an "illness". [...] It was different in Freud's day, when homosexuality was illegal. »