Éric Baratay, Le christianisme et l’animal, une histoire difficile, Ecozona, European Journal of Literature, Culture and Environment, (lire en ligne), p. 120-138.
biens-symboliques.net
Fabien Carrié, « Histoire sociale de la "végéphobie" dans le mouvement animaliste français », Biens symboliques, no 2, (lire en ligne).
Catherine-Marie Dubreuil, « L'antispécisme, un mouvement de libération animale », Ethnologie française, no 39, , p. 117-122 (lire en ligne).
doi.org
dx.doi.org
« À partir d’enquêtes menées depuis plus de vingt ans et sur la base des articles publiés par les Cahiers antispécistes, l’auteur s’attache à démystifier les arguments de façade pour mieux s’introduire au cœur de cette mouvance sectaire, animée par des zélateurs qui veulent combattre la souffrance animale par tous les moyens, y compris les plus violents et fascisants ». Cf Bernard Schmit, « Lettre ouverte aux mangeurs de viande qui souhaitent le rester sans culpabiliser, Paul Ariès, Larousse, 2019, 180 p. », Pour la science, no 503, , p. 19 (DOI10.3917/pls.503.0019a).
Rav Kook : « Aucune intelligence, aucune personne sensée pourrait supposer que quand la Torah charge l'humanité de dominer… (La Genèse 1:28) cela signifie la domination d'un dirigeant dur, qui afflige un peuple et des serviteurs simplement pour accomplir son caprice personnel et ses désirs, selon la courbure de son cœur. Il est impensable que la Torah imposerait un tel décret de servitude, scellé pour l'éternité, sur le monde de Dieu, qui est « bon envers tous et Sa pitié est sur toutes Ses œuvres » (Psaumes 145:9) et qui a déclaré « le monde sera construit sur la bonté » (Psaumes 89:3). ».
huffingtonpost.fr
Dominic Hofbauer, « Soyons précis sur la définition de spécisme », Le Huffington Post, (lire en ligne).