Danièle Denis, Ophtalmologie pédiatrique, Elsevier Health Sciences, (lire en ligne), p. 190-198 et 632-634
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J.-A. Bernard, P. Ritleng, A. Ducasse, V. Ameline, F. Mann, « Physiologie de l'excrétion des larmes : les voies lacrymales », Encycl Med Chir - Ophtalmologie, vol. 5, no 2, , p. 1-12 (DOI10.1016/S0246-0343(08)44159-X).
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La clignement d'œil répartit le film lacrymal à la surface de la cornée. Une partie du film s'évapore, l'autre s'accumule le long des bords libres des paupières supérieure et inférieure, formant la rivière palpébrale supérieure et inférieure (Figure 15 : les rivières lacrymales palpébrales et le lac lacrymal). Ces deux rivières se rejoignent dans le canthus interne au niveau du premier lac lacrymal, lequel alimente deux rivières canaliculaires. Ces deux rivières se rejoignent dans le sac lacrymal au niveau du second lac lacrymal qui alimente la rivière lacrymo-nasale dans le canal du même nom, cette dernière se jetant dans l’océan que représentent les cavités nasales. Cf Patrick Klap, Jean-Antoine Bernard, « La dacryocystorhinostomie », Les monographies du cca groupe, no 31, , p. 13.