(de) Otto Schrader, Die Indogermanen, Leipzig, coll. « Wissenschaft und Bildung » (no 77), , p. 158 sq, 10, 33 Dans la deuxième édition fortement retravaillée après la mort de Schrader, l'allusion au mot tokharien n'est plus incluse : (de) Otto Schrader, Die Indogermanen : neu bearbeitet von Hans Krahe, Leipzig, , 2e éd.. Lothar Kilian pensait que Schrader n'avait pas connu le mot tokharien : (de) Lothar Kilian, Zum Ursprung der Indogermanen : Forschungen aus Linguistik, Prähistorie und Anthropologie, Bonn, R. Habelt, , 178 p. (ISBN978-3-7749-2035-4, BNF34822018), p. 38. Cf. aussi : Lothar Kilian, De l'origine des Indo-Européens, Paris, Editions du Labyrinthe, , 623 p. (ISBN978-2-86980-029-8), p. 51. Pour (de) Wolfgang Krause, « Zum Namen des Lachses », Nachrichten der Akademie der Wissenschaften in Göttingen, Philologisch-historische Klasse, , p. 83 et Albert Joris van Windeke, « L’origine directe et indirecte de thokarien B laks, poisson », Zeitschrift der Deutschen Morgenländischen Gesellschaft, no 120, , p. 305, le découvreur est Sylvain Lévi, « Remarques sur les formes grammaticales de quelques textes en tokharien I », Mémoires de la Société de linguistique de Paris, vol. 18, 1912–1914, p. 1–33, 381–423, ici p. 389 (1914). On ne sait pas si Schrader a connu le mot Lachs tokharien par correspondance avec un chercheur sur les fragments ; il a appris les mots tokhariens pour sel et semer de Sieg und Siegling (Indogermanen p. 160). Krause utilise cependant comme Schrader la formulation que le mot Lachs aurait émergé.
Simpson 1989, s.v. "lox" sb.2 – (en) Ron Rosenbaum, « A Lox on Your House. How Smoked Salmon Sold Its Soul and Lost Its Flavour », New Republic, (lire en ligne) (consulté le 10/01/2015)
web.archive.org
(en) R. Larry Trask et Max W. Wheeler (dir.), Etymological Dictionary of Basque, University of Sussex, (lire en ligne), p. 236 (consulté le 12/01/2015)