Il n’en reste que des fragments : Théodore de Cyrène, Thérapeutique des maladies helléniques, XII, 61–65 (Socrate colérique) ; Plutarque, De la malignité d'Hérodote (856 c) : (« Socrate sans éducation, ignorant et débauché » [lire en ligne]), Diogène Laërce, II, 19 (Socrate, élève d’Archélaos) et II, 20 (Socrate spéculateur) [lire en ligne] ; Louis-André Dorion, Socrate, Paris, Presses universitaires de France, coll. « Que sais-je ? », 2004, p. 120-122.