Texte latin pris sur le site de l'Académie de Nice. On peut traduire par : « En effet, qu'est-ce qui peut être aussi comique que l'est un bouffon ? C'est qu'il nous fait rire par sa bouche, par sa figure, par ses parodies, par sa voix, par tout son corps enfin. ».
Andrew Gerstle, Recovering the Orient: Artists, Scholars, Appropriations, Routledge, 1995, p. 80 [3].
persee.fr
Jean Adigard des Gautries, « Les noms de lieux du Calvados attestés entre 911 et 1066 (suite) » in Annales de Normandie, 1953, Volume 3, Numéro 3-1, p. 26 (lire en ligne) [2]