David Albright, North Korea's Alleged Large-Scale Enrichment Plant : Yet Another Questionable Extrapolation Based on Aluminum Tubes, 23 février 2007. Ce rapport de l'ISSI observe notamment que "The 2002 U.S. intelligence assessment that originally claimed to have established the existence of this plant appears to be based heavily on the order of thousands of aluminum tubes. Like the Iraqi high strength aluminum tubes used by the CIA to argue that Iraq was building thousands of gas centrifuges, the analysis about North Korea's program also appears to be flawed. The intelligence community conducted this assessment at the same time it produced a number of flawed assessments about Iraq's WMD program, which alone should trigger concern about past assessments of North Korea's centrifuge program."
issn.org
portal.issn.org
« Corée du Nord : Le difficile accès à la dissuasion », Défense et sécurité international, Paris, no 121, , p. 21 (ISSN1772-788X, OCLC644528273)
Bruce Cumings, « This Is What’s Really Behind North Korea’s Nuclear Provocations », The Nation, (ISSN0027-8378, lire en ligne, consulté le )
korea-is-one.org
Selon Jean-René Kim, citant ?language=printer Glenn Kesler du "Washington Post", "James A. Kelly et J. Pritchard semblent bien avoir délibérément surinterprété les propos de Kang Suk-ju, comme l'indique le compte rendu a posteriori d'un autre membre de la délégation américaine qui assistait également à cet entretien" : « Un officiel présent à la rencontre de 2002 a dit que Pritchard et le Secrétaire d'État adjoint James A. Kelly ont commencé à passer des notes alors que Kang Suk-ju, le premier vice-ministre nord-coréen des affaires étrangères, "le visage enfiévré et l'air défiant", commença un monologue de cinquante minutes en réaction à la déclaration américaine selon laquelle il était connu que la Corée du Nord avait un programme d'enrichissement. Au fur et à mesure de l'avancement de la traduction, Pritchard et Kelly se passaient l'un l'autre des notes, demandant : "Est-il en train de dire que nous croyons ce qu'il dit ?" Une demi-minute plus tard, ils se passèrent encore des papiers, qui disaient en effet, "Peu importe, c'est clair". » Source Jean-René Kim, "Corée du Nord : fin de partie pour les néoconservateurs américains", sur le site de l'association d'amitié belgo - nord-coréenne "Korea is one".
Jimmy Carter, « Saving nonproliferation », The Washington Post, 28 mars 2005, cité par Gavan McCormack, professeur à la Research School of Pacific and Asian Studies près l'Université nationale d'Australie, coordinateur de "Japan Focus", dans l'article de "Japan Focus" : "Le « problème nord-coréen », le Japon et les États-Unis : la politique de l'hypocrisie", disponible à l'adresse suivante www.korea-is-one.org
« Corée du Nord : test d'interception d'un missile intermédiaire réussi par les Américains », leparisien.fr, 2017-07-31cest00:53:47+02:00 (lire en ligne, consulté le ).
Selon Jean-René Kim, citant ?language=printer Glenn Kesler du "Washington Post", "James A. Kelly et J. Pritchard semblent bien avoir délibérément surinterprété les propos de Kang Suk-ju, comme l'indique le compte rendu a posteriori d'un autre membre de la délégation américaine qui assistait également à cet entretien" : « Un officiel présent à la rencontre de 2002 a dit que Pritchard et le Secrétaire d'État adjoint James A. Kelly ont commencé à passer des notes alors que Kang Suk-ju, le premier vice-ministre nord-coréen des affaires étrangères, "le visage enfiévré et l'air défiant", commença un monologue de cinquante minutes en réaction à la déclaration américaine selon laquelle il était connu que la Corée du Nord avait un programme d'enrichissement. Au fur et à mesure de l'avancement de la traduction, Pritchard et Kelly se passaient l'un l'autre des notes, demandant : "Est-il en train de dire que nous croyons ce qu'il dit ?" Une demi-minute plus tard, ils se passèrent encore des papiers, qui disaient en effet, "Peu importe, c'est clair". » Source Jean-René Kim, "Corée du Nord : fin de partie pour les néoconservateurs américains", sur le site de l'association d'amitié belgo - nord-coréenne "Korea is one".