Les plus anciennes céramiques en Afrique subsaharienne sont, en 2009, datées de 9400 AEC : (en) Eric Huysecom, Michel Rasse, Laurent Lespez, Katharina Neumann, A. Fahmy, Aziz Ballouche, Sylvain Ozainne, M. Magetti, Chantal Tribolo et S. Soriano, « The emergence of pottery in Africa durant the 10th millenium calBC: new evidence from Ounjougou (Mali) », Antiquity, no 83, , p. 1-13 (lire en ligne), voire plus encore : quelques tessons fragmentaires, datés en 2012 de ayant été découverts en Afrique de l'Ouest (Mali), Éric Huysecom, « Un néolithique très ancien en Afrique de l'Ouest ? », Pour la science « dossier n. 76 », , p. 88 (lire en ligne)
Susan Elizabeth Gagliardi et Cleveland Museum of Art (trad. de l'anglais, préf. Constantin Petridis), Senufo sans frontières : La dynamique des arts et des identités en Afrique de l'ouest, Cleveland/Milan/Paris, The Cleveland Museum of Art, et 5 Continents éditions, , 287 p., 30 cm (ISBN978-88-7439-713-6, BNF44409115), p. 61 et suivantes : L'identité senufo et ses fondements au XIXe siècle . Cette question concerne aussi le terme « Bambara », qui provient de la transcription française d'un nom donné « de l'extérieur », par les populations de la boucle du Niger (...) : citation tirée de
Jean-Paul Colleyn, Bamana, 5 Continents éditions, , 137 p., 23 cm (ISBN978-88-7439-347-3), p. 7. L'auteur développe précisément les implications de ce court extrait dans les pages suivantes.
Carl Einstein (trad. de l'allemand par Liliane Meffre), La sculpture nègre [« Negerplastik »], Paris/Montréal (Québec), l'Harmattan, coll. « L'art en bref », , 123 p., 21 cm (ISBN978-2-7384-7156-7, BNF37321195), p. 18. Sur le fait que Negerplastik soit considéré comme le premier ouvrage théorique sur l'esthétique des arts de l'Afrique : Yaëlle Biro, 2018, p. 109
Lauricq Zerbini, L'Afrique sans masque, Lyon, Lyon : Muséum d'Histoire naturelle, , 223 p., 32 cm (ISBN978-2-913323-15-5, BNF38813339)
Entre autres : Jean-Pierre Chrétien et Gérard Prunier, Les ethnies ont une histoire, Paris, Karthala, , 435 p. (ISBN978-2-84586-389-7) ; Jean-Loup Amselle et Elikia M'Bokolo, Au cœur de l'ethnie : ethnies, tribalisme et État en Afrique, Paris, La Découverte, , 225 p. (ISBN978-2-7071-1524-9, BNF36607822). Dans le domaine de l'art africain, Lucien Stéphan a trouvé une solution, le concept de « famille », dans son analyse comparative telle qu'elle est présentée par Jean-Louis Paudrat dans le même ouvrage : Kerchache, Paudrat, Stéphan, 2008, p. 30-33.
Mamadou Diawara, 1994, Le cimetière des autels, le temple aux trésors : réflexions sur les musées d'art africain, in Wissenschaftskolleg zu Berlin Jahrbuch 1994-95, p. 226-252 [7]. Ainsi que: Mamadou Diawara, 2009, Pourquoi des musées ? Mémoires locales et objets dans les musées africains dans Images, Mémoires et Savoirs, 2009, p. 231-245 sur [8]
Dans « Aspects de la sculpture traditionnelle du Gabon », in Anthropos no 63-64, 1968-1969, p. 869-888, [lire en ligne]
jeuneafrique.com
Jean-Sébastien Josset, « « L’Afrique est un pays de race noire » : la géographie raciste à l’usage des nuls, par Gilbert Collard », Jeune Afrique, (lire en ligne)
jstor.org
Sidney Littlefield Kasfir, 1984, One Tribe, One Style? Paradigms in the Historiography of African Art. [2]
Les reproductions des peintures ont été réalisées en 1956 et 1957 par Henri Lhote et son équipe. Elles sont conservées au Musée de l'Homme. Massif d'Aouanrhet, à proximité de l' Oasis de Djanet et du plateau de Jabbaren, sud de l'Algérie. Henri Lhote À la découverte des fresques du Tassili, Arthaud 1958, p. 88 et 252. Référence : Algérie : Mémoire de pierre. Site du Musée de l'Homme
nytimes.com
Le Metropolitan Museum of Art de New-York a exposé en 1998, une cinquantaine de leurs œuvres dans une exposition intitulée : Master Hand: Individuality and Creativity Among Yoruba Sculptors (Main de Maître, Individualité et Créativité parmi les Sculpteurs Yoruba) (article en ligne du New York Times, 26-09-1997). Le nom de l'artiste accompagnait le descriptif et le titre de chaque œuvre. Voir L'empreinte noire: où il apparaît que l'art primitif n'est pas une mince affaire, p. 197 de Raoul Lehuard, Éditeur L'Harmattan, 2007 (ISBN978-2-296-03190-6).
openedition.org
journals.openedition.org
Pour exemple : Claire Bosc-Tiessé, « Cultures chrétienne et islamique du livre manuscrit en Éthiopie : reconsidérer irréductibilités et croisements », Afriques [Online], no 8, (lire en ligne, consulté le ).
Pour la notion d'art africain précontemporain : Claire Bosc-Tiessé et Peter Mark, « En quête d’une histoire des arts d’Afrique précontemporains. Réflexions préliminaires pour un état des lieux », Afriques [Online], no 10, (lire en ligne, consulté le ).
persee.fr
Peter Mark, « Est-ce que l'art africain existe ? », Outre-Mers. Revue d'histoire, no 318, , p. 3-19 (lire en ligne, consulté le ).
Peter Mark, 1998, Est-ce que l'art africain existe ?[1].
Les plus anciennes céramiques en Afrique subsaharienne sont, en 2009, datées de 9400 AEC : (en) Eric Huysecom, Michel Rasse, Laurent Lespez, Katharina Neumann, A. Fahmy, Aziz Ballouche, Sylvain Ozainne, M. Magetti, Chantal Tribolo et S. Soriano, « The emergence of pottery in Africa durant the 10th millenium calBC: new evidence from Ounjougou (Mali) », Antiquity, no 83, , p. 1-13 (lire en ligne), voire plus encore : quelques tessons fragmentaires, datés en 2012 de ayant été découverts en Afrique de l'Ouest (Mali), Éric Huysecom, « Un néolithique très ancien en Afrique de l'Ouest ? », Pour la science « dossier n. 76 », , p. 88 (lire en ligne)
Dans The Death of Authentic Primitive Art and Other Tales of Progress (p. 155-158, Éditeur University of California Press, 1998 (ISBN0520212118)), Shelly Errington(en) soumet l'idée que la sculpture traditionnelle africaine serait originellement anonyme et que la tentative pour restituer les œuvres à des auteurs aurait une motivation commerciale. Cependant, si les marchands d'art ont pu s'emparer du phénomène pour faire monter les prix, le mouvement de restitution est issu de la recherche ethnologique.
wiko-berlin.de
Mamadou Diawara, 1994, Le cimetière des autels, le temple aux trésors : réflexions sur les musées d'art africain, in Wissenschaftskolleg zu Berlin Jahrbuch 1994-95, p. 226-252 [7]. Ainsi que: Mamadou Diawara, 2009, Pourquoi des musées ? Mémoires locales et objets dans les musées africains dans Images, Mémoires et Savoirs, 2009, p. 231-245 sur [8]