Barbara Brennan Ford, « The Arts of Japan », The Metropolitan Museum of Art Bulletin, vol. 45, no 1, , p. 1–56 (ISSN0026-1521, DOI10.2307/3259426, lire en ligne, consulté le ).
doi.org
Ogata Korin et les hinagata bon(en) Frank Feltens, « Sartorial Identity: Early Modern Japanese Textile Patterns and the Afterlife of Ogata Kōrin », Ars Orientalis, vol. 47, non daté (lire en ligne, consulté le ). Voir aussi Betty Y. Siffert : ["Hinagata Bon": The Art Institute of Chicago Collection of Kimono Pattern Books][7], sur Art Institute of Chicago Museum Studies, Vol. 18, No. 1, Five Centuries of Japanese Kimono: On This Sleeve of Fondest Dreams (1992), pp. 86-94+103 (10 pages).
Amaury A. Garcia Rodriguez, « Le shunga et les récits de l'histoire de l'art japonais », Perspective - INHA, , p. 189-200 (ISSN2269-7721, lire en ligne, consulté le ).
François Macé, « Un art barbare dans l'archipel japonais : les tombes décorées du VIe siècle », Perspective - INHA, , p. 127-137 (ISSN2269-7721, lire en ligne, consulté le ).
Barbara Brennan Ford, « The Arts of Japan », The Metropolitan Museum of Art Bulletin, vol. 45, no 1, , p. 1–56 (ISSN0026-1521, DOI10.2307/3259426, lire en ligne, consulté le ).
Atsushi Miura, « La construction de l’histoire de l’art au Japon à travers les échanges franco-japonais », Perspective - INHA, , p. 133-152 (ISSN2269-7721, lire en ligne, consulté le ).
jst.go.jp
jstage.jst.go.jp
Koyama Kiyoo, 直弧文考 (sommaire) : [1]. On peut en admirer notamment dans la tombe de Senzoku (千足) dans la préfecture d'Okayama, au tumulus d'Idera (井寺), préfecture de Kumamoto(熊本県, Kumamoto-ken?) ou encore au kofun de Sekijinyama (石人山) dans la préfecture de Fukuoka(福岡県, Fukuoka-ken?).
jstor.org
Barbara Brennan Ford, « The Arts of Japan », The Metropolitan Museum of Art Bulletin, vol. 45, no 1, , p. 1–56 (ISSN0026-1521, DOI10.2307/3259426, lire en ligne, consulté le ).
Ogata Korin et les hinagata bon(en) Frank Feltens, « Sartorial Identity: Early Modern Japanese Textile Patterns and the Afterlife of Ogata Kōrin », Ars Orientalis, vol. 47, non daté (lire en ligne, consulté le ). Voir aussi Betty Y. Siffert : ["Hinagata Bon": The Art Institute of Chicago Collection of Kimono Pattern Books][7], sur Art Institute of Chicago Museum Studies, Vol. 18, No. 1, Five Centuries of Japanese Kimono: On This Sleeve of Fondest Dreams (1992), pp. 86-94+103 (10 pages).
khanacademy.org
La bannière de Mawangdui (Han Occidentaux ~190-168 AEC) évoque aussi le passage de la vie à la mort. Au sommet de la bannière, le monde céleste est signifié par le crapaud sur la lune (dans l’angle gauche) et par le corbeau, associé au soleil (dans l'angle droit). Jennifer N. McIntire (University of Massachusetts) et Wu Hung (University of Chicago), Funeral banner of Lady Dai (Xin Zhui), sur Khan Academy: [2].
kyohaku.go.jp
Kegon engi emaki : [4], sur Kyoto National Museum.
nich.go.jp
emuseum.nich.go.jp
Boîte à produits cosmétiques en ikakeji raden, époque de Kamakura : [3]. Musée national de Tokyo. H-4445
Amaury A. Garcia Rodriguez, « Le shunga et les récits de l'histoire de l'art japonais », Perspective - INHA, , p. 189-200 (ISSN2269-7721, lire en ligne, consulté le ).
Inada Takashi, Laurent Nespoulos et Jean Paul Demoule, « Art et Préhistoire au Japon : Les Jōmon », Perspective « Japon », , p. 28 (21-42) (lire en ligne, consulté le ).
François Macé, « Un art barbare dans l'archipel japonais : les tombes décorées du VIe siècle », Perspective - INHA, , p. 127-137 (ISSN2269-7721, lire en ligne, consulté le ).
Nishida Masatsugu, Yagasaki Zentarõ, Yoshida Kõichi et Jean Sébastien Cluzel, « Transmission du patrimoine architectural au Japon : décryptage », Persperctive, vol. 1 « Japon », , p. 43-66 (lire en ligne, consulté le ).
Nicolas Fiévé, « Histoire de l'architecture et des jardins du Japon pré-moderne : Katsura », Annuaire de l'École pratique des Hautes Études, section des sciences historiques et philosophiques, no 144, , p. 275-288 (lire en ligne).
Christophe Marquet, « Éloge du primitivisme : d'autres visages de la peinture japonaise prémoderne », Perspective, vol. 1 « Japon », , p. 221-236 (lire en ligne, consulté le ).
Amaury A. Garcia-Rodriguez, « Le shunga et les récits de l'histoire de l'art japonais », Perspective, vol. 1 « Japon », , p. 189-200 (lire en ligne, consulté le ).
Atsushi Miura, « La construction de l’histoire de l’art au Japon à travers les échanges franco-japonais », Perspective - INHA, , p. 133-152 (ISSN2269-7721, lire en ligne, consulté le ).
persee.fr
« Shōsō-in », dans Iwao Seiichi et al., Dictionnaire historique du Japon, Tokyo, Maison Franco-Japonaise, (lire en ligne), p. 100-101.
Iwao Seiichi, « Okakura Kakuzō », dans Iwao Seiichi et al., Dictionnaire historique du Japon, Paris, Maisonneuve et Larose, (ISBN2-7068-1633-3, lire en ligne), p. 62-63.
« On doit ainsi au père de la peinture occidentale, Takahashi Yuichi (1828- 1894), la création de la toute première revue d’art en 1880, sous le merveilleux titre de Gayû sekichin 臥遊席珍 (Trésors exquis offerts à la délectation picturale) » : Christophe Marquet, Défense et illustration de l’art national à la fin du XIXe siècle : la création de la revue kokka. , INALCO-Centre d'études japonaises, EFEO, 2005. [9].
