Les légistes peuvent en effet déterminer si les moines ont été « égorgés de leur vivant avant d’être décapités », ce qui correspondrait plutôt à une pratique habituelle du GIA, ou si « la décapitation a été effectuée post-mortem, cela signifierait que leur assassinat est dû à une autre cause et cela mettrait à mal le communiqué du GIA ». Source : Patricia Tourancheau, « Moines de Tibéhirine : la délicate mission du juge Trévidic en Algérie », sur liberation.fr, Libération, .
Armand Veilleux, « Hypothèses sur la mort des moines de Tibéhirine », tribune dans Le Monde du 24 janvier 2003, (voir paragraphe sur la thèse d'Abdelkader Tigha) article en ligne.