Selon le journal de Jehan Rictus qui tenait l'information de Marcelle Dalti, secrétaire de Rodin : « Rodin a deux enfants avec son élève Mlle Claudel ; et un enfant avec une boniche appelée Rose, enfant qu'il ne veut pas voir », Journal quotidien, cahier 60, p. 59 à la date du 22 novembre 1910 : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b530948709/f64.image
En effet, grâce aux moules réalisés par l'artiste, ses œuvres sont infiniment reproductibles[réf. nécessaire]. La loi française, détenant l'héritage de Rodin, autorise cette reproduction. Le modèle, issu du moule, est identique, simplement la date va différer. Le bronze permet cet héritage encore animé aujourd'hui. Cependant, l'œuvre doit porter la mention de l'Atelier de Rodin, ainsi que la date à laquelle elle a été réalisée. Le mot "reproduction" doit paraître sur la sculpture reproduite en question. à lire Serge Gérard, Rodin, l'homme d'airain, Cheminements, , 120 p. (lire en ligne), p. 10.
c2rmf.fr
In Thierry Borel, « La radiographie des objets d'art : la révolution de l'image », Persée, no 2, Paris, 1995, p. 153-156, dans ([PDF] en ligne).
(en) Frederic V. Grunfeld, Rodin: A Biography, Plunkett Lake Press, (lire en ligne).
google.fr
books.google.fr
La Polonaise de Rodin, Paris, France-Empire, 1986, 294 p. (ISBN2704805040). Biographie de Sophie Postolska (1868-1942), aristocrate polonaise, élève et maîtresse d'Auguste Rodin dans la période 1898-1905, d'après son journal intime, des papiers de famille et des lettres échangées avec Rodin. Ces documents ont été trouvés après la mort de Sophie Postolska par Jean Dorizon, fils de sa sœur cadette Casimira et de son beau-frère Louis Dorizon, qui les mit dans un tiroir. François Dorizon, fils de Jean, les retrouva en 1970 et demanda en 1985 à Marc Toledano d'en tirer un ouvrage. Ruth Butler, Rodin: The Shape of Genius, Yale University Press, 1996, p. 346 et 544 (en ligne).
Ruth Butler, Rodin: The Shape of Genius, Yale University Press, 1996, p. 346 et 544 (en ligne). Marc Toledano, La Polonaise de Rodin, Paris, France-Empire, 1986, 294 p. (ISBN2704805040).
Ce buste a été retrouvé par hasard en 2014 lors d'un inventaire réalisé dans la salle du conseil municipal de la ville de Madison (New-Jersey). L'expert parisien Jérôme Le Blay, auteur du catalogue raisonné de Rodin, s'est rendu à Madison en septembre 2015 pour l'authentifier. De plus, dans le fonds documentaire du Comité Auguste Rodin, une photographie montre le sculpteur posant avec le buste de Napoléon, que l'on croyait perdu. Il a été probablement réalisé entre 1907 et 1908, puis acheté en 1909, par un américain. Compte tenu de sa valeur (entre 4 et 12 millions de dollars), la ville, tout en révélant officiellement la découverte, indique que la fondation propriétaire de la sculpture, le Hartley Dodge Memorial(en) de Madison, vient de la confier au Philadelphia Museum of Art de Philadelphie (cf. « Après avoir pris la poussière pendant 80 ans, une œuvre de Rodin vient d'être retrouvée par hasard », sur huffingtonpost.fr, (consulté le ).
hypotheses.org
tablesdetravail.hypotheses.org
François Blanchetière, conservateur du patrimoine au musée Rodin, Paris et Meudon, « Reproduire pour diffuser », 12 novembre 2012 (en ligne).
Réalisé par des praticiens comme Bernard, Bourdelle, Desbois, Despiau, Escoula, Peter, Pompon, Soudbidine… ([PDF] musee-rodin.fr).
Rodin s’entoure alors de praticiens afin de se constituer un atelier, que Camille Claudel intègre vers 1884. L’incertitude demeure quant à la nature exactes des travaux dont elle est chargée, mais il semble qu’elle exécute surtout des morceaux difficiles, comme les mains et les pieds des figures destinées aux sculptures monumentales (en particulier La Porte de l’Enfer). Il s’agit pour Claudel d’une période de formation sous la direction de Rodin : elle assimile la théorie des profils et comprend l’importance de l’expression (musee-rodin.fr).
Il travaille pour Rodin à partir de 1871 (voir Ruth Butler, p. 70), il est le praticien marbrier de La Petite Mousquetaire (collections.musee-rodin.fr).
Il entre dans l'atelier de Rodin en 1908, puis après le mort de Rodin devient chef-mouleur du musée Rodin jusqu'en 1940. C'est à lui que l'on doit le moule et la version définitive de la porte de l'Enfer.([1]). Sa collection personnelle est donnée à la Ville d'Issy-les-Moulineaux en 1966 après sa mort. On lui doit "Moulage de la main d'Auguste Rodin tenant un torse féminin" (1917) dans la collection du musée Rodin ([2]).
Site de la Réunion des musées nationaux [lire en ligne].
rodin100.org
Il entre dans l'atelier de Rodin en 1908, puis après le mort de Rodin devient chef-mouleur du musée Rodin jusqu'en 1940. C'est à lui que l'on doit le moule et la version définitive de la porte de l'Enfer.([1]). Sa collection personnelle est donnée à la Ville d'Issy-les-Moulineaux en 1966 après sa mort. On lui doit "Moulage de la main d'Auguste Rodin tenant un torse féminin" (1917) dans la collection du musée Rodin ([2]).
Il réalise pour Rodin la seconde version en marbre du Baiser, aujourd'hui à la Tate Modern de Londres (tate.org.uk).
tourisme.fr
Fédération nationale des offices du tourisme et syndicats d'initiative, Aix-les-Bains, office du tourisme.
univ-paris1.fr
hicsa.univ-paris1.fr
Son père a deux frères tous deux enseignants. L'un, Hyppolite, est directeur d'établissement à Beauvais et Alexandre est professeur de latin, et une sœur, Marie-Désirée qui est mariée à Jean Stanislas Coltat, qui possède une bijouterie religieuse. Les revenus du ménage Rodin sont limités au salaire paternel qui ne s'élève pas au niveau de la petite bourgeoisie du XIXe siècle (voir Maxime Paz, « L’autobiographie de Rodin : une fiction ? », in Catherine Méneux, Emmanuel Pernoud et Pierre Wat (éd.), Actes de la journée d’études Actualité de la recherche en XIXe siècle, master 1, années 2012 et 2013, Paris, site de l’HiCSA, [PDF] en ligne).
Ce buste a été retrouvé par hasard en 2014 lors d'un inventaire réalisé dans la salle du conseil municipal de la ville de Madison (New-Jersey). L'expert parisien Jérôme Le Blay, auteur du catalogue raisonné de Rodin, s'est rendu à Madison en septembre 2015 pour l'authentifier. De plus, dans le fonds documentaire du Comité Auguste Rodin, une photographie montre le sculpteur posant avec le buste de Napoléon, que l'on croyait perdu. Il a été probablement réalisé entre 1907 et 1908, puis acheté en 1909, par un américain. Compte tenu de sa valeur (entre 4 et 12 millions de dollars), la ville, tout en révélant officiellement la découverte, indique que la fondation propriétaire de la sculpture, le Hartley Dodge Memorial(en) de Madison, vient de la confier au Philadelphia Museum of Art de Philadelphie (cf. « Après avoir pris la poussière pendant 80 ans, une œuvre de Rodin vient d'être retrouvée par hasard », sur huffingtonpost.fr, (consulté le ).