Auguste Zamoyski (French Wikipedia)

Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Auguste Zamoyski" in French language version.

refsWebsite
Global rank French rank
low place
low place
low place
low place
low place
low place
low place
low place
low place
low place
low place
low place
124th place
14th place
2,844th place
3,638th place
low place
low place
6,348th place
low place
565th place
440th place
7,071st place
low place
low place
low place
968th place
60th place
low place
low place
low place
low place
low place
low place
low place
low place
1,209th place
2,615th place
low place
low place
low place
low place

augustzamoyski.eu

  • Zamoyski présente sept œuvres, parmi lesquelles Łza (« Larme »). On trouve un Kalendarium détaillé des expositions de Zamoyski sur le site du Muzeum Augusta Zamoyskiego de Jabłon, le village natal du sculpteur

bnf.fr

gallica.bnf.fr

  • Sur Rita Sacchetto, on lira en particulier : Karl Toepfer, Empire of Ecstasy : Nudity and Movement in German Body Culture, 1910-1935, University of California Press, 1997, pages 235 et suiv.. Également : Mary Simonson, Body knowledge - Performance, intermediality, and American entertainment at the turn of the twentieth century, Oxford University Press, 2013, en particulier le chapitre 4 sur : Dancing pictures : Rita Sacchetto's Tanzbilder, pages 106 et suiv.. La collaboration de Rita Sacchetto et Auguste Zamoyski pour la création de représentations formistes dansées ( Tanzbilder ou danses d'art, véritable statuaire vivante, selon un critique) fut particulièrement remarquée à l'occasion du sketch Kokaina, dont la première eut lieu à Zakopane à la fin de l’année 1921, et qui fut présenté en tournée à Munich, Vienne, Zagreb, Budapest et Prague en 1922. Selon une recension de l’époque, Rita Sacchetto s'y montrait « au sommet de ses talents de danseuse et de mime » tandis que « le comte Zamoyski créait un cadre véritablement artistique pour cette symphonie de sons et de couleurs ». Voir (en polonais) : Małgorzata Geron, La danse dans la création des formistes, Actes de l'Université Nicolas Copernic, Département des Monuments historiques, Torun, 2011, page 193. Voir sur Gallica : Photographie de presse, 1923 de la « comtesse Zamoiska (sic) qui sous le nom de Rita Sacchetto joua à l’opéra de Vienne »

culture.pl

dropbox.com

egliserusse-prieure-sylvanes.com

  • Le musée Auguste Zamoyski, sur le site officiel du Prieuré des Granges. Le Prieuré des Granges est situé près de l'abbaye de Sylvanès

galeriawramach.pl

google.pl

books.google.pl

  • Fils de Tomasz Zamoyski (1861 - 1935) et de Ludmila, née Zamoyska (1864 - 1928), Auguste comte Zamoyski était donc « deux fois Zamoyski, par son père et par sa mère » qui appartenait à une branche des Zamoyski ayant fait souche en Hongrie. Voir : Hélène Zamoyska, Portrait d'un artiste, in : Auguste Zamoyski, Au-delà du formisme, L'Âge d'homme, coll. « Slavica - Écrits sur l'art », n°4, 1975, page 7. Auguste Zamoyski avait deux sœurs plus âgées que lui, Elżbieta (née en 1888) et Elfryda (née en 1890). Sur la famille Zamoyski, on pourra se référer, entre autres, à: Seweryn Uruski, Notices sur les familles illustres et titrées de la Pologne, A. Franck, libraire, Paris, 1862, pages 199 et suiv. (en ligne)
  • En 1945, il fit transporter certaines de ses sculptures restées en France, aux États-Unis, où il ne put parvenir à attirer l'attention des critiques, puis au Brésil. Voir : Magazine Life, 14 février 1949

ladepeche.fr

meakultura.pl

  • Information sur cette sculpture sur le site culturel Mea Kultura

mnw.art.pl

monoskop.org

  • On peut lire les no 5 et no 6 de la revue sur le site Monoskop.org qui reproduit également l'affiche de présentation de la 1re Exposition des Formistes polonais, tenue à Varsovie en avril - mai 1919

muzeumliteratury.pl

rcin.org.pl

  • De retour en Pologne après un séjour de cinq ans en Espagne (1915 - 1920), « Peiper écrivit pour Ultra quelques articles, entre autres, en novembre 1921, le texte : Une nouvelle théorie de l'art sur le livre de Léon Chwistek Wielośc rzeczywistości. La revue se convertit en modèle pour la création conceptuelle de Zwrotnica et il en reprit des poèmes d'auteurs d'avant-garde espagnols et français qu'il traduisait et interprétait lui-même. » Voir : Piotr Rypson (ed.) Tadeusz Peiper, Heraldo de la vanguardia entre España y Polonia, Muzeum Narodowe w Warsazwie y Real Academia de Bellas Artes de San Fernando, Madrid, 2015, page 547. Sur la revue Zwrotnica, également : Piotr Rypson, De "guarda-gujas" a "Papa de la vanguardia", in : Piotr Rypson (ed.) Tadeusz Peiper, Heraldo de la vanguardia entre España y Polonia, Muzeum Narodowe w Warsazwie y Real Academia de Bellas Artes de San Fernando, Madrid, 2015, pages 265 - 277. Cet ouvrage, très richement documenté, a été publié à l'occasion de l'exposition sur Tadeusz Peiper présentée à Varsovie en mai - août 2015, puis à Madrid en septembre - novembre 2015. Les douze numéros de la revue, parus entre 1922 et 1927, sont disponibles sur le site du RICN - Digital Repositary of Scientific Institutes

rennewmuzeum.blogspot.com

  • Affiche de l'exposition : BUNT, Ausstellung Expressionistischer Kunst, von 1. zu 30. April 1918. La Société des Amis des Beaux-Arts de Poznań ayant jugé immorales quatre œuvres de Zamoyski et une gravure de Stefan Szmaj (1893 - 1970), Pocałunek (« Le baiser »), l'exposition fut annulée et transférée dans une autre galerie de Poznań où elle fut présentée de manière autonome par Bunt. Rappelons qu'à cette époque, Poznań (Posen, en allemand) était sous administration prussienne

rynekisztuka.pl

  • Affiche de l'exposition : BUNT, Ausstellung Expressionistischer Kunst, von 1. zu 30. April 1918. La Société des Amis des Beaux-Arts de Poznań ayant jugé immorales quatre œuvres de Zamoyski et une gravure de Stefan Szmaj (1893 - 1970), Pocałunek (« Le baiser »), l'exposition fut annulée et transférée dans une autre galerie de Poznań où elle fut présentée de manière autonome par Bunt. Rappelons qu'à cette époque, Poznań (Posen, en allemand) était sous administration prussienne

starakfoundation.org

sylvanes.com

umk.pl

bu.umk.pl

  • Née en 1906, Maria Maneta Radwan est une comédienne et chanteuse polonaise. Lorsqu'elle se produisit au Théâtre Bériza, en 1927 à Paris, sous la direction de Léon Chancerel, la presse fut unanime. Un critique enthousiaste écrivait : Celle « dont les jambes sont d'un acrobate et le cœur est d'une Ophélie n'est-elle pas le vivant symbole de l'acteur complet que réclame la mission nouvelle » du théâtre ? Elle épouse Zamoyski en 1933 et s'en sépare en 1939. En 1959, elle se marie en secondes noces avec le sculpteur français Jean-Claude de Saint-Marceaux. Voir : Maryline Romain, Léon Chancerel : portrait d'un réformateur du théâtre français (1886-1965), L'Âge d'homme, 2005, pages 105 -106. Également : Joanna Krasnodębska, Angielka w Paryzu : Listy Haliny Korn -Zulawskiej do męża (maj - czerwiec 1950), Archiwum emigracji : Studia, szkice, dokumenty, Torun, no1 - 2 (16 - 17), 2012, page 163. Sa mère, née Wertheim, était d'une famille de musiciens, et fut liée un temps avec le pianiste Artur Rubinstein. Voir : Harvey Sachs, Rubinstein, a life, Grove Press, New-York, 1995, pages 108 et suiv.

witkacologia.eu

  • Reproduction de cette couverture sur le site Witkakologia
  • L'article publié dans le No 3 de Zwrotnica, en novembre 1922, est accompagné de photographies des œuvres suivantes du sculpteur : Ich dwoje (en deux versions de 1921 et 1922), Portrait de l'architecte Adolf Loos et Portrait de P. Lusia Aderowa. Traduction française par Hélène Zaymoyska, sous le titre La Passion du façonnage, in: Auguste Zamoyski, Au-delà du Formisme, L'Âge d'homme, coll. « Slavica - Écrits sur l'art », n°4, 1975, pages 85 - 91. Par ailleurs, Zamoyski est l'auteur de l'illustration de couverture du no 4 de Zwrotnica , publié en février 1923. Voir : Reproduction de cette couverture sur le site Witkacologia

yale.edu

brbl-dl.library.yale.edu

  • Manifiesto ultraista : Vertical, Supplément au no 50 de la revue Grecia, Novembre 1920 (traduit de l'espagnol). Le texte est accompagné d'une effigie de l'auteur par le peintre uruguayen Rafael Barradas et de « bois » d'ornement par le peintre argentin Norah Borges. Reproduction du Manifeste sur le site de la Beinecke rare book and manuscript library, Yale University Library. Voir également : Guillermo de Torre, Literaturas Europeas de Vanguardia, Rafael Caro Raggio, Editor, Madrid, 1925, page 106

zhivagostorm.org

  • Hélène Peltier (1924 - 2012) est une universitaire française spécialiste de littérature russe. Première femme agrégée de russe, elle enseigna à l’université de Toulouse où elle créa le département de russe. Elle rendit visite à Boris Pasternak en automne 1956 et rapporta à cette occasion un exemplaire du manuscrit dactylographié du Docteur Jivago. Elle fit partie de l'équipe des traducteurs de l'ouvrage (avec Michel Aucouturier, Jacqueline de Proyart et Louis Martinez). Voir : Boris pasternak, Lettres à mes amies françaises, 1956 - 1960, Introduction et notes de Jacqueline de Proyart, Éditions Gallimard, 1994. Compte-rendu journalistique sur « la bataille menée pour la publication de l'original russe » du Docteur Jivago, in : Inside the Zhivago Storm - Hélène Peltier, Boris Pasternak, and Giangiacomo Feltrinelli . Hélène Peltier introduisit également en France des manuscrits de l’écrivain dissident russe Andreï Siniavski et en assura la publication dans la revue de l’émigration polonaise Kultura installée à Maisons-Laffitte. Voir : Friederike Kind-Kovács, Jessie Labov (ed.), Samizdat, Tamizdat, and Beyond : Transnational Media During and After Socialism, Berghahn Books, 2013