(en) Frank J. Coppa, Encyclopedia of modern dictators : from Napoleon to the present, New York, Peter Lang, , 344 p. (ISBN978-0-8204-5010-0, présentation en ligne), p. 242.
Jean-Louis Beaucarnot, De César à Sarkozy : Petite histoire des noms du pouvoir, Lattès, coll. « Essais et documents », , 154 p. (ISBN978-2-7096-4011-4, présentation en ligne), p. 88.
« Le Chili met fin à l’interdiction stricte d’avorter », Le Monde.fr, (ISSN1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
Sur toute la procédure, voir la nécrologie du journal Le Monde, 12 décembre 2006.
Le 25 septembre 2004, le juge Juan Guzman juge le général Pinochet capable de se défendre et invoque comme preuve l'entretien de plus d'une heure, accordé par Pinochet en novembre 2003, à la chaîne de télévision, où celui-ci déclarait, « lucide et même blagueur » qu'il se considérait comme un « ange qui réfléchit et qui médite », refusant de « demander pardon aux victimes de la dictature ». C'est ainsi que, dans le cadre de l'opération « Condor », le juge Guzman obtient à nouveau la levée de l'immunité et inculpe le général Pinochet le 13 décembre 2004. Voir Nécrologie du Monde, ibid..
« À Santiago, le juge Sergio Munoz commence une procédure pour fraude fiscale qui englobe le patrimoine familial, estimé à 27 millions de dollars ». Le 7 juin 2005, l'immunité d'ancien président est de nouveau levée. Le 23 novembre 2005, Pinochet est assigné à résidence à Santiago et inculpé de fraude fiscale, Nécrologie du Monde, ibid..
« Le juge Alejandro Madrid a demandé que l'immunité d'ancien président de Pinochet soit une nouvelle fois levée, pour son rôle dans l'enlèvement et l'assassinat en Uruguay, en 1993, d'un ex-agent du régime militaire, Eugenio Berrios », « Nécrologie du général Pinochet », Le Monde, décembre 2006.
« Plus de 4 500 prisonniers politiques sont passés par la villa Grimaldi et 225 n'en sont jamais sortis », Nécrologie, ibid..
Dans son article payant, « La disparition du général Augusto Pinochet ravive les divisions entre les Chiliens », Le Monde rapporte que les portes de l'école militaire sont restées ouvertes toute la nuit pour accueillir la « multitude » de ses partisans. Voir aussi l'article de Reuters sur le dernier hommage des nostalgiques de Pinochet avant les obsèques.
« Les millions cachés de la famille du général », Libération.fr, (lire en ligne).
« La fortune de Pinochet sera rendue à sa famille », Libération.fr, (lire en ligne).
« Pinochet, seize ans de dictature », Libération.fr, (lire en ligne).
Article de Libération du 12 décembre 2006 intitulé « La justice paie la mort de Pinochet », citant les non-lieux en série dans près de « 350 affaires » lancées contre Augusto Pinochet.
Fanny Jedlicki, « Les exilés chiliens et l'affaire Pinochet – Retour et transmission de la mémoire », dans Cahiers de l'Urmis, no 7, juin 2001, article en ligne.
« Lingots d'or de Pinochet à Hong Kong : la justice chilienne ouvre une enquête », dépêche AFP, 26 octobre 2006 (lire sur le site de RFI).
rian.ru
fr.rian.ru
« Un buste d'Augusto Pinochet sera installé au palais de la Moneda », Yahoo! Actualités, 18 décembre 2006, reproduisant une interview de Vivianne Blanlot au journal El Mercurio. Vivianne Blanlot affirme qu'« Il faut le faire malgré l'aversion manifestée à son égard par une partie considérable de la population du pays », estimant également dans cet article que les manuels d'histoire doivent évoquer Augusto Pinochet en tant que président du Chili, concluant « Il ne convient pas d'oublier, pour des raisons politiques, que Pinochet était président légalement élu. ».
(en) « Church Report – Covert Action in Chile 1963-1973 » (rapport de la commission Church). En particulier : « The pattern of U.S. deliberations suggests a careful distinction between supporting the opposition parties and funding private sector groups trying to bring about a military coup. ».
« Les examens médicaux qui sont pratiqués dans le cadre de l'affaire de fraude fiscale ont conclu que l'état de santé physique et mental de l'ex-chef d'état lui permettait d'affronter un procès. Le même diagnostic est finalement retenu pour sa responsabilité dans les violations des droits de l'homme de l'opération Colombo, l'assassinat de 119 opposants d'extrême gauche en juillet 1975 », nécrologie du Monde, ibid. Voir également la quatrième procédure concernant l'affaire Colombo.