Aude Massiot, « Plus de soixante-dix ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, la traque des derniers criminels du Troisième Reich divise ceux qui ont consacré leur vie à ce combat. », Libération, (lire en ligne, consulté le ).
Anatoly Shapiro, « Le 27 janvier 1945, Auschwitz était libéré », sur La lettre de l'AFMA, bulletin d'information de l'association Fonds mémoire d'Auschwitz, texte écrit dans un samizdat en 1981, reproduit en novembre-décembre 2009, p. 9.
« Aucun autre lieu de la destruction ne s'est jamais imposé à la mémoire avec la même universalité. D'abord parce qu'Auschwitz est sans doute le plus grand cimetière du monde : le plus grand cimetière de Juifs (près d'un million) mais aussi de Polonais (70 000 à 75 000 morts), de Tsiganes du Grand Reich (environ 20 000) - un cimetière sans tombes puisque les corps ont été réduits en cendres ». Annette Wieviorka (entretiens avec Séverine Nikel), L'heure d'exactitude : histoire, mémoire, témoignage : entretiens avec Séverine Nikel, Paris, A. Michel, coll. « Itinéraires du savoir. », , 248 p. (ISBN978-2-226-20894-1, OCLC759036899) p. 207.
Le bordel destiné au personnel du camp se trouvait en revanche à l'extérieur de celui-ci, dans le centre-ville d'Oświęcim. Voir Fabrice d'Almeida, Ressources inhumaines : les gardiens de camps de concentration et leurs loisirs, 1933-1945, Paris, Fayard, coll. « Histoire », , 291 p. (ISBN978-2-213-66178-0, 978-0-616-85691-8 et 978-2-213-66399-9, OCLC1012140964) emplacements 1026 et 1160 sur 3339, ainsi que (en) Robert Sommer, Das KZ-Bordell : sexuelle Zwangsarbeit in nationalsozialistischen Konzentrationslagern, Paderborn, Schöningh, , 445 p. (ISBN978-3-506-76524-6, OCLC697644563).
Eugen Kogon, Hermann Langbein et Adalbert Ruckerl (trad. Henry Rollet), Les Chambres à gaz, secret d'État, Paris, Ed. du Seuil, coll. « Actuels », , 313 p. (ISBN978-2-02-040960-5, OCLC493276683), p. 176.