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Dans une conférence sur ce tableau prononcée en 2012, Tristan Cordeil réfute cette identification et propose à la place Jeanne Bernhardt(d), une sœur cadette de Sarah ; il confirme que les deux personnes plus âgées sont le père et la mère de Louise Abbéma et identifie la fillette en rose comme Saryta, nièce de Sarah (le texte est en annexe de son master de 2013 : Louise Abbéma. Itinéraire d'une femme peintre et mondaine[4], p. 149-160). Compte tenu de la ressemblance de la jeune femme rousse avec de nombreux portraits de Sarah Bernhardt en photographie ou en peinture, dont plusieurs par Louise Abbéma elle-même, notamment [celui-ci] et [celui-là], cette hypothèse, sinon validée, du moins présentée par Martine Lacas dans Elles étaient peintres (cf. Bibliographie), p. 75, peut difficilement convaincre.
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Au sens "B" donné par le CNRTL du CNRS : ensemble des traits, aspect du visage d'une personne ; visage, figure[1]
Aux sens donnés par le CNRTL du CNRS : "A−B.-A" : position que les sculpteurs, les peintres donnent à leurs figures, et "B" : manière de se tenir qui correspond à un état d'âme, une émotion, un sentiment[2]
Au sens "B" donné par le CNRTL du CNRS : ensemble des personnes qui vivent habituellement auprès (de quelqu'un)[3], ou encore : ensemble de ceux qui entourent ordinairement quelqu'un, qui vivent dans sa familiarité.
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Dans une conférence sur ce tableau prononcée en 2012, Tristan Cordeil réfute cette identification et propose à la place Jeanne Bernhardt(d), une sœur cadette de Sarah ; il confirme que les deux personnes plus âgées sont le père et la mère de Louise Abbéma et identifie la fillette en rose comme Saryta, nièce de Sarah (le texte est en annexe de son master de 2013 : Louise Abbéma. Itinéraire d'une femme peintre et mondaine[4], p. 149-160). Compte tenu de la ressemblance de la jeune femme rousse avec de nombreux portraits de Sarah Bernhardt en photographie ou en peinture, dont plusieurs par Louise Abbéma elle-même, notamment [celui-ci] et [celui-là], cette hypothèse, sinon validée, du moins présentée par Martine Lacas dans Elles étaient peintres (cf. Bibliographie), p. 75, peut difficilement convaincre.
Cécile Jauneau et Marie Gispert (dir.), L'autoportrait féminin en peinture à la fin du XXe siècle en France (master), Université Paris I Panthéon-Sorbonne, , PDF (lire en ligne)
Dans une conférence sur ce tableau prononcée en 2012, Tristan Cordeil réfute cette identification et propose à la place Jeanne Bernhardt(d), une sœur cadette de Sarah ; il confirme que les deux personnes plus âgées sont le père et la mère de Louise Abbéma et identifie la fillette en rose comme Saryta, nièce de Sarah (le texte est en annexe de son master de 2013 : Louise Abbéma. Itinéraire d'une femme peintre et mondaine[4], p. 149-160). Compte tenu de la ressemblance de la jeune femme rousse avec de nombreux portraits de Sarah Bernhardt en photographie ou en peinture, dont plusieurs par Louise Abbéma elle-même, notamment [celui-ci] et [celui-là], cette hypothèse, sinon validée, du moins présentée par Martine Lacas dans Elles étaient peintres (cf. Bibliographie), p. 75, peut difficilement convaincre.
Dans une conférence sur ce tableau prononcée en 2012, Tristan Cordeil réfute cette identification et propose à la place Jeanne Bernhardt(d), une sœur cadette de Sarah ; il confirme que les deux personnes plus âgées sont le père et la mère de Louise Abbéma et identifie la fillette en rose comme Saryta, nièce de Sarah (le texte est en annexe de son master de 2013 : Louise Abbéma. Itinéraire d'une femme peintre et mondaine[4], p. 149-160). Compte tenu de la ressemblance de la jeune femme rousse avec de nombreux portraits de Sarah Bernhardt en photographie ou en peinture, dont plusieurs par Louise Abbéma elle-même, notamment [celui-ci] et [celui-là], cette hypothèse, sinon validée, du moins présentée par Martine Lacas dans Elles étaient peintres (cf. Bibliographie), p. 75, peut difficilement convaincre.
Le tableau, dont une gravure a été publiée en 1866, date de 1864 ; en peignant l'allégresse générale, la casquette du soldat Yankee passée sur la tête d'une jeune fille, le drapeau de l'Union brandi par une fillette et l'inscription Fourth of July Remember !, Lilly M. Spencer anticipe donc la reddition des Sudistes d'avril 1865.
Cette sympathie de Pan Yuliang pour Mao Zedong pourrait venir en partie de ses amitiés avec des étudiants communistes chinois à Paris dans les années 1940, dont Hua Tianyou(en) ; elle était notamment la marraine de Wang Hua, fils du physicien Wang Dezhao et futur diplomate de la république populaire de Chine, ayant vécu à Paris depuis sa naissance en 1937 jusqu'au retour de ses parents en Chine en 1956, revenu à Paris en 1964 pour y installer l'ambassade nouvellement créée. Après la mort de Pan Yuliang en 1977, ses peintures ont été stockées dans cette ambassade parisienne, puis transférées en Chine en 1984. Il est peu probable que, dans les années 1950-1960, Pan Yuliang ait été au courant de la réalité culturelle chinoise, où le seul rôle des peintres était de faire les portraits officiels des personnages du régime ou de peindre des usines et des travailleurs, quand ils n'étaient pas eux-mêmes envoyés travailler dans les champs.
Georg Desmarées(en) contourne cette incompatibilité dans son autoportrait de 1760 où il fait palette commune avec sa fille Maria Antonia, elle-même figurée en allégorie de la peinture avec chaîne d'or et masque.
Ce tableau a été aussi attribué à Rose-Adélaïde Ducreux. Adèle de Romance, mère célibataire puis épouse transitoire du père de sa fillette, le peintre miniaturiste François Antoine Romany(en), a exposé sous plusieurs noms, Romance, Romany, Romany de Romance, de Romance Romany, et après son divorce, Adèle Romance et Adèle Romanée ; l'attribution de ses autoportraits a été longtemps compliquée.
(en) Katlijne Van der Stighelen(en), Women and Gender in the Early Modern Low Countries, 1500–1750, Brill, (ISBN978-90-04-36972-6, lire en ligne [PDF]), « Anna Francisca de Bruyns (1604/5–1656), Artist, Wife and Mother : a Contextual Approach to Her Forgotten Artistic Career », Self-Portraits p. 193, 195 et 210
Ilene Susan Fort (dir.), Tere Arcq, Terri Geis, Dawn Ades, Maria Elena Buszek, Whitney Chadwick(en), Rita Eder, Salomon Grimberg et Gloria Feman Orenstein (trad. Jean-François Allain), Au pays des merveilles : Les aventures surréalistes des femmes artistes au Mexique et aux États-Unis, Munich, Prestel Verlag, , 254 p. (ISBN978-3-7913-5165-0, présentation en ligne)
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(en) Sarah Wilson(en), Amrita Sher-Gil & Boris Taslitzky. Passions, Portraits, Fictions, Londres, Sotheby's Publications, , 30 p. (lire en ligne [PDF])