G Lang, Some aspects of European late- and post-glacial flora history; Acta Botanica Fennica, 1992 (résumé)
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(en) Igor L. Rozhanskii et Anatole A. Klyosov, « Haplogroup R1a, Its Subclades and Branches in Europe During the Last 9,000 Years », Advances in Anthropology, vol. 02, no 03, , p. 139–156 (ISSN2163-9353 et 2163-9361, DOI10.4236/aa.2012.23017, lire en ligne, consulté le )
Petăr Dobrev : Nepoznatata drevna Bălgarija (L'ancienne Bulgarie inconnue), éd. Ivan Vazov, Sofia, 2001, (ISBN954-604-121-1) et Maria N. Todorova, Imagining the Balkans (1997) Oxford University Press, New York books.google.fr
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(en) Igor L. Rozhanskii et Anatole A. Klyosov, « Haplogroup R1a, Its Subclades and Branches in Europe During the Last 9,000 Years », Advances in Anthropology, vol. 02, no 03, , p. 139–156 (ISSN2163-9353 et 2163-9361, DOI10.4236/aa.2012.23017, lire en ligne, consulté le )
Le terme Ròma est adopté par l'Union romani internationale (IRU, voir Article Rom) mais en France les distinctions ethniques ne sont pas reconnues, car citoyenneté et nationalité se confondent (voir : Un amendement au projet de loi sur l'immigration autorise la statistique ethniqueLe Monde), et par conséquent les Roms ayant un passeport bulgare ou roumain sont officiellement dénommés « Bulgares » ou « Roumains », même si certains hommes politiques dérogent à cette règle, comme Nicolas Sarkozy ou Manuel Valls qui en 2011 et 2013, ont tous deux affirmé que « Les Roms n'ont pas vocation à rester en France, mais à rentrer dans leurs pays », contredisant ainsi les porte-parole de ces communautés tel Nicolae Păun du Partida le Romange (parti Rom) qui affirment, eux, que « Les Roms ont depuis toujours vocation à voyager et à s'intégrer là où ils choisissent de vivre ».
D'après le Mouvement pour la paix dans les Balkans sur [5] et Patrick Simon, Itinéraire d'un pacifiste dans les Balkans, éd. Fleur de Lys, Laval, Québec, 2005, 318 pages, (ISBN2-89612-279-6), l'étoile au milieu symbolise la fraternité, les cinq étoiles autour symbolisent les Albanais, les Slaves, les Est-Romans, les Grecs et les Turcs ; ce projet est visiblement inspiré du logo de la Société des Nations et du drapeau de la Voïvodine.
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Jean-Marie Martin est directeur de recherches au CNRS (Centre d'histoire et civilisation de Byzance, UMR Orient et Méditerranée) à Paris : [1]
Le terme Ròma est adopté par l'Union romani internationale (IRU, voir Article Rom) mais en France les distinctions ethniques ne sont pas reconnues, car citoyenneté et nationalité se confondent (voir : Un amendement au projet de loi sur l'immigration autorise la statistique ethniqueLe Monde), et par conséquent les Roms ayant un passeport bulgare ou roumain sont officiellement dénommés « Bulgares » ou « Roumains », même si certains hommes politiques dérogent à cette règle, comme Nicolas Sarkozy ou Manuel Valls qui en 2011 et 2013, ont tous deux affirmé que « Les Roms n'ont pas vocation à rester en France, mais à rentrer dans leurs pays », contredisant ainsi les porte-parole de ces communautés tel Nicolae Păun du Partida le Romange (parti Rom) qui affirment, eux, que « Les Roms ont depuis toujours vocation à voyager et à s'intégrer là où ils choisissent de vivre ».
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Le premier savant à remarquer les ressemblances entre les langues balkaniques fut le slovène Jernej Kopitar en 1829, mais ce ne fut qu'à partir des années 1920 qu'elles furent théorisées, avec comme contributeurs importants Gustav Weigand(de) et Kristian Sandfeld(de) (Linguistique balkanique, 1930). Puis le Roumain Constantin Alexandru Rosetti lança le terme d'« Union linguistique balkanique » en 1958. Theodor Capidan(ro) alla plus loin en affirmant que leur structure était susceptible d'être réduite à un type balkanique commun. Le modèle accepté par la majorité des linguistes est celui du Polonais Zbigniew Gołąb(pl).
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Le premier savant à remarquer les ressemblances entre les langues balkaniques fut le slovène Jernej Kopitar en 1829, mais ce ne fut qu'à partir des années 1920 qu'elles furent théorisées, avec comme contributeurs importants Gustav Weigand(de) et Kristian Sandfeld(de) (Linguistique balkanique, 1930). Puis le Roumain Constantin Alexandru Rosetti lança le terme d'« Union linguistique balkanique » en 1958. Theodor Capidan(ro) alla plus loin en affirmant que leur structure était susceptible d'être réduite à un type balkanique commun. Le modèle accepté par la majorité des linguistes est celui du Polonais Zbigniew Gołąb(pl).
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Le premier savant à remarquer les ressemblances entre les langues balkaniques fut le slovène Jernej Kopitar en 1829, mais ce ne fut qu'à partir des années 1920 qu'elles furent théorisées, avec comme contributeurs importants Gustav Weigand(de) et Kristian Sandfeld(de) (Linguistique balkanique, 1930). Puis le Roumain Constantin Alexandru Rosetti lança le terme d'« Union linguistique balkanique » en 1958. Theodor Capidan(ro) alla plus loin en affirmant que leur structure était susceptible d'être réduite à un type balkanique commun. Le modèle accepté par la majorité des linguistes est celui du Polonais Zbigniew Gołąb(pl).