Cf. Théophile Gautier, Histoire du romantisme, chapitre X, « Première représentation d'Hernani » (extrait numérisé sur le site du Centre Régional de Documentation Pédagogique de l'Académie de Lille. Dossier réalisé par Françoise Gomez.) C'est l'analyse de notes prises par Hugo au cours des représentations qui a permis de faire justice de cette légende (cf. Myriam Roman et Agnès Spiquel, « Hernani, récits de bataille » (2006), communication au Groupe Hugo de l'université de Paris 7. Voir aussi, sur le même site, l'article de Guy Rosa, « Hugo et l'alexandrin de théâtre aux années 30 : une "question secondaire" » (première publication dans les Cahiers de l’Association des Études Françaises, no 52, 2000).
Cf. Mes Mémoires, chapitre CXXXII (reproduction partielle sur le site du C.R.D.P. de l'Académie de Lille.).
ac-strasbourg.fr
Jean-Marc Hovasse, op. cit., p. 414. Voir au sujet de cette pièce, Adèle Hugo, Victor Hugo raconté par un témoin de sa vie, chapitre LII (extrait reproduit sur une page de ressources pédagogiques du site internet de l'Académie de Strasbourg.).
Cf. Théophile Gautier, Histoire du romantisme, chapitre X, « Première représentation d'Hernani » (extrait numérisé sur le site du Centre Régional de Documentation Pédagogique de l'Académie de Lille. Dossier réalisé par Françoise Gomez.) C'est l'analyse de notes prises par Hugo au cours des représentations qui a permis de faire justice de cette légende (cf. Myriam Roman et Agnès Spiquel, « Hernani, récits de bataille » (2006), communication au Groupe Hugo de l'université de Paris 7. Voir aussi, sur le même site, l'article de Guy Rosa, « Hugo et l'alexandrin de théâtre aux années 30 : une "question secondaire" » (première publication dans les Cahiers de l’Association des Études Françaises, no 52, 2000).
La censure royale avait refusé les deux premiers titres proposés : Les Nouvelles folies d'Espagne ou l'invasion des Goths, et Hernani, imité du Goth (cf. Sylvie Vielledent, « Les Parodies d'Hernani », article publié sur le site du « Groupe Hugo » de l'Université de Paris 7, p. 9.).
Il s'agit de la Lettre retrouvée par Benjamin Sacrobille, chiffonnier sous le no 47 (cf. Sylvie Vielledent, « Les Parodies d'Hernani », article publié sur le site du « Groupe Hugo » de l'Université de Paris 7, p. 4-5.).