Çoban, R. V. (2020). The Manzikert Battle and Sultan Alp Arslan with European Perspective in the 15st Century in the Miniatures of Giovanni Boccaccio's "De Casibus Virorum Illustrium"s 226 and 232. French Manuscripts in Bibliothèque Nationale de France. S. Karakaya ve V. Baydar (Ed.), in 2nd International Muş Symposium Articles Book (p. 48-64). Muş: Muş Alparslan University. Source
Jean-Claude Cheynet, « Les effectifs de l'armée byzantine aux Xe – XIIe siècles », Cahiers de civilisation médiévale, vol. 152, (lire en ligne), p. 332-333.
Alain Ducellier, dans Le Drame de Byzance : idéal et échec d'une société chrétienne, Hachette Littérature, collection Pluriel, 1998. (ISBN978-2012788480) (Critique de la Revue des études byzantines) explique que si l'Empereur sait lire les desseins de Dieu, se révolter contre lui est une révolte contre Dieu et le révolté est un ennemi de Dieu (θεομάχος / theomáchos), voire un sacrilège (καθοσίωσις / kathosíôsis chez Michel Attaleiatès lors de la révolte de Constantin Doukas contre Nicéphore Ier). Si l'Empereur perd, c'est qu'il est « aveugle » face aux desseins de Dieu, et c'est lui qui devient un ennemi de Dieu. C'est pourquoi, plus d'une fois, les vaincus furent physiquement aveuglés.
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L'Empire a perdu la majeure partie de l'Anatolie, mais non la quasi-totalité comme le montre par erreur le cartographe américain William Shepherd en 1926 dans son Atlas historique (carte [1], reprise [2] et modernisée avec cette erreur).
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L'Empire a perdu la majeure partie de l'Anatolie, mais non la quasi-totalité comme le montre par erreur le cartographe américain William Shepherd en 1926 dans son Atlas historique (carte [1], reprise [2] et modernisée avec cette erreur).