La flotte "combinée" (franco-espagnole) était rangée comme suit :
1. L'Argonauta, de 80 canons); 2. le Terrible, de 74 ; 3. l’America, de 64 ; 4. l’Espana, de 64 ; 5. le San Rafaël, de 80 ; 6. le Firme, de 74 ; 7. le Pluton, de 74 ; 8. le Mont Blanc, de 74 ; 9. l'Atlas, de 74 ; 10. le Berwick, de 74 ; 11. le Neptune, de 80 ; 12. le Bucentaure, de 80 ; 13. le Formidable, de 80 ; 14. l'Intrépide, de 74 ; 15. le Scipion, de 74 ; 16. le Swiftsure, de 74 ; 17. l'Indomptable, de 80 ; 18. l'Aigle, de 74 ; 19. l'Achille, de 74 ; 20. l’Hortense, de 40 ; 21. l’Hermione, de 40 ; 22. la Cornélie, de 40 ; 23. la Didon, de 40 ; 24. le Rhin, de 40 ; 25. la Syrène, de 36 ; 26. la Thémis, de 36 ; 27. le Furet ; 28. l’Argus, de 16. Charles-Théodore Beauvais (dir.), Victoires, conquêtes, désastres, revers et guerres civiles des Français depuis les temps les plus reculés jusques et compris la bataille de Navarin, par une société de militaires et de gens de lettres, t. 22 : 1805-1806, Paris, C. L. F. Panckoucke, (BNF36378831, lire en ligne), p. 147. NB : l'ouvrage ne cite pas la présence de l'Algesiras.
La flotte "combinée" (franco-espagnole) était rangée comme suit :
1. L'Argonauta, de 80 canons); 2. le Terrible, de 74 ; 3. l’America, de 64 ; 4. l’Espana, de 64 ; 5. le San Rafaël, de 80 ; 6. le Firme, de 74 ; 7. le Pluton, de 74 ; 8. le Mont Blanc, de 74 ; 9. l'Atlas, de 74 ; 10. le Berwick, de 74 ; 11. le Neptune, de 80 ; 12. le Bucentaure, de 80 ; 13. le Formidable, de 80 ; 14. l'Intrépide, de 74 ; 15. le Scipion, de 74 ; 16. le Swiftsure, de 74 ; 17. l'Indomptable, de 80 ; 18. l'Aigle, de 74 ; 19. l'Achille, de 74 ; 20. l’Hortense, de 40 ; 21. l’Hermione, de 40 ; 22. la Cornélie, de 40 ; 23. la Didon, de 40 ; 24. le Rhin, de 40 ; 25. la Syrène, de 36 ; 26. la Thémis, de 36 ; 27. le Furet ; 28. l’Argus, de 16. Charles-Théodore Beauvais (dir.), Victoires, conquêtes, désastres, revers et guerres civiles des Français depuis les temps les plus reculés jusques et compris la bataille de Navarin, par une société de militaires et de gens de lettres, t. 22 : 1805-1806, Paris, C. L. F. Panckoucke, (BNF36378831, lire en ligne), p. 147. NB : l'ouvrage ne cite pas la présence de l'Algesiras.