Jean Oliva en parlait comme d'une légende dans son édition du De varietate fortunæ du Pogge, Paris, 1723, p. XVI-XVIII, consultable sur le site de l'Institut Warburg. C'est aussi l'opinion de J.P. Roux, Tamerlan, Paris, 1991, p. 143, selon qui la prétendue cage aurait été une litière grillagée (cité dans Le Pogge, Les Ruines de Rome, texte établi et traduit par J.-Y. Boriaud, introduction et notes par F. Coarelli et J.-Y. Boriaud, 2e tirage revu et corrigé, p. 89, note 6 de la p. 72).