« Des mosquées d'Izmir piratées diffusent «Bella Ciao» », Le Matin, (ISSN1018-3736, lire en ligne, consulté le ).
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Bella ciao, d'Odessa à Tom Waits, 3 oct. 2019, in Le jardin aux chansons [1].
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« Maître Gims massacre « Bella Ciao », un chant de résistants italiens », La Libre Afrique, (lire en ligne, consulté le ).
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Anna Breteau et Pierre Garrigues, « Non, "Bella Ciao" n'est pas "la chanson de La Casa de Papel" », Marianne, (lire en ligne, consulté le ).
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Caroline Detrez, « Maître Gims, Slimane, Vitaa et Dadju: «Bella Ciao» numéro 1 des ventes de singles », NRJ.fr, (lire en ligne, consulté le ).
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"La chanson politique en Europe, Le chant des Partisans, Bella Ciao et Lili Marleen", Michel Prat, Céline Cecchetto, Presses universitaires de Bordeaux: "Dans une séquence de C’eravamo Tanto Amati/ Nous nous sommes tant aimés (1974), Ettore Scola représente les maquisards en train de la chanter alors qu’ils fêtent la libération" [2].