(en) Miranda Salvador, « LAMBERTINI, Prospero Lorenzo », sur fiu.edu – The Cardinals of the Holy Roman Church, Florida International University. (consulté le )
(it) Serie cronologica degli eminentissimi, e reverendissimi signori cardinali bolognesi compresi quelli assunti al sommo pontificato disposta secondo l'ordine del tempo dal giorno della loro esaltazione, ed avente il suo principio dall'anno 1060 sino al 1775: con l'epilogo della loro nascita, vita, e morte, e rispetto ai viventi dei loro fasti sino al tempo corrente, Bologna, Sassi, (lire en ligne)
Jusqu’à l’aube du XIXe siècle, il est arrivé que certains papes, à titre exceptionnel par rapport à la pratique canonique rétablie par le concile de Trente sur l’interdiction d’accumuler plus de bénéfices ecclésiastiques, y compris donc les évêchés (Voir chapitre I de la première session du concile de Trente « Decreto sulla residenza dei vescovi e degli altri chierici inferiori, Capitolo I », totustuus) qui ont décidé de maintenir exceptionnellement les diocèses originaires, comme le fit, par exemple, Benoît XIII avec celui de Bénévent.
Benedetto XIV, « Annus qui hunc », sur totustuustools.net
Du 30 avril au s'est tenue à l'université Washington de Saint-Louis une conférence internationale dont le thème était : « The Enlightenment Pope: Benedict XIV (1675-1758) ». L'annonce rappelait que Benoît XIV avait demandé aux curés d'expliquer aux paroissiens que faire don de son corps à la science était une pratique approuvée par l'Église ; c'est lui qui créa à Bologne le premier musée anatomique d'Italie, abritant huit répliques de cire en grandeur nature, créées grâce à des dissections. Il encouragea les femmes à étudier la médecine et fut le protecteur d'Anna Morandi Manzolini qui effectua des milliers de dissections dans son laboratoire dans le but de créer des répliques précises.
news.wustl.edu
Du 30 avril au s'est tenue à l'université Washington de Saint-Louis une conférence internationale dont le thème était : « The Enlightenment Pope: Benedict XIV (1675-1758) ». L'annonce rappelait que Benoît XIV avait demandé aux curés d'expliquer aux paroissiens que faire don de son corps à la science était une pratique approuvée par l'Église ; c'est lui qui créa à Bologne le premier musée anatomique d'Italie, abritant huit répliques de cire en grandeur nature, créées grâce à des dissections. Il encouragea les femmes à étudier la médecine et fut le protecteur d'Anna Morandi Manzolini qui effectua des milliers de dissections dans son laboratoire dans le but de créer des répliques précises.