Revue de presse traduite : NY Times 29/01/2006, « Bernard-Henri Lévy […] rambled around this country […] and now has worked up his notes into a sort of book » - New York Times : « Il y a de nombreux moments, voyageant en voiture avec lui, où vous avez envie de lui dire de la fermer cinq minutes et de mieux regarder le paysage. » Cité par Le Matricule des Anges Numéro 072 - The Economist : « Monsieur Lévy (…) passe beaucoup trop de temps à nous dire des choses que nous savons déjà. » Cité par Le Matricule des Anges Numéro 072 - Los Angeles Times : « Mis à part le fait qu'Alexis de Tocqueville et Bernard-Henri Lévy sont tous les deux français, ils n'ont rien en commun. » Cité par Le Matricule des Anges Numéro 072
bernard-henri-levy.com
Bernie Stico, France-Soir, 5 mai 2003, « BHL, le romantique détective »[2]
Voir à ce sujet l'affirmation de critikat : En France comme outre-Atlantique, l’ouvrage, à quelques exceptions près, est accueilli par une douche froide.
Revue de presse traduite : NY Times 29/01/2006, « Bernard-Henri Lévy […] rambled around this country […] and now has worked up his notes into a sort of book » - New York Times : « Il y a de nombreux moments, voyageant en voiture avec lui, où vous avez envie de lui dire de la fermer cinq minutes et de mieux regarder le paysage. » Cité par Le Matricule des Anges Numéro 072 - The Economist : « Monsieur Lévy (…) passe beaucoup trop de temps à nous dire des choses que nous savons déjà. » Cité par Le Matricule des Anges Numéro 072 - Los Angeles Times : « Mis à part le fait qu'Alexis de Tocqueville et Bernard-Henri Lévy sont tous les deux français, ils n'ont rien en commun. » Cité par Le Matricule des Anges Numéro 072
« le livre de Bernard-Henri Lévy présente quelques-uns des défauts qui m’horripilent : la boursouflure du style, la prétention à trancher des mérites et des démérites des vivants et des morts, l’ambition de rappeler à un peuple amnésique la part engloutie de son passé, les citations détachées de leur contexte et interprétées arbitrairement. […] le livre ne se prête guère à une discussion objective, selon le mot consacré dans les universités. II n'apporte aucun fait, aucun document, aucun texte que l'on ne trouve dans les quelques livres dont Bernard-Henri Lévy a tiré, pour l'essentiel, la matière qu'il triture à sa manière. Ce qui lui appartient en propre, c'est une certaine mise en place d'un corpus de mots ou de phrases. Or, cette mise en place est à tel point commandée par le propos de l'auteur que l'on se demande s'il vaut la peine de discuter avec un « philosophe » qui s'arroge le rôle de justicier. » (Raymond Aron, « Provocation », L'Express, 07/02/1981, lire en ligne). Raymond Aron fait également état de son article dans ses Mémoires (1983).
La critique de William Dalrymple sur le livre Qui a tué Daniel Pearl ? dans la New York Review of book, décembre 2003. « Le principal problème que pose Qui a tué Daniel Pearl ? est l’amateurisme du travail de recherche effectué par son auteur. […] BHL a visé beaucoup trop haut, eu égard à ses compétences »
(en-US) Garrison Keillor, « On the Road Avec M. Lévy », The New York Times, (ISSN0362-4331, lire en ligne, consulté le )
Revue de presse traduite : NY Times 29/01/2006, « Bernard-Henri Lévy […] rambled around this country […] and now has worked up his notes into a sort of book » - New York Times : « Il y a de nombreux moments, voyageant en voiture avec lui, où vous avez envie de lui dire de la fermer cinq minutes et de mieux regarder le paysage. » Cité par Le Matricule des Anges Numéro 072 - The Economist : « Monsieur Lévy (…) passe beaucoup trop de temps à nous dire des choses que nous savons déjà. » Cité par Le Matricule des Anges Numéro 072 - Los Angeles Times : « Mis à part le fait qu'Alexis de Tocqueville et Bernard-Henri Lévy sont tous les deux français, ils n'ont rien en commun. » Cité par Le Matricule des Anges Numéro 072