« Un livre qu’on m’opposa, Prisonnier de Mao de Pasqualini, aurait dû m’ouvrir les yeux : je demeurai inébranlable, convaincu qu’un peuple entier venait de se soulever pour changer la face du monde, et que toute réserve relevait de la désinformation ». Mai 68, Mao, Badiou et moi, Bernard Sichère, La Règle du jeu, 11 avril 2010.