Bethioua (French Wikipedia)

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  • Laperrine et al., « Les Bettioua du Viel-Arzew », Revue Africaine, Samuel Biarnay, René Basset , Société Historique Algérienne, Of. Pub. Univ. Alger, vol. 54,‎ , p. 97-194 (lire en ligne).
  • Emile Janier, « Les Bettiwa de Saint-Leu », Revue Africaine, Société Historique Algérienne, Of. Pub. Univ. Alger, vol. 89, nos 402-403,‎ , p. 245 (lire en ligne)
  • Laperrine et al., « Les Bettioua du Viel-Arzew », Revue Africaine, Samuel Biarnay, René Basset , Société Historique Algérienne, Of. Pub. Univ. Alger, vol. 54,‎ , p. 97-194 (lire en ligne)| En Page 116 , sur Tanger et le sahel tangérois et les patronymes Abetuy et Bettioui.
  • Laperrine et al., « Les Bettioua du Viel-Arzew », Revue Africaine, Samuel Biarnay, René Basset , Société Historique Algérienne, Of. Pub. Univ. Alger, vol. 54,‎ , p. 97-194 (lire en ligne)| En pages 103 et 104.
  • Émile Janier Les Bettiwa de Saint Leu - Revue Africaine 1945 p. 238-241. Lire en ligne
  • Laperrine et al. Samuel Biarnay, René Basset, Les Bet't't'ioua du Veil Arzeu 1910, Revue Africaine, grammaire et contes populaires. op. cit., p. 97-98 Samuel Biarnay, René Basset, Les Bet't't'ioua du Veil Arzeu 1910, Revue Africaine, grammaire et contes populaires. Lire en ligne
  • Laperrine et al., « Les Bettioua du Viel-Arzew », Revue Africaine, Samuel Biarnay, René Basset , Société Historique Algérienne, Of. Pub. Univ. Alger, vol. 54,‎ , p. 97-194 (lire en ligne)| On trouve au Veil Arzew un groupe descandant des Ait Bou Yahii du Rif mais eux aussi ignorent la cause qui poussa leurs ancêtres à s'exiler [...] le souvenir d'une origine différente de celle des descandants des Ait Said persiste seul. On m'a assuré qu'on trouvait naguère au Veil Arzew quelques familles originaires des Ait Oulichek , des Ait Temsamane et des Ike'l'aien [...] Il est plus probable que ces isolés ne faisaient pas partie de l'exode principale : aventuriers , exilés volontaires fuyant une vengeance ou le payement d'une dia loin de leur pays d'origine , ils se joignirent sans doute plus tard à ce groupe d'Imazighen déjà constitué en pays étranger par les Bet't'tioua, en page 111.
  • Laperrine et al., « Les Bettioua du Viel-Arzew », Revue Africaine, Samuel Biarnay, René Basset , Société Historique Algérienne, Of. Pub. Univ. Alger, vol. 54,‎ , p. 331 (lire en ligne)|

bnf.fr

gallica.bnf.fr

  • El Maqsad Vie des Saints du Rif au ve siècle par G.S.Colin, Archives Marocaines , en pages 166 et 167 Explications sur les Bettiwa. Appelée aussi Bettiwa. Cette tribu paraît être demeurée importante et connue sous ce nom historique jusqu'au XVIIIe siècle. Dans sa 'Relation' Rolan Fréjus parle encore des Boutoye qui avaient alors un gouverneur en commun avec les Temsamane. Peu après et sans que l'on en voie bien la raison ce nom disparaît de plus de plus de la carte. Cependant cette disparition coïncide avec l'entrée sur la scène politique de la famille rifaine des Hamamiyin de Temsamane et l'on pense que l'on puisse l'attribuer en grande partie à l'épuisement provoqué par les levées de plus en plus nombreuses d'effectifs que les Caïds de cette famille utilisèrent dans le Maroc occidental , d'abord dans la guère sainte , puis dans leur lutte contre les sultans ( sièges de Larache , d'Assilah , de Badis, de Ceuta , de Tanger, de Tetouan , de Mazagan , de Taroudant). Des Bettûya qui constituèrent ces contigents bien peu de ceux qui survècurent retournèrent dans leur pays, et le plus grand nombre se fixa dans les villes conquises et leur banlieue. La tribu ainsi dépeuplé perdit de sa dénomination et celles d'anciennes sous-fractions (Beni Oulichek, Beni Said etc) s'y substituèrent[...].[3]
  • Le Maroc inconnu, Auguste Mouliéras , 1855 , Exploration du Rif partie 1 , page 131 , tribu des Beni Said[...] De Tazaghine , Mohamed passe à Zegzaoua. On appelle ainsi une enfilade de hameaux, se succédant sans interruption , de L'E à l'O. Non loin de ce bourg , nous remarquons le village de Bettioua , dont les Berbères d'Arzew (Bethioua) sont originaires. C'est ce qu'ils affirment eux-mêmes et c'est ce que disent les indigènes de Beni Said qui viennent dans le département d'Oran louer leurs bras aux colons. Pendant le séjour que Mohammed fit à Bettioua , il eût l'occasion de parler de ses frères que la destinée (el-mektoub) à malheureusement placée sous l'autorité chrétienne[...].[5]
  • Louis Demaeght Article "Portus Magnus" page 113 à 121 du Bulletin trimestriel des Antiquités africaines - Tome 2 - Troisième année - Oran 1884. Lire en ligne
  • Le Maroc inconnu, Auguste Mouliéras , 1855 , Exploration du Rif partie 1 , page 131 , tribu des Beni Said : De Tazaghine, Mohamed passe à Zegzaoua. On appelle ainsi une enfilade de hameaux, se succédant sans interruption , de L'E à l'O. Non loin de ce bourg , nous remarquons le village de Bettioua , dont les Berbères d'Arzew (Bethioua) sont originaires. C'est ce qu'ils affirment eux-mêmes et c'est ce que disent les indigènes de Beni Said qui viennent dans le département d'Oran louer leurs bras aux colons. Pendant le séjour que Mohammed fit à Bettioua , il eût l'occasion de parler de ses frères que la destinée (el-mektoub) à malheureusement placée sous l'autorité chrétienne.[7]
  • Le Maroc inconnu de Auguste Moulieras 1889. [9]
  • Ordonnance royale des 4-31 décembre 1846, Dictionnaire de législation algérienne (1830-1860), p. 668, sur Gallica
  • Ordonnance des 4 et 31 décembre 1846 page 668 - Fondation du centre de population de Saint-Leu
  • Thomas Shaw: Voyages de M Shaw dans plusieurs provinces de la Barbarie et du Levant - Jean Neaulme 1743 La Haye - page 37 port d'Arzew - page 38 & 39 Ruines antiques - Lire en ligne Shaw voit à trois mille romains du port d'Arzew, "Arsenaria": ruines, citernes, chapiteaux, bases et fûts de colonnes, magnifique chapiteau en marbre servant de base à l'enclume du forgeron, pavé à la mosaïque dans la maison du Caïd. Deux ports à galère creusés dans le rocher, à 5 milles à l'est d'Arzew, défendus par un fort, et aqueduc.

catalogue.bnf.fr

dpat-oran.dz

edcs.eu

db.edcs.eu

elwatan.com

google.fr

books.google.fr

  • Le soufisme et zaouyas au Maghreb de Halima Ferhat, 2009 , pages 141 et 142 [1] Sur la tribu des Battiwa entre Alhucemas et Taza , de la vallée du Nekkor à la Moulouya.
  • Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes Abd al-Raḥman b. Muḥammad Ibn Khaldûn·1854 en page 123.[2] Les Botouïa se partagent en trois branches , à savoir : les Bacouya de Tèza , les Beni-Ourîagol d'El -Mezemma , et les Aulad Mahalli de Tafercit . Ceux-ci se sont alliés par un mariage à la famille royale mérinide.
  • Amar bin Haddu al-Battiwi. The origins of this individual, however, were from the Thimsaman tribe and not from that of the Aith Sa'id , and Mawlay lsma'il had appointed him governor of Al-Qsar AlKbir|Tribe and Society in Rural Morocco 2014 by David M Hart , en page 163 [4].
  • (en) Edward Lipinski, Itineraria phoenicia, Peeters 2003, (ISBN 90-429-1344-4), p. 410,Lire en ligne
  • Voyage de Thomas Shaw dans plusieurs provinces de Barbarie , pages 37-38. [6]
  • Européens , "indigènes" et juifs en Algérie (1830-1962) de Kamel Kateb 2001 | La population de Mostaganem dans les temps anciens a dû être considérable ; en 1830 à en juger par l'étendue de la ville par rapport aux habitudes du pays ; elle ne pouvait être moindre que 10 000 âmes. Matamore pouvait contenir 3 à 4 milles âmes ; Mazagran à peu près autant ; Matamore complètement ruinée et abandonnée est devenue place militaire. Mazagran est occupée par 50 familles des Bettiwa, exilés du Vieil Arzew. AHAT château de Vincennes. Mostaganem et son territoire op.cit.
  • Annales algériennes, page 224 , Volume 1 de Henri Jean François Edmond Pellissier de Reynaud, publié à Alger en 1854. [8]
  • Tribe and Society in Rural Morocco by David M Hart 2014 , page 162. [10]

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tablat.over-blog.net

persee.fr

  • J. Lassus - Le site de Saint-Leu Portus Magnus (Oran) - 1956 - dans Comptes-rendus des séances de l'académie des inscriptions et belles lettres. p. 285 Lire en ligne
  • Visite aux Ruines Romaines de St-Leu , correspondance du 16 août 1866 : 'J'ai appris de mon compagnon de route [...] que les indigènes de Saint-Leu ne sont point des Bédouins comme ceux de la plaine, mais des Kabyles qui ont opiniâtrement résisté à Abd-El-Kader et ont préservé leurs mœurs, leur langage [...] ; ils ne sont pas nomades et habitent des maisons ou des gourbis au lieu de tentes ; ils n'ont en général qu'une seule femme et leur langue n'est pas l'arabe'.

scribd.com

fr.scribd.com

  • « Bettiwa_histoire_phonétique », sur Scribd (consulté le ).
  • Emile Larose, « Bulletin de l'Enseignement Public du Maroc, », n° 71,‎ , p. 43 (lire en ligne)| Sur les razzias et punitions par le Sultan Alaouite.
  • « Bettiwa_grammaire », sur Scribd (consulté le ).
  • bettiwa-textes ; site=fr.scribd.com.
  • « Betiwa1 », sur Scribd (consulté le ).