(en) Lawrence S. Thompson, « Promptuary of Anthropodermic Bibliopegy », The Book Collector's Packet, vol. 4, no 2, , p. 15-17; Thompson 1946, p. 94, 97-102; (en) Lawrence S. Thompson, « Bibliopegia Fantastica », Bulletin of the New York Public Library, vol. 51, no 2, , p. 71-90 (ici p. 71, 90) (ISSN0028-7466, lire en ligne); Thompson 1948, p. 279, 280, 284, 287; Thompson 1968 (première publication en 1949).
huntington.org
catalog.huntington.org
« Traicté de peyne », notice du manuscrit (HM 49), sur The Huntington Library Catalog (consulté le ).
L'exemplaire de Brown ne doit pas être confondu avec un second exemplaire du De Fabrica de Vésale de 1568, aussi relié par Schavye en peau humaine, vendu en 1894 au prince Philippe de Belgique; cet exemplaire est considéré disparu depuis la mort de la dernière propriétaire connue, Lilian Baels (1916-2002), veuve du roi Léopold III; voir Sorgeloos 2012, p. 135-137, 144, 152 no 26; (en) Omer Steeno et Maurits Biesbrouck, « Stolen and lost copies of Vesalius's Fabrica », Acta medico-historica adriatica: AMHA, vol. 10, no 2, , p. 228-230 (ISSN1334-4366, PMID23560752, lire en ligne).
(en) Lawrence S. Thompson, « Promptuary of Anthropodermic Bibliopegy », The Book Collector's Packet, vol. 4, no 2, , p. 15-17; Thompson 1946, p. 94, 97-102; (en) Lawrence S. Thompson, « Bibliopegia Fantastica », Bulletin of the New York Public Library, vol. 51, no 2, , p. 71-90 (ici p. 71, 90) (ISSN0028-7466, lire en ligne); Thompson 1948, p. 279, 280, 284, 287; Thompson 1968 (première publication en 1949).
Rafael Pic, « Peau d’homme », sur Le Quotidien de l'Art, (consulté le ).
nih.gov
ncbi.nlm.nih.gov
L'exemplaire de Brown ne doit pas être confondu avec un second exemplaire du De Fabrica de Vésale de 1568, aussi relié par Schavye en peau humaine, vendu en 1894 au prince Philippe de Belgique; cet exemplaire est considéré disparu depuis la mort de la dernière propriétaire connue, Lilian Baels (1916-2002), veuve du roi Léopold III; voir Sorgeloos 2012, p. 135-137, 144, 152 no 26; (en) Omer Steeno et Maurits Biesbrouck, « Stolen and lost copies of Vesalius's Fabrica », Acta medico-historica adriatica: AMHA, vol. 10, no 2, , p. 228-230 (ISSN1334-4366, PMID23560752, lire en ligne).
nytimes.com
(en) Jennifer Schuessler et Julia Jacobs, « Harvard Removes Binding of Human Skin From Book in Its Library », The New York Times, (lire en ligne, consulté le )
L'exemplaire de Brown ne doit pas être confondu avec un second exemplaire du De Fabrica de Vésale de 1568, aussi relié par Schavye en peau humaine, vendu en 1894 au prince Philippe de Belgique; cet exemplaire est considéré disparu depuis la mort de la dernière propriétaire connue, Lilian Baels (1916-2002), veuve du roi Léopold III; voir Sorgeloos 2012, p. 135-137, 144, 152 no 26; (en) Omer Steeno et Maurits Biesbrouck, « Stolen and lost copies of Vesalius's Fabrica », Acta medico-historica adriatica: AMHA, vol. 10, no 2, , p. 228-230 (ISSN1334-4366, PMID23560752, lire en ligne).
(en) « Le Traicté de peyne... », notice de catalogue [archive du ], sur CHAMO - The Grolier Club Library Catalog (consulté le ). Les détails concernant l'analyse PMF sont seulement disponibles dans le format MARC (onglet MARC Record) : « Human skin confirmed in Peptide Mass Fingerprinting analysis conducted by Richard Hark on 20151210. Report issued by Dan Kirby Analytical Services, 20151231. ».
(en) « Le Traicté de peyne... », notice de catalogue [archive du ], sur CHAMO - The Grolier Club Library Catalog (consulté le ). Les détails concernant l'analyse PMF sont seulement disponibles dans le format MARC (onglet MARC Record) : « Human skin confirmed in Peptide Mass Fingerprinting analysis conducted by Richard Hark on 20151210. Report issued by Dan Kirby Analytical Services, 20151231. ».
(en) Heather Cole, « Bound in human skin », billet de blog [archive du ], sur Houghton Library Blog, Harvard University, (consulté le ).
Note manuscrite anonyme en anglais apposée sur la page de garde par un ancien propriétaire, peut-être James Westfall Thompson(en) : « ...The binding is human skin. The book is from the library of Armand Jerome Bignon (1711-1772), librarian of Louis XV. »[45]