Ce chiffre global est tiré du livre dirigé par D. Renoult et J. Melet-Sanson, publié en 2001. Des informations sur les collections sont données sur le site de la BnF dans les pages Collections du département de la musique et Collections par thèmes : musique. La plupart des chiffres sont tirés de « guides du lecteur » datant des années 2000.
Bibliothèque nationale de France, Lettre aux lecteurs, no 66, sept.-oct. 2014 [lire en ligne (page consultée le 10 juin 2018)].
Les informations de ce paragraphe sont issues en partie du [1]. D'après l'enquête effectuée en 2008, le public de la BnF est en grande partie constitué d'étudiants. En Rez-de-jardin, la proportion d'étudiants est de 50 % ; les enseignants et chercheurs représentent la catégorie la plus présente après eux. En Haut-de-jardin, la part des publics scolarisés est de 84 %, avec 10 % de lycéens. Les professions des arts et de la culture sont relativement plus représentées sur les autres sites (12 %), de même que les retraités (6 % en rez-de-jardin)[2].
Partitions manuscrites autographes de Mozart, dont son opéra Don Giovanni, mises les premières en ligne sur le catalogue de la BnF, à la suite de son exposition tenue en 2017 à la bibliothèque-musée de l'Opéra, parmi 32 540 partitions autographes de musiciens, depuis 1599, consultables au 1er avril 2022 dont 4988 jusqu'en 1850.
Les informations de ce paragraphe sont issues en partie du [1]. D'après l'enquête effectuée en 2008, le public de la BnF est en grande partie constitué d'étudiants. En Rez-de-jardin, la proportion d'étudiants est de 50 % ; les enseignants et chercheurs représentent la catégorie la plus présente après eux. En Haut-de-jardin, la part des publics scolarisés est de 84 %, avec 10 % de lycéens. Les professions des arts et de la culture sont relativement plus représentées sur les autres sites (12 %), de même que les retraités (6 % en rez-de-jardin)[2].
Eliane Patriarca, « BNF : des livres qui tombent en poussière d'amiante », Libération, (lire en ligne, consulté le ).
Les représentant·e·s élu·e·s des lectrices et lecteurs au conseil d’administration de la Bibliothèque nationale de France et L’Association des lectrices, lecteurs, usagères et usagers de la Bibliothèque nationale de France (ALUBNF, « La Bibliothèque nationale de France veut contraindre la recherche au temps partiel », Libération, (lire en ligne, consulté le ).