Bénédicte Sère, « Aristote et le bien commun au Moyen Âge : une histoire, une historiographie », Revue française d'histoire des idées politiques, 2/2010 (no 32), p. 277-291. [1]
dauphine.fr
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Chanial, Philippe (2001). Justice, don et association: la délicate essence de la démocratie, éd. La découverte, Paris (résumé).
Thomas d'Aquin, Somme contre les Gentils, t. Premier, Paris, Louis Vivès éditeur, , 474 p. (lire en ligne), p. 134 et 135 du Livre I, chap. XLI.
« L'air, l'eau courante, la mer et ses rivages sont choses communes en ce sens qu'il n'existe à leur égard aucune distinction de propriété ; d'où il suit que chacun peut en user librement, et par l'usage qu'il en fait, s'approprier l'air qu'il respire, l'eau qu'il puise. » Justinien, trad. et explication par Adolphe Marie Du Caurroy de la Croix, Institutes, livre 2, titre 1, §1. [2]
hauts-de-seine.fr
eak.hauts-de-seine.fr
Violaine Hacker, « "La gouvernance des biens communs. Entre choix et effectivité" », Les Entretiens Albert Kahn, n° 20, (lire en ligne)
linactuelle.fr
Jacques Langlois, « La république et le bien commun », L'inactuelle, (lire en ligne)
Voir fin de la page 15, in Petrella, Ricardo (1996). Le bien commun ; Éloge de la solidarité. Cahiers libres, éd. pages deux, Quotidien Le courrier, Labor (PDF, 111 pages)