(en) « Berber. Definition, People, Languages, & Facts Britannica », sur britannica.com (consulté le ) : « L'économie était en grande partie l'agriculture de subsistance et le pastoralisme pratiqués par les agriculteurs, les transhumants et les nomades, associés au tissage, à la poterie, au travail du métal et du cuir, et au commerce local et à longue distance. Les habitations variaient des grottes aux maisons à toit en pente, en passant par les ksour à toit plat et les tentes ».
(en) Cynthia Becker, « Fadma Lhacen: Healer of Women and Weaver of Textiles (Moroccan Berber healer) », dans Muslim Voices and Lives in the Contemporary World, New York, Palgrave Macmillan US, (ISBN978-0-230-61192-4, DOI10.1057/9780230611924_3, lire en ligne), p. 32.
(en) Cynthia Becker, « Fadma Lhacen: Healer of Women and Weaver of Textiles (Moroccan Berber healer) », dans Muslim Voices and Lives in the Contemporary World, New York, Palgrave Macmillan US, (ISBN978-0-230-61192-4, DOI10.1057/9780230611924_3, lire en ligne), p. 32.
Henriette Camps-Fabrer, « Argent (lfeṭṭa) », dans Gabriel Camps (dir.), Encyclopédie berbère, vol. 6 : Antilopes – Arzuges, Aix-en-Provence, Édisud, (ISBN2-85744-324-2, lire en ligne), p. 881–882 : Selon Camps-Fabrer, « L'argent était le seul métal précieux utilisé par les orfèvres berbères. Il n'en est pas de même dans l'Aurès où l'apparition de bijoux en or chez quelques femmes aisées remonte à 1962-1963 ».
Henriette Camps-Fabrer, « Bijoux », dans Gabriel Camps (dir.), Encyclopédie berbère, vol. 10 : Beni Isguen – Bouzeis, Aix-en-Provence, Édisud, (ISBN2-85744-549-0, lire en ligne), p. 1496–1516 : « La grande originalité des bijoux de Grande Kabylie comme de ceux de Moknine en Tunisie ou de l'Anti-Atlas marocain vient de la présence d'émaux colorés. Cette technique, urbaine à l'origine, semble bien être imputable à une influence étrangère. L'orfèvrerie émaillée connue à l'époque vandale et byzantine, aurait complètement disparu des pays méditerranéens, si l'Afrique du Nord n'avait, à l'orée des temps modernes, servi de refuge aux artisans juifs, andalous et morisques chassés d'Espagne, où cette technique s'était maintenue pendant toute la durée du Moyen Âge ».
Dans son article sur l'histoire et l'usage des fibules, Camps-Fabrer (1997) mentionne les plus anciens spécimens connus de fibules au Maghreb : Henriette Camps-Fabrer, « Fibule », dans Gabriel Camps (dir.), Encyclopédie berbère, vol. 18 : Escargotière – Figuig, Aix-en-Provence, Édisud, (ISBN2-85744-948-8, lire en ligne), p. 2817–2825.
Les ethnologues et les historiens de l'art n'ont pas qualifié ces types de bijoux d'art islamique, mais les ont plutôt liés aux anciennes traditions esthétiques méditerranéennes, voir la bibliographie sur Henriette Camps-Fabrer, « Bijoux », dans Gabriel Camps (dir.), Encyclopédie berbère, vol. 10 : Beni Isguen – Bouzeis, Aix-en-Provence, Édisud, (ISBN2-85744-549-0, lire en ligne), p. 1496–1516.
(en) Robert K. Liu, « Tuareg amulets and crosses: Saharan/Sahelian innovation and aesthetics », Ornament, vol. 40, no 3, , p. 58–63 (lire en ligne)
persee.fr
André Adam, « Henriette Camps-Fabrer, Les bijoux de Grande Kabylie : collections du Musée du Bardo et du Centre de recherches anthropologiques, préhistoriques et ethnographiques d'Alger », Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée, vol. 8, no 1, , p. 197–199 (lire en ligne, consulté le ).