Driss Abbassi, Entre Bourguiba et Hannibal : identité tunisienne et histoire depuis l'indépendance, Paris, Karthala, , 265 p. (ISBN978-2-845-86640-9, lire en ligne), p. 32.
Michel Fontenay, « Course et piraterie méditerranéennes de la fin du Moyen Âge aux débuts du XIXe siècle », Revue d'histoire maritime, no 6, , p. 179 (ISSN1283-873X).
Anouar Chennoufi, « Bizerte (Tunisie) : trou de mémoire de l'histoire », Tunis-Hebdo, 19-25 septembre 2005 (ISSN0330-9967, lire en ligne, consulté le ).
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Pascal Venier, « Genèse et développement de la base navale de Bizerte : « un Toulon africain » », dans Stations navales et navigations organisées en Méditerranée, Toulon, Éditions de la Nerthe, (ISBN2913483445, lire en ligne), p. 109-122.
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Pline l'Ancien (trad. Émile Littré), Histoire naturelle, t. V, Paris, Dubochet, 1848-1850 : « Au fleuve Tusca commence la région Zeugitane ; elle est appelée proprement Afrique. Trois promontoires, le promontoire Blanc, le promontoire d'Apollon en face de la Sardaigne, le promontoire de Mercure en face de la Sicile, s'avançant dans la haute mer, forment deux golfes : le premier est celui d'Hippone, le plus voisin de la ville qu'on nomme Hippo Dirutus, par corruption du mot grec diarrhytos, qui signifie arrosé par des eaux abondantes » [lire en ligne].