Blas Pérez González (French Wikipedia)

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boe.es

doi.org

dx.doi.org

  • Le , le colonel-auditeur remit au secrétaire de la Comisión Depuradora de l’université de Saragosse les éléments concernant Pérez González disponibles au Service d’information et de police militaire. Le dossier constitué à cette occasion énonçait ce qui suit : « Le Mouvement le surprend à Barcelone, où il accomplissait ses fonctions de professeur titulaire sur concours en droit civil de cette université, au moment où il était en situation d’être 'au service d’autres Ministères comme Auditeur de guerre'. Au terme de diverses vicissitudes, et après s’être caché dans des domiciles différents, il fut conduit à la caserne de la troisième Patrouille, où il resta du jusqu’au lendemain, quand il fut mené au Couvent de San Juan de Jerusalén, où il fut détenu jusqu’au . Grâce à l’aide apportée par deux de ses étudiants, il parvint à sortir à la même date, après quoi il dut dormir dans différentes maisons pendant une période de 180 jours. Le , grâce au sieur Navarro des Canaries, il réussit à partir en avion au départ de Murcie, arrivant à Marseille le même jour, et y restant jusqu’au 28, jour où il s’en retourna en Espagne, par Lourdes et S[aint] J[ean] de Luz ».
    Source: Arxiu Històric Universitari de Barcelona, liasse “Depuración du corps professoral de l’université de Barcelone”, cité par (es) Manuel J. Peláez & Patricia Zambrana Moral (université de Malaga), « Más Noticias Sobre la Depuración Política Universitaria de Catedráticos de Derecho en España (1936-1943) », Revista de Estudios Histórico-Jurídicos, Valparaíso (Chili), Pontificia Universidad Católica de Valparaíso / Facultad de Derecho / Escuela de Derecho, vol. XXIX,‎ , p. 465-480 (ISSN 0716-5455, DOI http://dx.doi.org/10.4067/S0716-54552007000100016, lire en ligne).

elpais.com

elpais.com

  • (es) « Murió el ex-ministro de la Gobernación Blas Pérez », El País, Madrid,‎ (lire en ligne).

politica.elpais.com

  • (es) José Yoldi et Julio M. Lázaro, « El Supremo considera que Garzón erró, pero no prevaricó, y lo absuelve », El País, Madrid,‎ (lire en ligne).

google.be

books.google.be

  • (es) Ludwig Enneccerus, Theodor Kipp, Martin Wolff, Lluís Puig Ferriol, Ferrán Badosa Coll, Blas Pérez González, José Alguer, Eduardo Valentí Fiol, Ramón María Roca Sastre et Helmut Coing, Tratado de derecho civil, Barcelone, J. M. Bosch Editor, 1935 (rééd. 1976), 591 p. (ISBN 84-7162-673-X, lire en ligne).

issn.org

portal.issn.org

  • Le , le colonel-auditeur remit au secrétaire de la Comisión Depuradora de l’université de Saragosse les éléments concernant Pérez González disponibles au Service d’information et de police militaire. Le dossier constitué à cette occasion énonçait ce qui suit : « Le Mouvement le surprend à Barcelone, où il accomplissait ses fonctions de professeur titulaire sur concours en droit civil de cette université, au moment où il était en situation d’être 'au service d’autres Ministères comme Auditeur de guerre'. Au terme de diverses vicissitudes, et après s’être caché dans des domiciles différents, il fut conduit à la caserne de la troisième Patrouille, où il resta du jusqu’au lendemain, quand il fut mené au Couvent de San Juan de Jerusalén, où il fut détenu jusqu’au . Grâce à l’aide apportée par deux de ses étudiants, il parvint à sortir à la même date, après quoi il dut dormir dans différentes maisons pendant une période de 180 jours. Le , grâce au sieur Navarro des Canaries, il réussit à partir en avion au départ de Murcie, arrivant à Marseille le même jour, et y restant jusqu’au 28, jour où il s’en retourna en Espagne, par Lourdes et S[aint] J[ean] de Luz ».
    Source: Arxiu Històric Universitari de Barcelona, liasse “Depuración du corps professoral de l’université de Barcelone”, cité par (es) Manuel J. Peláez & Patricia Zambrana Moral (université de Malaga), « Más Noticias Sobre la Depuración Política Universitaria de Catedráticos de Derecho en España (1936-1943) », Revista de Estudios Histórico-Jurídicos, Valparaíso (Chili), Pontificia Universidad Católica de Valparaíso / Facultad de Derecho / Escuela de Derecho, vol. XXIX,‎ , p. 465-480 (ISSN 0716-5455, DOI http://dx.doi.org/10.4067/S0716-54552007000100016, lire en ligne).
  • (es) « Jefatura del Estado.- Decreto nombrando miembro de la Junta Política de F.E.T. y de las J.O.N.S. al Consejero Nacional don Blas Pérez González », Bulletin officiel de l'État (BOE), no 305,‎ , p. 6143 (ISSN 0212-033X, lire en ligne)
  • (es) Miguel Martorell Linares, « De ciencias sociales y ángeles custodios: la Real Academia de Ciencias Morales y Políticas bajo la guerra y la autarquía », Historia y política: Ideas, procesos y movimientos sociales, Madrid, Université complutense de Madrid, Université nationale d'enseignement à distance (UNED) & Centro de Estudios Políticos y Constitutionales, no 8,‎ , p. 238-241 (ISSN 1575-0361)

rah.es

dbe.rah.es

rumbos.net

  • (es) Francisco Blanco, « Los elementos de referencia interna de la F.E.T. y de las J.O.N.S. Nombres y símbolos. Section ‘Santoral del Frente de Juventudes’ », El Rastro de la Historia, no 10,‎ (sans date) (lire en ligne).

scielo.cl

  • Le , le colonel-auditeur remit au secrétaire de la Comisión Depuradora de l’université de Saragosse les éléments concernant Pérez González disponibles au Service d’information et de police militaire. Le dossier constitué à cette occasion énonçait ce qui suit : « Le Mouvement le surprend à Barcelone, où il accomplissait ses fonctions de professeur titulaire sur concours en droit civil de cette université, au moment où il était en situation d’être 'au service d’autres Ministères comme Auditeur de guerre'. Au terme de diverses vicissitudes, et après s’être caché dans des domiciles différents, il fut conduit à la caserne de la troisième Patrouille, où il resta du jusqu’au lendemain, quand il fut mené au Couvent de San Juan de Jerusalén, où il fut détenu jusqu’au . Grâce à l’aide apportée par deux de ses étudiants, il parvint à sortir à la même date, après quoi il dut dormir dans différentes maisons pendant une période de 180 jours. Le , grâce au sieur Navarro des Canaries, il réussit à partir en avion au départ de Murcie, arrivant à Marseille le même jour, et y restant jusqu’au 28, jour où il s’en retourna en Espagne, par Lourdes et S[aint] J[ean] de Luz ».
    Source: Arxiu Històric Universitari de Barcelona, liasse “Depuración du corps professoral de l’université de Barcelone”, cité par (es) Manuel J. Peláez & Patricia Zambrana Moral (université de Malaga), « Más Noticias Sobre la Depuración Política Universitaria de Catedráticos de Derecho en España (1936-1943) », Revista de Estudios Histórico-Jurídicos, Valparaíso (Chili), Pontificia Universidad Católica de Valparaíso / Facultad de Derecho / Escuela de Derecho, vol. XXIX,‎ , p. 465-480 (ISSN 0716-5455, DOI http://dx.doi.org/10.4067/S0716-54552007000100016, lire en ligne).

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