Jacques Blockx, Compendium à l'usage des artistes peintres : Peinture à l'huile – Matériaux – Définition des couleurs fixes et conseils pratiques suivis d'une notice sur l'ambre dissous, Gand, L'auteur, (lire en ligne), p. 37, 47.
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Jules Lefort, Chimie des couleurs pour la peinture à l'eau et à l'huile : comprenant l'historique, la synonymie, les propriétés physiques et chimiques, la préparation, les variétés, les falsifications, l'action toxique et l'emploi des couleurs anciennes et nouvelles, Paris, Masson, (lire en ligne), p. 263-268.
Michel-Eugène Chevreul, « Moyen de nommer et de définir les couleurs », Mémoires de l'Académie des sciences de l'Institut de France, t. 33, , p. 205, 258 (lire en ligne). La conversion en couleur informatique se fait d'après les repères donnés p. 29 et 48, 3 bleu 11 ton donne une longueur d'onde dominante 467,6 nm, luminosité L* = (21-ton)/21 = 47,6 %, d'où une luminance relative Y = 0.165, illuminant D65, pour un écran sRGB.
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France. État-Major de l'armée de terre, INSTRUCTION N° 10300/DEF/EMAT/LOG/ASH : DEF/DCCAT/LOG/REG relative aux tenues et uniformes des militaires des armes et services de l’armée de terre, (lire en ligne), p. 73. La nuance est précisée dans le nuancier, p. 117.
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(en) Nicholas Eastaugh, Valentine Walsh et Tracey Chaplin, Pigment Compendium : A Dictionary and Optical Microscopy of Historical Pigments, Butterworth-Heinemann, (lire en ligne), p. 119.