Selon John R. McRae « The Antecedents of Encounter Dialogue in Chinese Ch'an Buddhism » in Steven Heine & Dale S. Wright (Eds.), The Kōan: Texts and Contexts in Zen Buddhism, Oxford University Press, 2000, le premier récit de cette rencontre se trouve dans l'annexe d’un texte de Shenhui datant de 758. [lire en ligne (page consultée le 1 février 2024 [v. II, A, 2e §])]
(en) Jeffrey L. Broughton, The Bodhidharma Anthology : The Earliest Records of Zen, University of California Press, , 198 p. (ISBN978-0-520-92336-2, présentation en ligne)
jstor.org
D'après (en) Heinrich Dumoulin, Zen Buddhism a History. Vol. I India and China, Bloomington (In), World Wisdom, 2005 [1963], (ISBN978-0-941-53289-1) p. 91, et Masumi Shibata, « Le dialogue dans le Zen chinois », Revue de Métaphysique et de Morale, Vol. 64, No 3, 1959, p. 310-319 (v. p. 310) [lire en ligne (page consultée le 1 février 2024)]
ntu.edu.tw
ccbs.ntu.edu.tw
C’est au VIIe siècle que la lignée Chan est ouvertement rattachée directement au Bouddha via Mahākāshyapa dans, par ex., le Chant de l’illumination prouvée (證道歌 Zhèngdào gē) de Yǒngjiā Xuánjué (665-713) (永嘉玄覺) ; voir Chang Chung-Yuan, Ch'an Buddhism: Logical and Illogical, Philosophy East and West, volume17, 1967, p. 37–49[2] et D.T. Suzuki, Manual of Zen Buddhism, 1948 p. 50
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Dans les sources chinoises, il apparaît aussi, quoique moins fréquemment, sous le nom de Bodhi, et peut alors être confondu avec un autre moine, Bodhiruci ; voir Bernard Faure, Bodhidharma as Textual and Religious Paradigm, History of Religions, volume 25-3, 1986, p. 187–198, DOI:10.1086/46303 [1]
worldcat.org
Tokitsu, Kenji, 1947-, Miyamoto Musashi : maître de sabre japonais du XVIIe siècle : l'homme et l'œuvre, mythe et réalité, Editions désiris, , 408 p. (ISBN2907653547 et 9782907653541, OCLC41259596, lire en ligne), p. 289, 290