Le CNRTL signale, lui, la première occurrence en français de « Bouddhisme » (avec h) dans un article d'Honoré de Balzac de 1830, « Des mots de la mode » (CNRTL, « Bouddhisme », [lire en ligne (page consultée le 16 juillet 2022)]) paru dans La Mode, T. 3, 1830, p. 189-194. Balzac relève que « En ce moment il existe une certaine manière d'employer les mots qui vous donne des effets pittoresques dans le discours (…) : Parle-t-on de philosophie ? Oh ! qui que vous soyez, songez que si vous ne suivez pas attentivement la mode, vous pouvez être perdu à jamais, en vous servant de mots qui se terminent en té comme objectivité, subjectivité, (…) quand le maître a parlé par isme, en employant les mots sensualisme, idéalisme, (…), bouddhisme, etc., ou si vous prenez les isme quand il met à la mode les ion, comme affection, sensation (…) vous pouvez passer pour un sot. » [lire en ligne (page consultée le 16 juillet 2022)]
Le CNRTL signale, lui, la première occurrence en français de « Bouddhisme » (avec h) dans un article d'Honoré de Balzac de 1830, « Des mots de la mode » (CNRTL, « Bouddhisme », [lire en ligne (page consultée le 16 juillet 2022)]) paru dans La Mode, T. 3, 1830, p. 189-194. Balzac relève que « En ce moment il existe une certaine manière d'employer les mots qui vous donne des effets pittoresques dans le discours (…) : Parle-t-on de philosophie ? Oh ! qui que vous soyez, songez que si vous ne suivez pas attentivement la mode, vous pouvez être perdu à jamais, en vous servant de mots qui se terminent en té comme objectivité, subjectivité, (…) quand le maître a parlé par isme, en employant les mots sensualisme, idéalisme, (…), bouddhisme, etc., ou si vous prenez les isme quand il met à la mode les ion, comme affection, sensation (…) vous pouvez passer pour un sot. » [lire en ligne (page consultée le 16 juillet 2022)]
Dans Recherches sur Buddou ou Bouddou, instituteur religieux de l’Asie orientale, Paris, Chez Brunot-Labbe, 1817, p. xxxvi, 23, 26, etc. [lire en ligne (page consultée le 15 juillet 2022)]
google.fr
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« Affirmer qu’il n’y a pas de dieu dans le bouddhisme ne signifie pas encore logiquement que le bouddhisme ne réponde en aucune manière à la question de dieu ». Jean-Daniel Causse et Denis Müller, Introduction à l'éthique : Penser, croire, agir, Labor et Fides, (présentation en ligne), p. 50.
Odon Vallet, Petit Lexique des idées fausses sur les religions, Paris, Albin Michel, 2002 ; 2008. [lire en ligne]
(en) James Simon Watkins, Religion and the Global Money Markets, Springer Nature (lire en ligne), p. 70
(en) Lucas F. Johnston et Whitney Bauman, Science and Religion: One Planet, Many Possibilities, Routledge, (ISBN978-1-317-81341-5, lire en ligne), p. 245
(en) Francisca Cho et Richard King Squier, « Religion as a Complex and Dynamic System », Journal of the American Academy of Religion, vol. 81, no 2, , p. 357-398 (JSTOR24486016)
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(en) « Buddhism - noun », sur merriam-webster.com (consulté le )
La lignée officielle des maîtres Chan se constitue ultérieurement ; l’un des premiers documents qui mentionne Bodhidharma en tête du Chan chinois est l’épitaphe de Fărú (法如 638–689), disciple de Hongren. (Heinrich Dumoulin, « Early Chinese Zen Reexamined: A Supplement to Zen Buddhism: A History », Japanese Journal of Religious Studies, vol. 20, no 1, 1993, p. 31–53. V. p. 37) [lire en ligne (page consultée le 13 octobre 2021)]
uni-heidelberg.de
journals.ub.uni-heidelberg.de
(en) D.S. Ruegg, « Some Reflections on the Place of Philosophy in the Study of Buddhism », Journal of the International Association of Buddhist Studies, vol. 18, no 2, 1995, p. 145-182. V. p. 145. [lire en ligne (page consultée le 19 juillet 2022)]
Tokitsu, Kenji, 1947-, Miyamoto Musashi : maître de sabre japonais du XVIIe siècle : l'homme et l'œuvre, mythe et réalité, Editions désiris, , 408 p. (ISBN2907653547 et 9782907653541, OCLC41259596), p. 289, 290