L'une des plus anciennes figurations de Buddha en Chine. Référence : Béguin 2009, p. 281 : Avec les mains croisées sur la poitrine dans une réinterprétation de la dhyāna mudrā le sculpteur s'inspire manifestement d'un modèle du Gandhara. Le traitement du drapé que l'on trouve dans cet art gréco-bouddhique des origines a subi une stylisation bien que les plis réguliers, tout comme la courbure du visage, les mèches naturalistes de la coiffure, le chignon rond et le nez droit […] sont autant d’éléments d'origine occidentale. Notice du musée de San Francisco : [1]