Eric Marcoux, Alain Cocherie, Gilles Ruffet, Jean-René Darboux, Catherine Guerrot,, « Géochronologie revisitée du dôme du Léon (Massif armoricain, France) », Géologie de la France, no 1, , p. 17 (lire en ligne).
Eric Marcoux, Alain Cocherie, Gilles Ruffet, Jean-René Darboux, Catherine Guerrot, « Géochronologie revisitée du dôme du Léon (Massif armoricain, France) », Géologie de la France, no 1, , p. 18 (lire en ligne).
Stéphane Simonnet, Claire Levasseur (cartogr.) et Guillaume Balavoine (cartogr.) (préf. Olivier Wieviorka), Atlas de la libération de la France : 6 juin 1944- 8 mai 1945 : des débarquements aux villes libérées, Paris, éd. Autrement, coll. « Atlas-Mémoire », (1re éd. 1994), 79 p. (ISBN978-2-746-70495-4 et 2-746-70495-1, OCLC417826733, BNF39169074), p. 25.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (ISSN1278-3366, DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (ISSN1278-3366, DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
« A Brest, un nouveau pôle culturel et commercial aux Capucins », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
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« François Cuillandre (PS), un maire 100 % local : Issu du sérail socialiste, le maire de Brest, déçu par le PS, s'est replié sur la gestion de sa commune et revendique son choix », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
« Jules Lullien : un dévouement absolu à Brest : Dans ce quartier du Petit Paris, deux anciens maires brestois sont honorés sur les plaques bleues des rues », Le Télégramme, (lire en ligne, consulté le ).
André Rivier, « Georges Lombard. Le départ d'un bâtisseur : Avec Georges Lombard disparaît, à 85ans, une, sinon la figure majeure de l'histoire de Brest de l'après-guerre. Il en a écrit quelques-uns desprincipaux chapitres aufild'une action marquée parl'amour desaville », Le Télégramme, (lire en ligne, consulté le )« En 1953, à l'âge de 28 ans, il fait son entrée au conseil municipal présidé par le maire d'alors, Yves Jaouen, dont Georges Lombard devient l'adjoint au maire un an plus tard, poste qu'il occupera jusqu'aux élections municipales suivantes, en 1959. Cette année-là, la victoire sourit à une liste de coalition regroupant des UNR (le parti gaulliste de l'époque), des MRP, des non-inscrits, des démocrates-chrétiens et des indépendants brestois, groupe à part à la tête duquel figurait Georges Lombard. Ce dernier est élu maire par 28 voix et 11 bulletins blancs ».
« 20 ans après sa mort hommage à Francis Le Blé : Francis Le Blé, qui fut maire de Brest pendant cinq ans, est décédé, à l'âge de 52 ans, le 23 juin 1982. Hier, ses amis ont rendu hommage à cette incarnation de la gauche brestoise, à l'occasion du vingtième anniversaire du décès de celui que tout le monde appelait « Francis », Le Télégramme, (lire en ligne, consulté le )« Francis Le Blé, (…) ancien ouvrier de l'arsenal, militant syndicaliste (à la CFTC puis à la CFDT). Puis, engagé dans la politique dans les rangs du Parti socialiste, il joua un rôle important pour faire avancer les idées d'une gauche pour laquelle le Finistère était alors une terre de mission. (…) Francis Le Blé avait été élu maire de Brest en 1977, à la tête d'une liste victorieuse, à la surprise générale avec 33 voix d'avance, face à la droite désunie, représentée, d'une part par le président de la Cub, Georges Lombard, et, d'autre part, par Eugène Bérest, alors maire sortant ».
Pierre-Yves Lautrou, « Droite: le syndrome brestois », L'Express, (lire en ligne, consulté le )« Résumons: la droite perd la ville en 1977, après la victoire du socialiste Francis Le Blé, élu, déjà, sur fond de divisions entre Eugène Bérest, maire sortant, et Georges Lombard, président de la communauté urbaine. En 1983, rassemblée pour la seule fois de ces vingt-cinq dernières années, elle reprend la ville dès le premier tour grâce au RPR Jacques Berthelot... qui ne tient que deux ans en place : ses adjoints le débarquent et il tient symboliquement une fameuse conférence de presse à la décharge du Spernot pour dénoncer la "chienlit" de son propre camp. Georges Kerbrat le remplace et se présente sous l'étiquette RPR-UDF en 1989 face au centriste Yannick Marzin, qui se retire au second tour : insuffisant pour barrer la route au socialiste Pierre Maille, vainqueur avec plus de 60% des voix ».
Pierre-Yves Lautrou, « François Cuillandre, le maire militant », L'Express, (lire en ligne, consulté le )« Le maire de Brest doit beaucoup au PS. Membre depuis 1977 - une adhésion antidatée, car il est à l'époque appelé du contingent ! - François Cuillandre voit sa carrière politique prendre un nouveau tour lorsqu'il est muté de Paris, où il travaille comme inspecteur des impôts, à Brest. Simple militant, il se rapproche de Tino Kerdraon, patron des socialistes finistériens, à l'occasion de la constitution -agitée- des listes des élections régionales et législatives de 1986 ».
Paul Quinio, « Brest en mal de maire. Après trois mandats, le socialiste Pierre Maille raccroche », Libération, (lire en ligne, consulté le )« Il a entendu dire en ville qu'il partait parce qu'il était malade. «Je n'ai pas vu un médecin depuis quarante ans.» Ou qu'il était lassé après trois mandats (il a été premier adjoint en 1977, puis maire en remplacement de Francis Leblé, décédé en 1982) ».
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (ISSN1278-3366, DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Municipales à Brest. François Cuillandre réélu maire : Ce samedi matin, le socialiste François Cuillandre a été réélu maire pour un troisième mandat par le nouveau conseil municipal. Il a aussi installé ses 21 adjoints », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
Louis Chauris, « Brest : vieilles pierres et pierres neuves dans une cité reconstruite », Mémoires de la Société d'histoire et d'archéologie de Bretagne, vol. XC, , p. 5-36 (lire en ligne).
Stéphane Simonnet, Claire Levasseur (cartogr.) et Guillaume Balavoine (cartogr.) (préf. Olivier Wieviorka), Atlas de la libération de la France : 6 juin 1944- 8 mai 1945 : des débarquements aux villes libérées, Paris, éd. Autrement, coll. « Atlas-Mémoire », (1re éd. 1994), 79 p. (ISBN978-2-746-70495-4 et 2-746-70495-1, OCLC417826733, BNF39169074), p. 25.