François-Nicolas Baudot Dubuisson-Aubenay, Itinéraire de Bretagne en 1636, d'après le manuscrit original, avec notes et éclaircissements par Léon Maître et Paul de Berthou, tome 1 ; Nantes, Société des Bibliophiles Bretons, 1898, p. 65 : « En la ville on parle moitié breton ; mais tout le monde scait françois ». lire en ligne sur Gallica
Voir les résultats des deux enquêtes de 1902, la première initiée par l'évêque de Quimper sur l'emploi du breton dans les paroisses du Finistère, et la seconde diligentée par la préfecture du Finistère sur « l'emploi abusif du breton dans les instructions religieuses et le catéchisme », mise en ligne sur le site de la Bibliothèque numérique du diocèse de Quimper.
Sur la place du breton à l’Église à l'issue de la guerre, voir Job an Irien, « Célébrer en langues ? », revue Minihi Levenez no 64, 2000, p. 7-41.
V. Favé, « L’Eglise et la Langue Bretonne (Éléments de solution) », Les Cahiers du Bleun-Brug, no 3, , p. 9 (lire en ligne)
Le site internet An Drouizig, sur sa page Typographie bretonne, indique que cette interdiction fut prise par le Conseil d'État en 1895, en donnant comme référence Yann Riou, Le K barré d'hier à aujourd’hui, 1992.
Christiane Prigent, Pouvoir ducal, religion et production artistique en Basse-Bretagne de 1350 à 1575, [lire en ligne], p. 63
google.fr
books.google.fr
Catherine Bizien-Jaglin, Patrick Gallou et Hervé Kerébel, Carte archéologique de la Gaule : Côtes-d'Armor, Paris, Académie des Inscriptions et Belles Lettres, , 410 p. (ISBN978-2-87754-080-3, LCCN2007459546, lire en ligne), p. 154
Histoire de la langue bretonne, [lire en ligne], p. 26
Denis Lacorne, Tony Judt., La politique de Babel : du monolinguisme d'État au plurilinguisme des peuples, [lire en ligne], consulté le 12 avril 2010.
Christiane Prigent, Pouvoir ducal, religion et production artistique en Basse-Bretagne de 1350 à 1575, [lire en ligne], p. 61-62
Hervé Abalain, Histoire de la langue breton, [lire en ligne], p. 31
Parler breton au XXIe siècle : les chiffres-clés, Fañch Broudic, TMO Région, 2009. Voir un résumé en ligne.
Fanch Broudic, « Quelques études sur l'usage du breton », sur langue-bretonne.com (consulté le ) : « Les enquêtes et estimations réalisées après la Libération font état d'un nombre toujours élevé de locuteurs : selon F. Gourvil en 1952, le total des personnes à même de s'exprimer en breton s'élève à 1 100 000. Mais le contexte sociolinguistique n'est plus le même. La quasi-totalité des bretonnants est désormais en mesure de s'exprimer aussi en français : Gourvil n'estime plus qu'à 100 000 le nombre de monolingues ignorant le français (soit 6 % de la population totale de la Basse-Bretagne). Les bretonnants, depuis, sont tous bilingues. ».
letelegramme.fr
Steven Lecornu, « Les plus vieux témoignages enregistrements en langue bretonne décodés 120 ans plus tard », Journal Le Télégramme, (lire en ligne, consulté le ).
Catherine Bizien-Jaglin, Patrick Gallou et Hervé Kerébel, Carte archéologique de la Gaule : Côtes-d'Armor, Paris, Académie des Inscriptions et Belles Lettres, , 410 p. (ISBN978-2-87754-080-3, LCCN2007459546, lire en ligne), p. 154
Le Minihi Levenez a notamment publié une série de disques et cassettes Hag e paro an heol. Chants pour une liturgie bretonne, des ouvrages de catéchèse comme Klask a ran (catéchisme pour le Ce1, 1990) et Dremm an Aotrou (catéchisme pour le Ce2, 1992), un évangile en breton en bandes dessinées (Ar C’heloù Mad diskouezet d’ar vugale, 2010) et des ouvrages bilingues français-breton sur la vie des saints bretons ou celtiques, la spiritualité celtique, l’histoire ou le patrimoine religieux. Cf. son site officiel : Minihi Levenez
Déclaration du Comité de salut public«Dans une République une et indivisible, la langue doit être une. C’est un fédéralisme que la variété des dialectes […], il faut le briser entièrement.»histoire du français, chapitre 8
Histoire du français. : « Désormais, la langue devint une affaire d'État : il fallait doter d'une langue nationale la « République une et indivisible » et élever le niveau des masses par l'instruction, ainsi que par la diffusion du français. »