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Bushinengue (French Wikipedia)

Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Bushinengue" in French language version.

refsWebsite
Global rank French rank
3persee.fr
515th place
37th place
3openedition.org
666th place
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1tandfonline.com
507th place
420th place
1univ-antilles.fr
low place
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angelfire.com

  • « Chapter 4 », sur angelfire.com (consulté le ).

brill.com

  • (en) Richard Price, « Maroons in Guyane », New West Indian Guide/Nieuwe West Indische Gids,‎ (lire en ligne)
  • (en) Richard Price, « The Maroon Population Explosion: Suriname and Guyane », New West Indian Guide/Nieuwe West Indische Gids,‎ (lire en ligne)

culture.gouv.fr

doi.org

dx.doi.org

dropbox.com

google.fr

google.fr

  • "The Rights of Indigenous Peoples and Maroons in Suriname" par Ellen-Rose Kambel, Fergus MacKay, et le Forest Peoples Programme en 1999 [2]
  • "L'Évadé de la Guyane par Guy Tomel, 2016 [7]

books.google.fr

  • (en) Bruce G. Trigger, Wilcomb E. Washburn et Frank Salomon, The Cambridge History of the Native Peoples of the Americas, , 976 p. (ISBN 978-0-521-63076-4, lire en ligne), p. 414.

guyaweb.com

  • Hélène Ferrarini, « Richard et Sally Price : "La vie des Marrons a beaucoup évolué" », Guyaweb,‎ (lire en ligne) :

    « Dans ce nouveau texte, les Ndyuka sont devenus les Aukans, ainsi que vous désignez désormais ce peuple marron. Pourquoi ce changement de nom ? Plaidez-vous pour que cette désignation se généralise en Guyane ? Ces dernières années, le peuple aukan lui-même a demandé d’être appelé "Aukan" ou "Okanisi" plutôt que Ndyuka, exactement comme le peuple saamaka a demandé, quelques ans avant, d’être appelé "Saamaka" plutôt que "Saramaka". Nous respectons leur choix. »

hal-archives-ouvertes.fr

  • Yerri Urban, « Marronnage et nationalité: le destin singulier des Boni », dans Maude Elfort et Vincent Roux, La question autochtone sur le plateau des Guyanes, Aix-en-Provence, Presses universitaires d'Aix-Marseille, (lire en ligne), p. 89-116

issn.org

portal.issn.org

nofi.media

  • Biographie de Bokilifu Boni, chef de guérilla des Nègres Marrons du Suriname [6]
  • [8]

openedition.org

journals.openedition.org

  • Marie-José Jolivet et Diane Vernon, « Droits, polygamie et rapports de genre en Guyane », Cahiers d’études africaines,‎ , p. 187-188 (lire en ligne, consulté le )
  • "Héritages de la société coloniale des XVIIe-XVIIIe siècles chez les marrons businenge par Jean Momoou, dans le Journal des africanistes en 2018 [1]
  • Francis Dupuy, « Des esclaves marrons aux Bushinenge : le marronnage et ses suites dans la région des Guyanes », Cahiers d'histoire. Revue d'histoire critique,‎ , p. 29-39 (lire en ligne)

persee.fr

  • Poutrin, « Panhuys (L. С van). The heathen religion of the Bush-Negroes in Dutch Guiana (Le fétichisme chez les Nègres Bush de la Guyane hollandaise). Comptes… », Journal de la société des américanistes, Persée, vol. 11, no 1,‎ , p. 314–314 (lire en ligne, consulté le ).
  • "Agriculture et système agricole au Suriname de la fin du XVIIe à la fin du XVIIIe siècle", par François J.-L. Souty, dans la revue d'histoire Outre-Mers en 1982 [3]
  • "The Boni Maroon War, 1763-1793. Surinam and French Guyana" par Silvia De Groot, compte-rendu par Monique POULIQUEN, conservateur aux Archives nationales dans la revue Outre-Mers [5]

richandsally.net

sefarad.org

suriname.nu

tandfonline.com

univ-antilles.fr

hal.univ-antilles.fr

worldcat.org