(en) Xiaohong Wu, Chi Zhang, Paul Goldberg, David Cohenet al., « Early Pottery at 20,000 Years Ago in Xianrendong Cave, China », Science, vol. 336, no 6089, , p. 1696–1700 (DOI10.1126/science.1218643, lire en ligne, consulté le )
« Vase meiping », sur Musée Guimet (consulté le ) avec une belle présentation de la relation entre le bleu de cobalt et la porcelaine de Jingdezhen à l'époque Yuan.
Cette installation occupait un immense espace au sol et elle était conçue afin que les visiteurs puissent s'y promener, faisant crisser les porcelaines sous leurs pieds et pouvant en tester la beauté dans leurs mains, pouvant les en faire couler comme du sable. Une vidéo (lien suivant : « Cric Crac -... ») projetée pendant la durée de l'exposition montrait l'artiste marchant sur les graines, les « ratissant » comme un moine Zen ratisse le sable. La vidéo montre aussi la réalisation dont toutes les étapes sont détaillées. Ai Weiwei y évoque une phrase de Mao, célèbre en Chine, où le peuple loyal au Parti est comme les tournesols.... Ai Weiwei nous montre aussi la réalisation des porcelaines avec les artisans de Jingdezhen et toutes les opérations successives. La peinture au pinceau pouvait être réalisée en atelier collectif ou au sein de petites entreprises familiales, à la maison. Ils furent environ 1600 à travailler, pour la plupart des femmes, beaucoup ayant des problèmes d'argent en raison de la crise que traverse leur métier et la ville elle-même, aujourd'hui. Toutes semblaient très heureuses de trouver ce travail et qu'un artiste valorise leur savoir-faire. Finalement, pour diverses raisons, l'accès direct du public à l'installation fut interdite : « Cric Crac - Les graines de tournesol de l’artiste Ai Weiwei ne vont plus crisser » dans Le Monde du 15 octobre 2010, qui contient la vidéo de l'exposition. Et voir aussi :« Ai Weiwei l'audace emprisonnée » dans Le Monde Magazine du 20 mai 2011, par Philippe Dagen.
lemonde.fr
Cette installation occupait un immense espace au sol et elle était conçue afin que les visiteurs puissent s'y promener, faisant crisser les porcelaines sous leurs pieds et pouvant en tester la beauté dans leurs mains, pouvant les en faire couler comme du sable. Une vidéo (lien suivant : « Cric Crac -... ») projetée pendant la durée de l'exposition montrait l'artiste marchant sur les graines, les « ratissant » comme un moine Zen ratisse le sable. La vidéo montre aussi la réalisation dont toutes les étapes sont détaillées. Ai Weiwei y évoque une phrase de Mao, célèbre en Chine, où le peuple loyal au Parti est comme les tournesols.... Ai Weiwei nous montre aussi la réalisation des porcelaines avec les artisans de Jingdezhen et toutes les opérations successives. La peinture au pinceau pouvait être réalisée en atelier collectif ou au sein de petites entreprises familiales, à la maison. Ils furent environ 1600 à travailler, pour la plupart des femmes, beaucoup ayant des problèmes d'argent en raison de la crise que traverse leur métier et la ville elle-même, aujourd'hui. Toutes semblaient très heureuses de trouver ce travail et qu'un artiste valorise leur savoir-faire. Finalement, pour diverses raisons, l'accès direct du public à l'installation fut interdite : « Cric Crac - Les graines de tournesol de l’artiste Ai Weiwei ne vont plus crisser » dans Le Monde du 15 octobre 2010, qui contient la vidéo de l'exposition. Et voir aussi :« Ai Weiwei l'audace emprisonnée » dans Le Monde Magazine du 20 mai 2011, par Philippe Dagen.
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(en) Francis Wood, The Silk Road: Two Thousand Years in the Heart of Asia, Berkeley, CA, University of California Press, 2002, poche (ISBN978-0-520-24340-8), (LCCN2003273631), p. 65–68
(en) Xiaohong Wu, Chi Zhang, Paul Goldberg, David Cohenet al., « Early Pottery at 20,000 Years Ago in Xianrendong Cave, China », Science, vol. 336, no 6089, , p. 1696–1700 (DOI10.1126/science.1218643, lire en ligne, consulté le )
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(en) Jessica Hallett, « Pearl Cups Like the Moon: The Abbasid Reception of Chinese Ceramics », dans Shipwrecked: Tang Treasures and Monsoon Winds, Singapour, (lire en ligne) ; (en) Jessica Hallett, « Tang Blue-and-White », dans Shipwrecked: Tang Treasures and Monsoon Winds, Singapour, (lire en ligne)